Le blog de M.

[...]

La sonnette retentit.

Je me dissimule dans le bureau.

Elle s'en va ouvrir dans sa tenue légère.

Quelques regards vers moi. Elle me cherche des yeux dans l'entrebâillement obscur.

Je la sens hésitante et honteuse mais résolue à me satisfaire.

Je n'entends pas les premiers mots de l'échange mais aux silences je distingue que mon jeune voisin doit être surpris par l'accueil.

Ils se rapprochent et entrent dans mon champ de vision.

Elle marche, lentement vers la table où trône le téléphone oublié.

Il l’a suit, les yeux fixés sur son postérieur qu'elle balance lentement.

D'où je suis je peux distinguer la vallée qui sépare ses deux mots appétissants. Le tissu est léger et suggère plus qu'il ne cache.

Elle s'appuie à la table pour lui faire face, le téléphone en main, dans son dos.

Je sens que le moment va devenir des plus intéressants.

Va t-elle aller jusqu'au bout ? Va t-elle m'obéir et se livrer devant mes yeux à ce jeune homme ?

Ma verge enfle alors que j'observe son stratagème et ses formes envoutantes.

- Tu oublis souvent des choses chez les femmes ?

Il reste interdit par la question.

Je peux voir que son visage cherche à ne pas la regarder malgré l'envie évidente de la détailler.

La réponse négative est bredouillée.

- C'est dommage... poursuit-elle en se redressant, ce qui a pour effet de faire remonter ses seins de manière provocante.

Elle pose sa main sur son tee-shirt.

Un coup d'œil vers moi. Je reste caché.

Elle hésite.

Il la sauve en relançant la discussion.

- Mais... votre... homme... s'il vous voyait comme ça avec moi...

- Tu m'as déjà regardé non ? Avec lui en plus.

Sa voix a repris de l'assurance.

Il rougit.

- Ca t'a plu ?

Il hoche la tête.

Elle se rapproche de lui.

- A moi aussi.

Sa main descend sur sa braguette et elle effleure son sexe au travers du jean.

- Je suis gêné. Dit-il.

- Gêné mais pourvu d'un bon paquet...

Sa main empoigne et malaxe l'entre jambe qui se durcit visiblement.

Elle lui sourit.

- Tu as une copine ?

- Non... Vous êtes très belle.

- Tu es mignon également.

- En fait je... j'ai jamais... enfin...

Elle ralentit ses mouvements.

- Je suis ta première femme ?

Il répond dans un murmure un "oui" presque inaudible.

Elle dépose un baiser sur ses lèvres.

Sa bouche rencontre une autre bouche et je me sens traversé par un éclair de jalousie.

Elle reprend ses manœuvres d'une main alors que de l'autre elle prend sa main et la dépose sur son sein gauche.

- Pétris-moi.

Il ne se fait pas prier pour caresser de plus en plus fortement la poitrine avantageuse qu'il a à portée de main.

Elle descend les fines lanières qui glissent sur ses bras et rapidement sa poitrine se trouve dévoilée.

Si elle se force à me faire plaisir, il est certain qu'il lui procure du plaisir si je m'en réfère à ses tétons tendus.

Elle lui glisse quelques mots à l'oreille et je vois ses doigts devenir plus experts.

Il la pince, il tire et fait rouler les mamelons, agissant à ses ordres comme un automate.

Pendant ce temps elle extraie le membre viril qui bientôt se trouve à l'air libre.

Elle s'écarte doucement pour observer l'engin.

Entre ses mains douces je peux voir un autre sexe que le mien, dur et qu'elle caresse.

- Tu te branles en pensant à moi parfois ?

- Souvent. Vous êtes dans mes fantasmes...

- Tu es adorable... mais là c'est moi qui vais jouer avec ton hochet.

Ses doigts repliés autour de la tige de chair elle l'agite de bas en haut.

Il a maintenant les deux mains sur sa poitrine.

Elle se cambre pour lui offrir ses gros seins.

- Viens me téter.

Une autre bouche que le mienne se plaque contre les mamelons voluptueux et les sucions s'intensifient, lui provoquant des gémissements de plaisir que je reconnais bien.

Elle ne joue plus, elle prend son pied et s'agenouille devant lui.

Sa langue vient passer sur le gland rouge sombre.

Le pantalon est aux chevilles, rapidement il n'est qu'une relique au sol.

De sa main experte elle palpe ses bourses tout en léchant la hampe de bas en haut d'abord timidement puis de plus en plus proche.

Il a les deux mains sur la table, ne sachant qu'en faire.

