Le blog de M.

[...]   Il se dirige vers un parking ombragé. A l'écart et vide, quelques frissons me parcourent l'échine. Je me trémousse dans mon jean serré. Cela fait longtemps que je n'ai pas eu un rendez-vous sur un parking. Et encore jamais en plein jour. Le moteur s'éteint et un bref instant ou le temps suspend son cour empli l'auto. Pas âme qui vive autour de nous. Des arbres, un petit ruisseau, un table de campeurs en bois, et le vague murmure de la ville au loin. Le bruit de sa braguette qui s'ouvre déchire le calme silence. Il me regarde sans un mot. J'avance ma main vers cette ouverture et je sens sous mes doigts la chaleur de son sexe qui tend son boxer. Mes yeux ont du mal à se fixer sur son visage impénétrable. Dans un sourire il vient cueillir ma nuque pour m'attirer vers lui. Mon visage se rapproche de son entre jambe. J'extraie son membre et le décallote. Il est à mon gout, gros, large, tendu et gorgé de sang. Au creux de mes reins perle une goutte de mon envie. Sa veine est gonflée et sous ma langue je perçois la douceur de son gland. Je lèche doucement la tête lisse. Ma langue glisse sous le chapeau pour venir descendre sur toute la longueur du vit, manche ardent qui me remplis d'envies indécentes. Je tente de me frayer un passage jusqu'à la base afin de pouvoir m'enrouler autour de ses boules. Il me facilite l'accès. Son sexe frotte contre ma joue. Je gobe un de ses testicules et le tire. Il gémit. J'aime. A l'aide de ma langue je fais aller et venir sa bourse glabre dans ma bouche. Je l'aspire. Sa main caresse ma nuque. Ca m'excite. Je m'empare de l'autre bourse et lui je lui fais subir le même sort, lentement, gouluement. Je le regarde. - C'est bon quand je vous tête les boules ? Il me sourit. Ma main le masturbe sur toute sa longueur. - J'adore sucer. Il me dirige vers son pieu dressé. J'ouvre grand ma bouche pour engloutir son gland. Gros, je viens exciter du bout de ma langue son méat duquel perle une petite goutte de plaisir. Je la fais rouler et je le sens s'agiter sous l'effet brulant que je lui procure. Les lèvres serrées je descend lentement le long de son large glaive. Il palpite. Avec une extrème lenteur je parviens presqu'à la base. Je remonte en le prenant entre mes lèvres, de côté, afin de lui faire subir diverses sensations. Je l'entends haleter sous mes pratiques. Je réitère ce manège pendant plusieurs minutes à mon plus grand plaisir... et le sien...jusqu'à m'attarder sur le bout de sa queue. Je le suce comme on le ferait d'une délicieuse sucette ronde. C'est un plaisir incroyable que je prends à posséder dans ma bouche son engin et à le pratiquer avec une obscénité lente. Il m'observe faire. D'une main je saisi sa base. - Vous voulez que je vous branle dans ma bouche ? Sans attendre sa réponse je m'exécute. Ma main agite son sexe contre ma langue, bouche grande ouverte. Je suis dans un état d'excitation rare. Mon sexe coule contre la couture de mon jean. Et ces phrases que je lui dit... elles me dépassent et me font vibrer. Je me lance en rougissant. - Baisez ma bouche de salope. Il ne se fait pas prier pour me saisir et me forcer à l'emboucher. Au rythme de ses coups de reins imperceptible, génés par l'étroitesse de l'habitacle il me fait descendre loin sur sa queue. Je me place à genoux sur le siège passager. - Baisse ton jean. Me dit-il alors que je le pompe avec délice. Je perds l'appui de mes mains et son vit m'embroche jusqu'au fond de la gorge. Avec difficulté je dénude mes fesses. Je me sais alors visible d'un éventuel observateur et l'excitation m'envahit encore plus. Mon cul se balance devant la vitre passager. Il ne cesse de me bourrer la bouche. Je salive et mes lèvres se meurtrissent de cette gorge profonde qu'il me fait subir. Ses mains enserrent mon visage et je suis son jouet, sa soumise. Je jouis soudainement. Il n'en a cure et continue à baiser ma bouche vigoureusement comme je tremble sous l'effet de la brusque secousse qui m'a parcourue. La vitre se baisse. D'une seule main il me plaque sur son sexe. - Vous cherchez quelque chose ? L'entends-je dire vers l'extérieur. Une voix lui répond. Une voix d'homme. - Je me demandais si vous aviez besoin d'aide. - Du tout. Répond-il. La voix est celle d'un passant... Je veux me redresser, remettre mon jean en place, me cacher ! Je m'affole. Il me maintient. - Continue de me sucer. Ne bouge pas. La voix se rapproche. - Visiblement vous n'avez pas besoin d'aide. L'inconnu a alors un petit rire pervers qui me révulse. - Je me fais juste pomper le dard par une salope. L'adorable salaud. Sa réplique dans cette situation, il le sait, me trouble