Le blog de M.
Je n’avais plus de nouvelle de lui depuis quelques jours.
J’étais inquiète car je me demandais s’il n’avait pas trouvé une autre élève et m’avait abandonnée.
Alors, anxieuse, je regardais dans mes mails une nouvelle fois, guettant le moindre signe.
Je me prépare...
Le simple fait de lancer l’ordinateur, et de savoir qu’il peut m’avoir écrit et je sens déjà le désir palpiter dans le creux de mon ventre.
Rien. Hélas.
Alors je lis les anciens messages.
Ses mots qui me flattent et ses quelques ordres qu’il me fait exécuter me rappellent ces souvenirs de jouissance si intenses.
Je sais ce qui va se passer et je poursuis la lecture. Un observateur pourrait voir mon sourire discret.
Ma main se pose sur ma cuisse pour en relever, au fil de mes lectures, le tissu jusqu’à ma taille.
Je n’ai sur moi qu’un petit top rose, une robe noire légère et transparente.
Aucun dessous. Le frottement du tissu sur mon corps, sur mes pointes de sein, sur mes hanches, m'excite plus que son inexistence.
D’une main c’est mon sein que je flatte pour très vite sentir sous mes doigts mon mamelon s’ériger.
Je fais glisser le tissu qui recouvre mes globes et, tout en continuant de lire, je caresse ma poitrine à pleines mains.
Je m’aperçois que j’ai écartée les cuisses par réflexe, comme il me l’ordonne, lui, mon Maitre.
Le reflet flou de l’écran me renvoi l’image de mes beaux seins dardés vers l’avant.
L’image de ces deux superbes formes pleines que je presse.
Mes tétons sont sensibles et lorsque je les fais rouler sous ma paume de main, je ne peux réprimer un petit gémissement.
Je me fais rougir toute seule.
Il va me rendre folle. Même en son absence il me fait mouiller et lorsque je m’excite c’est lui qui me possède.
Tirés en tous sens, mes tétons durcissent et je joue avec eux en les titillant du bout des doigts.
Mes jambes s’agitent et je cherche à me frotter au siège.
J’aperçois mon sexe qui luit.
Je mouille.
Des bouffées de chaleur empourprent mon visage.
De mon sein à mon ventre, ma main droite glisse et vient frôler le peu de pilosité qu’il m’autorise à avoir.
Je calle mes jambes derrière les pieds de la chaise pour me maintenir dans cette position qu’il affectionne.
Il pourrait m’attacher s’il était là.
Une vague d’excitation déferle sur moi.
Il m'attacherait pour me maintenir à sa merci. Cette simple évocation me gorge d'envie.
Avec douceur je viens caresser les pourtours de mon sexe non sans laisser échapper quelques soupirs.
Au fur et à mesure que mes caresses deviennent plus appuyées, mes gémissements gagnent en intensité.
Je perds le fil du récit pour retrouver celui des images.
Ma perle de bonheur vient se placer sous le bout de mon index.
Je la fais rouler lentement.
Comme j’aimerais avoir sa langue à me dévorer…
J’écarte mes lèvres pour pouvoir masturber avec plus de force mon clitoris qui se gorge de sang.
Mon bouton devient dur et si sensible que je rejette mon visage en arrière et cambre mon bassin vers l'avant à la recherche de mes doigts.
Entre la pression et l’effleurement je maitrise mon plaisir comme nul autre ne sait le faire… à part Lui…
Quand il me bouffe… quand il me prend… lorsqu'il me possède.
Je me fais bientôt gagner un état de demi-conscience où seul mon plaisir compte.
Ma main gauche s’occupe de mes seins alors que, de ma main droite, je me branle devant les mots de mon Maitre.
Je me surprends à murmurer quelques mots crus. Je sais qu’il aime cela et je lui fais ce plaisir, autant qu’à moi.
Ils ont pour effet de rendre mon sexe complètement trempé.
Je suis en chaleur, comme une chienne. Sa chienne…
J’introduis un de mes doigts et c’est un délice alors que de me doigter de la sorte.
Deux de mes doigts s’enfoncent en moi pour m’élargir.
Mes nymphes s’écartent pour me laisser faire.
Ce bruit aquatique lorsque je me branle… lorsqu’il me branle… Je devine sa bouche qui va venir entre mes cuisses… sa langue qui va venir titiller ma perle… et mon cul.
Ho mon cul… j’y hasarde un doigt.
Seule, non, je n’y arrive pas… mais lorsque c’est le sien, lorsqu’il m’introduit par derrière après m’avoir léché…
Comme je le voudrais là, dans mon petit œillet étroit, à me baiser par le cul comme sa catin.
Je sens les soubresauts de la jouissance venir.
Je le voudrais tant derrière moi à me bouffer la chatte puis sentir sa queue me transpercer.
Mon corps se cabre.
Mes pieds, coincés, me font mal et ce mal accroit mon plaisir.
Il me rend folle de désir.
Je m’attarde sur mon sexe, j’accélère.
De mes doigts je fais aller en tous sens l’objet luisant de mon plaisir.
Je vois alors apparaitre l’icône d’un message.
Il va attendre… Non ! C’est Lui. Je ne dois pas le faire attendre.
Je dois lâcher mon mamelon pour ouvrir.
Mais mes doigts sont toujours dans mon intimité à s'agiter.
Je veux lire son message, deux doigts dans mon sexe, au bord de l’orgasme.
Il me dit qu’il arrive me chercher, que je dois être prête et sensuelle.
Il m’embrasse.
Je ferme les yeux.
Je joui.
Autour de mes doigts coulent ma cyprine odorante.
Je me fouille en douceur tout en relisant.
Alanguie sur ma chaise, les cuisses écartées, je sais que je n’ai que quelques minutes pour me préparer.
Je serais prête Monsieur. Toute à vous.
A suivre…