Le blog de M.
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Après un début de journée calme, nous nous retrouvons sur le canapé pour siroter un café.
Elle a revêtue une de mes chemises qu'elle n'a que peu boutonnée.
Ses jambes douces et pâles… ses seins généreux… ses hanches ondulantes… sa bouche délicieuse…
Simplement vêtue de cet effet, chaque pas qu'elle fait dans la pièce soulève un vent de volupté.
Nonchalamment ma main caresse son cou.
Sa peau chaude et lisse est douce sous mes doigts.
Elle penche légèrement son visage de côté pour dégager sa nuque et éloigner de ma main son fin collier de cuir qui lui rappelle sa condition.
Au hasard de mes caresses ma main vient glisser sur le tissu qui recouvre ses seins.
Sur la rondeur ferme je laisse errer le bout de mes doigts.
Je rencontre son téton et je décide de revenir par moment sur cette aspérité qui ne fait que se tendre un peu plus à chaque fois que je la frôle.
Chaque passage est une nouvelle découverte.
Son bout se durcit.
Mes doigts le font vibrer lorsqu'ils le forcent à se plier pour ensuite le libérer.
Je joue ainsi avec elle quelques longues minutes en élargissant mes explorations à chaque minute.
La forme rebondie de sa mamelle se retrouve bientôt complètement palpée par le bout de mes doigts.
Dans le creux de ma main, entre mon pouce et mon index, je viens serrer le mamelon orgueilleux.
Il roule comme mes doigts se frottent l'un à l'autre.
Sa poitrine se soulève et sa respiration s'accélère.
Je le tire doucement pour le relâcher dans un ersatz de succion manuelle.
Son bout est dur comme une pointe de crayon, il s'élargit pour être à l'image de ses gros seins, Impérial.
Je devine sous le coton l'auréole qui rougit du désir qui enfle.
Je sais que son pourtour se rosi à chaque étreinte que je lui fais subir.
Serrée entre le bout de mes doigts je tire sa tétine lentement vers le haut dans de doux va et vient.
Sa bouche s'est entre-ouverte, ses yeux se sont clos, elle soupire quelques "humm" qui m'invitent à poursuivre mes agissements.
Ses hanches se soulèvent et ondulent irrésistiblement attirés par ce mime de coït qu'elle ne peut empêcher.
Langoureusement son corps se tord sous les caresses que j'exerce sur sa splendide mamelle.
Lorsque je cesse et que je la libère de mes pressions, elle reste sous l'influence de l'excitation, le bassin cambré, les cuisses s'écartant de plus en plus.
Je l'abandonne ainsi pour préparer la suite de cette journée.
Quelques courtes minutes plus tard je la retrouve.
Assise sur le fauteuil, seule, les yeux fermés.
Elle a ouvert les boutons de la chemise pour libérer sa poitrine qui lui fait mal à force d'être excitée.
Elle palpe les formes généreuses de sa poitrine, soupesant un sein, irritant le téton, pétrissant la douce rotondité.
Ses cuisses sont largement ouvertes, le tissu est remonté sur ses hanches.
Ses doigts appuient sur la motte glabre.
Entre ses doigts, ses lèvres s'écartent pour apparaitre au grand jour, luisantes d'envie.
Elle se caresse en solitaire, les yeux clos, le visage serein.
Je l'observe faire.
Mon sexe est tendu devant ses attitudes sensuelles et son corps sublime.
Le calme de l'après-midi seulement troublé par sa respiration profonde et passionnée.
Du bout de ses doigts elle fait rouler son clitoris dans son foyer humide.
Ses mains alternent, ses doigts salis caressent le téton alors qu'elle enfonce son médius dans son vagin pour se doigter avec une extrême lenteur.
Elle porte son doigt à ses lèvres, le suce pour en recueillir sa liqueur avant de lui faire reprendre l'excitation de ses pointes arrogantes.
Elle est avec elle-même, perdue dans sa lubricité intime.
Dans un souffle elle murmure un "Monsieur", et son doigt s'enfonce en elle avec plus de rythme.
Je tousse légèrement et elle s'arrête soudain.
En ouvrant les yeux elle rougie et balbutie quelques excuses incompréhensibles qui me ravissent.
Je lui tends ses vêtements, "Nous sortons".
Elle s'habille en silence comme prise en faute avant de se confondre en explications.
Elle avait oubliée mon absence et se masturbait en pensant à moi.
Je décide de l'ignorer et elle se tait, confuse.
Lorsqu'elle marche à mes côtés je peux voir que son jean moulant presse son sexe encore excité et qu'elle ondule du bassin pour faire durer ce moment de plaisir.