Je voudrais lui dire de la posséder comme j'en ai envie mais je me retiens...sous l'effet d'un plaisir inattendu en moi, celui de la voir œuvrer avec un autre homme.

Elle le lèche longuement en tournant autour du bout de son sexe avant de l'avaler.

Goulue elle le gobe entièrement.

Le gourdin de chair va et vient dans sa bouche presque jusqu'à disparaitre.

Il gémit par moment comme elle le pompe avec délicatesse.

Entre ses lèvres douces elle fait coulisser avec plaisir ce nouveau membre dans sa bouche.

- Tu as un bel engin, lui dit-elle.

Il ne peut répondre, accaparé par son désir qu'il s'efforce de faire refluer.

Serrant ses seins autour du pieu elle entreprend de la branler de la sorte.

- Regarde-moi dit-elle.

Il obéit pour voir son sexe emprisonné entre les deux lourdes mamelles se faire masturber avec indécence.

- Je ne vais pas tenir, halète t-il.

Elle l'embouche alors sans une seconde d'hésitation.

Je la vois chercher mon regard. Elle ne m'a donc pas oublié dans son plaisir.

Consciencieuse elle le suce avec une extrême lenteur pour aller de plus en plus vite et lui arracher des râles masculins.

Elle ne cesse de regarder en ma direction. Suis-je dans ses pensées comme cet autre vit est dans sa bouche ?

- Attention, lance t-il, je vais jouir.

- Ne t'inquiète pas, j'avale, répond-elle tout en tapant son sexe sur sa langue.

Alors le jet vient lui frapper le visage.

Elle reprend à pleine gorge cette queue qui se libère pour avaler les dernières gorgées.

Le front et la joue maculée du foutre d'un autre je l'observe engloutir l'épais liquide qu'il lui déverse dans le gosier pendant qu'elle le branle sans ménagement.

Lorsqu'elle ralentit le geste, il semble avoir les jambes en coton.

- C'était bon, dit-il en caressant les cheveux de ma soumise.

Dans ses mains elle garde le membre assouvi.

- Oui. Très bon. Ton jus à une saveur délicieuse.

Il se ressaisit.

- C'est ma première fois, je suis désolé de ne pas avoir pu tenir la distance.

Elle prend sa main.

- Nous n'avons pas fini...

Et elle l'entraine vers la chambre.

Elle n'en n'a pas fini avec lui effectivement et cela m'excite au plus haut point.

Je suis alors son arrivée dans la chambre d'amis sur mon écran via la petite caméra qui tourne silencieusement dans la pièce d'à côté.

Elle se coule à quatre pattes sur le lit, féline.

Ses hanches ondulent et ma petite farouche devient une chienne en cet instant.

Elle sait où est l'œil qui la regarde et sa position me donne un point de vue parfait sur les prochains ébats qui vont se dérouler ici.

- Enlève ma culotte.

Il obéit et fait glisser le tissu léger le long des cuisses nues.

Elle écarte légèrement ses jambes.

- Dans tes fantasmes, tu me lèches ?

Il bredouille une réponse affirmative.

Elle s’allonge sur le lit, lui offrant une vue splendide sur son sexe rasé.

- Vient découvrir le plaisir de me goûter en réel.

Il s'agenouille entre les cuisses douces qu'elle écarte largement.

Son visage disparait.

Elle ondule et se mord les lèvres pour laisser finalement un cri s'échapper alors que ce jeune mâle la dévore sans retenue.

Ses yeux cherchent la caméra, elle m'envoie un baiser.

Puis elle gémit.

Elle y prend plaisir !

Je ne peux résister à l'envie de me caresser comme je la vois atteindre l'orgasme.

Il se dresse au-dessus d'elle.

Son sexe a repris vigueur.

- Tu bandes encore. Lui dit-elle les yeux gourmands.

Il ne répond rien et remonte entre ses jambes.

-          Le jeune loup veut me prendre… hum…

Au son de sa voix je sens qu’elle a envie d’être emmanchée.

Dans le petit souffle qu'elle pousse je sais qu'il vient de la forcer.

Elle se laisse prendre en lui ouvrant son intimité.

Je la devine brulante et douce comme je la regarde se faire baiser par un autre.

Il va et vient, lui arrachant peu à peu de petits cris éloquents.

Elle le repousse soudainement pour se tourner et se mettre à quatre pattes.

Je n'en crois pas mes yeux, elle lui tend son arrière-train, elle veut se faire sauter en levrette !

- Fourre-moi ! Allez !

Ses encouragements semblent décupler la volonté et les ardeurs de son fougueux étalon.