au plus haut point. - Elle sait y faire. Il apprécie de me faire oeuvrer ainsi devant un autre que je ne vois pas. Je l'engloutis. Je bave autour de son pieu qui me défonce la bouche en tout sens. Je vais le rendre fier de moi. - C'est une bonne suceuse. Je poursuis ma fellation avec gourmandise. La vitre passager s'ouvre et je sens une brise fraiche se poser sur mes fesses et mon sexe en feu. - Elle a un beau cul. Toujours cette petite voix qui m'agace. Je le pompe avec plus d'insistance comme pour l'avaler et faire disparaitre son pieu. - Un beau bijou aussi. Il admire le cristal qui est planté dans mon étroitesse. Je suis sur qu'il doit bander dans son froc. - Il faut un beau cristal pour un si bel écrin, non ? Il vient de lui clouer le bec et j'en suis heureuse. Il se dresse et son membre bute dans mes joues. J'ai l'impression d'être distendue de la bouche. - Ca lui plait le plug ? Sa voix montre son souffle plus court. Cet inconnu déplaisant ne doit pas en revenir. Cela m'amuse presque. - Elle reste excitée et comme ça son cul est toujours près à se faire sodomiser. Il parle de moi crument et mon sexe réagit instinctivement. Il s'en apperçoit derrière moi. - On dirait qu'elle mouille. Je suce par réflexe, attentive aux paroles que s'échangent mon Maitre et ce badaud. - Ecarte les cuisses que monsieur puisse voir si tu es trempée. J'obéis en gémissant. Je sens son regard détailler mon sexe et mes fesses. - Elle a la chatte bien mouillée. Il dit vrai. Je ruisselle d'excitation. - On peut toucher ? Les larmes me montent aux yeux... mais ma croupe se cambre... Attirance et répulsion. - Seulement du bout des doigts. La réponse cingle comme une cravache. Je suis sa chienne et il autorise un homme à me faire une caresse. Et je tends mon arrière-train vers la main inconnue qui flatte mon cul, appeurée et pleine d'envie. Telle une forcenée je le suce comme jamais. Les coups de queue qu'il me donne me font saliver et j'aspire autant que je le peux. Avec une délicatesse que je n'aurais pas soupçonnée, l'inconnu presse ma motte entre trois doigts. Il glisse dans ma fente et il parvient sans mal à titiller ma perle gonflée de désir. Un doigt dans mon antre, les deux autres pressent mes lèvres. Il me caresse avec douceur. Je ralentis mes suscion, la bouche rougie. Je lâche un petit cri quand il m'enfile deux doigts dans la chatte. Je suis tellement lubrifiée qu'il me force sans effort. A l'intérieur de ma vulve il entame un massage interne qui me fait pousser vers lui et l'introduire plus loin dans mon sexe offert. Je gémis, le sexe de mon maitre sortit de ma bouche. Il me caresse les cheveux et mon front, moite. - Elle aime ça dites-donc. Commente l'inconnu sans cesser de me masturber profondément. Je geins de plus en plus fort et je perçois la montée fébrile de l'orgasme. Un nouvel orgasme, pénétrée par une main inconnue et la bite de mon Maitre en pleine bouche. Je plonge vers son sexe. Ma bouche peine à se serrer sous l'effet de l'effort continu qu'il ma fait subir à le sucer et le plaisir qui monte en moi. - Elle adore ça, en bonne salope. Sa veine palpite, son pieu se contracte. Ma vulve lui répond. Les doigts me fouillent. Sa tige se tend. J'aspire et je pompe comme une folle. Il me pistonne la chatte avec ses doigts. Il lâche son jet dans le fond de ma gorge. Je jouis. J'avale par gorgée l'épais liquide qu'il me déverse dans la bouche. Les doigts font dans mon sexe souillé, un bruit similaire à des pas dans un marécage. Il me maintient autour de sa queue. Ses couilles se vident. Je le déguste. Mon arrière -train ondule jusqu'à la fin de ma jouissance. Les doigts s'extraient pour me laisser ouverte à la vue de l'inconnu. Il relâche la pression mais je lèche maintenant pour le nettoyer. La vitre se referme. Les pas s'éloignent. Mon cul à la vitre se calme. Je redresse mon visage. J'ai mal. Mes lèvres sont douloureuses. Mon sexe est en feu. Je ne parviens qu'avec peine à fermer ma bouche au gout de foutre. J'essuie mon menton dégoulinant de ma salive et de son sperme. Je me réajuste. Il vient m'embrasser. Nos langues se mèlent et s'enroulent. Il renferme son membre assouvi. - Tu es vraiment parfaite. Me dit-il. Je lui souris. - J'ai adorée, réponds-je. Du dos de ses doigts il flatte ma joue. - Je suis assez pute pour vous ? - Tu aimes, c'est visible. - J'adore. Je deviens une assoiffée de sexe et avec lui je me sens femme, libre, belle. - Alors tu vas apprécier la suite de ton éducation, et de notre sortie... Au creux de mes reins déjà l'étincelle de l'excitation se refait sentir... affolée.   A suivre...
Mar 26 oct 2010 Aucun commentaire