Le blog de M.
"Monsieur,
A peine arrivée chez moi j'ai ouvert votre premier message.
Je m'y suis livrée avec joie.
Le simple fait de savoir que je devais vous obéir à distance me mettait dans tous mes états.
Dans mon jean serré j'ondulais des hanches sans pouvoir me retenir.
Le contact de la couture sur mon sexe nu me rendait folle.
Je me suis donc dévêtue, pour ne garder que mes bas et un chemisier que je devais laisser ouvert.
Allongée sur mon lit j'ai attendue qu'une nouvelle minute apparaisse sur le réveil pour me caresser.
La première minute mes mains sont descendues sur mon sexe et sans me presser j'en fis le tour.
Le désir montait en moi.
Du bout des doigts je palpais les bords glabres, je remontais jusqu'à ma courte touffe pour repartir vers le bas, très bas à la lisière de mon entre deux.
A la seconde minute je me suis attardée sur mes pointes.
Elles saillaient vers le plafond.
Je les ai fait rouler et je me suis pincée doucement tout en continuant de me caresser sans m'ouvrir.
Je faisais rouler dans mon esprit ce mot, "m'ouvrir", que vous aviez employé.
Entre mes cuisses je sentais poindre ma cyprine dont l'odeur m'enivrait.
Pour l'ultime minute j'avais le droit de me masturber.
Je l'ai pris avec délice, enfonçant mon index puis mon médius dans ma fente.
J'ai écartée mes lèvres humides, les grandes, charnues qui firent bientôt place aux petites nymphes sensibles, pour venir cueillir ma perle et l'exciter à deux doigts.
Je pressais ma motte en pensant à vous.
J'ai respecté votre souhait et je me suis arrêté, le regard fixé sur l'horloge, avant d'atteindre le point de non-retour.
J'étais déjà en nage et je savais que d'autres ordres m'attendaient.
Excitée... très excitée.
Votre Elève."