Sous son petit haut échancré, sa paire de seins ballotte au gré des pas, ses bouts vigoureusement apparents.
Deux mamelles voluptueuses sans harnais.
Ce n'est qu'une fois assise sur le siège passager que je l'excuse de sa conduite.
Elle sourit mais son sourire disparait lorsque je lui impose de descendre son jean au-dessus de ses genoux pour continuer ses caresses, pendant que nous roulons.
Ses cuisses sont serrées et sa main disparait entre les chairs blanches pour s'agiter dans son entre cuisses.
Du coin de l'œil je m'aperçois qu'elle y prend un plaisir insolite.
Lorsque je lui fais glisser son pantalon aux chevilles elle écarte instantanément ses cuisses pour favoriser sa masturbation.
Nous roulons ainsi, moi, concentré sur l'itinéraire, elle, excitée et les doigts insérés dans le compas de ses jambes.
Lorsqu'à un feu je me place à côté d'un scooter, elle cherche à se cacher.
Mais ma réponse est ferme, elle doit continuer.
Afin de la rassurer je clos les portes de l'intérieur.
Le casque se tourne et je devine les yeux écarquillés derrière la visière.
Elle l'a vu et elle perd sa retenue.
Son majeur s'enfonce avec l'index alors que son pouce excite sa perle durcit.
Le feu n'en finit pas d'être rouge.
Rouge comme ses joues, comme son bonbon qu'elle offre au spectacle de l'homme en scooter dans une lente masturbation.
Le départ lui fait pousser un soupir.
Nous laissons loin derrière nous l'heureux profiteur et sur le boulevard de ceinture j'avise un camion pour me mettre à sa hauteur.
Son regard trouve le mien.
Nos sourires complices s'échangent et elle poursuit l'acte de sa masturbation, à portée de vue du conducteur qui surplombe et peut ainsi profiter pleinement du spectacle qu'elle lui offre.
Elle agite sa main avec méthode et délicatesse, ouvre son sexe pour faire rouler entre ses doigts son bonbon et s'enfoncer deux puis trois doigts dans sa fente trempée.
Je double alors, et, remerciement ou reconnaissance, j'hérite d'un appel de phares ainsi que d'un salut de la main.
- Il a bien profité, tu l'as rendu heureux.
Elle se pelotonne dans le siège pour poursuivre avec plus d'intimité sa lubrique activité.
Les yeux mi-clos elle est aux portes du plaisir.
Ses gestes s'accélèrent, deviennent brusques.
Je la stoppe quelques instants avant la secousse ultime.
Ses yeux sont plus clairs, au fond de ses pupilles brulent les braises ardentes de l'envie.
Je lui tends un god.
Elle sourit et le prend.
Dans sa bouche elle le place afin de l'humidifier.
Simulacre de chibre beige, elle le suce quelques secondes comme s'il était vrai, pour venir le placer entre ses cuisses.
Tenu fermement dans sa main droite, elle s'applique à le faire entrer dans son sexe.
Sa main gauche écarte ses lèvres pour lui faciliter l'intromission.
Peu à peu je vois disparaitre les centimètres de la bite artificielle dans son vagin trempé.
Un nouveau feu et les deux motards n'en perdent pas une miette.
- Fais un sourire pendant qu'il te matte, lui dis-je.
Surprise, elle sourit dans une grimace, le pieu s'enfonçant presque intégralement dans son ventre.
- Fais-le aller et venir, ils veulent voir comment tu te forces.
Elle ne se fait pas prier pour entamer un long va et vient.
Les visières des motards se lèvent pour apprécier la masturbation qu'il leur ait donné d'observer.
Sa cyprine fait luire le manche qu'elle extrait puis entre sans cesse dans son intimité qui n'en est pas une.
Sa respiration devient saccadée, forte.
Elle gémit.
Je démarre, escorté par les motos qui nous laissent bientôt dans une roue arrière.
Sa bouche s'ouvre grand pour laisser s'échapper un cri qui se confond dans les rugissements des turbines.
L'artefact enfoncé en elle, elle jouit sans retenue, ses doigts sur sa perle.
Lentement elle sort le god ruisselant de sa fente écartée avant de s'essuyer.
- Lèche-le.
Sans une hésitation, avec un large sourire, elle passe sa langue pour recueillir son jus.
Elle nettoie consciencieusement puis remonte son jean.
J'avise un parking à l'écart, sous les arbres, que je sais inusité dans le week-end.
J'y dirige l'auto.
- A mon tour.
Elle rougit, ses yeux me dévorent.
A suivre...