Il se met à râler sous les "oui !", "baise-moi !", "allez ! je veux ta queue !", "ouiii !", "vas-y ! baise-moi profond !" que produit ma douce soumise qui se déchaine sous la verge nouvelle.

Le bas ventre du jeune homme claque contre les cuisses et l'entre jambes.

Elle se cambre et l'accompagne dans cette danse obscène.

Je peux voir disparaitre au fond de son ventre l'intégralité du vit qui en ressort luisant pour s'enfourner à nouveau.

Ses mains pétrissent ses fesses et il vient chercher son petit trou.

Pour un jeune puceau il a des idées déjà bien en place et de la voir ainsi se faire baiser tout en se faisant ouvrir le fondement me rend fou de jalousie et de plaisir.

Il pose son doigt sur la rondelle de ma soumise en lui écartant les fesses.

Elle réagit en ralentissant le rythme.

- Tu ne me prends pas par là... tu découvriras ce plaisir avec une autre.

Il éloigne son doigt et se confond en excuses.

- Mon cul est réservé à mon Maitre. Mais... tu peux me doigter par contre… si tu veux… j’adore que l’on me prenne le cul.

La petite main féminine vient saisir le poignet masculin pour le replacer au-dessus de la vallée ronde de son séant.

Telle un préceptrice geisha, elle devient alors son professeur et lui enseigne, devant mes yeux, avec son corps, de multiples façons de lui faire l'amour.

Elle le guide pour qu'il lui assouplisse l'anus, pour qu'il parvienne à la branler tout en la fourrant et la lécher avec délicatesse en alternant les coups de langue et les succions de sa perle.

Ses conseils et les positions s'enchainent.

Allongée de côté, sur le dos, à genoux, sur lui, elle se fait empaler en lui indiquant les gestes qui la font grimper aux portes du plaisir.

Il lui pétri les seins comme elle sert de fourreau à sa dague de chair.

Elève appliqué, il est attentif et il ne s'impatiente pas lorsqu'il lui relève les jambes par dessus la tête pour la fourrer profondément.

Après de longues minutes à se faire posséder, elle se laisse aller et jouit dans un feulement.

Pour cet instant qu'elle me donne, elle s'est placée face à l'œil qui la regarde.

A quatre pattes, je peux voir sa lourde paire de seins osciller sous les coups de reins que lui administre le jeune homme.

Les courbes gracieuses de ses fesses, cambrées, saisies par les mains masculines, auréolent son corps d'un érotisme torride.

Il s'est enfoncé en elle et je devine son pieu planté jusqu'à ce que la toison sombre de cet autre soit écrasée sur la chatte glabre et ruisselante.

Elle se caresse pendant qu'il la chevauche.

Chaque assaut crispe son doux visage et lui fait ouvrir la bouche pour un gémissement éloquent.

Puis, comme pour me défier ou me prouver sa soumission, elle lèche son doigt d'une manière qui me rend fou de désir.

C'est lorsqu'elle ferme les yeux que je sens son plaisir l'envahir.

Elle les ouvre à nouveau après quelques instants qui me paraissent durer une éternité, assouvie, tandis qu'il poursuit ses assauts de plus en plus gauches et fébriles.

- Vas-y. Viens au fond de moi. Lui dit-elle en l'observant faire.

Il pousse alors de longs râles pendant que son orgasme se produit.

Je la regarde se faire remplir par un autre.

Je devine sa chatte dégoulinante de foutre alors que le membre va et vient pour finir de se vider.

Et je rejoins leurs jouissances, éjaculant à mon tour, les yeux rivés sur sa poitrine, sa bouche entre-ouverte et ses fesses relevées de salope.

Il tombe à genoux derrière elle.

Elle vient déposer un baiser sur son front comme on récompense un enfant.

- Tu es un bon amant. Tu feras le plaisir de plus d'une femme.

Il lui sourit pendant qu'elle revêt une petite culotte qui déjà se tâche du foutre d’un autre que moi.

Lorsqu'ils sortent de la chambre, il n'est pas encore totalement rhabillé lorsqu'il lui demande s'il pourra revenir.

- Non. Tu pourras peut-être me voir comme tu as déjà fait auparavant, mais désormais c'est à toi de trouver ta prochaine conquête.

Elle dépose un baiser sur sa joue tout en refermant la porte, sa poitrine encore libre.

 

C'est l'instant que je choisi pour la rejoindre et l'attendre.

Elle va être punie... pour son obéissance.

 

A suivre...

Mar 5 oct 2010 Aucun commentaire