Le blog de M.

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La petite cabane du jardin public n'est pas fermée à clé.

Les quelques personnes qui flânent ne nous voient pas entrer et refermer la porte doucement derrière nous.

Un dernier regard vers l’extérieur avant de refermer discrètement la porte et laisser à nos yeux le temps de s’habituer à la pénombre.

Tu es appuyée sur le chambranle de la porte. Radieuse dans ta tenue légère.

Le sentiment de risque et d'intrusion là où nous ne devons pas être accroit encore notre excitation.

Je m'approche de toi et te cueille par la taille.

Tes yeux brillent sous l’influence croissante du désir dans ton bas ventre.

Nous nous embrassons avec fougue.

Tes lèvres ont ce gout si particulier qui attise le brasier de ma verge.

Tes mans glissent de mon dos à mes fesses pour me presser contre toi.

Tu me veux collé à toi, serré. Ton "je te veux", laché dans un murmure, me ravi.

Sur ta jupe j'écrase mon pubis.

Tu te frottes instantanément à la bosse déjà bien visible.

Lentement ton corps excite mes sens.

Mes mains s'emparent de ta poitrine. Je sens au travers le tissu se dresser la pointe de tes seins.

Je contemple ton corps dont je ne distingue que les formes.

- J'apprécie réellement ce petit look "bourgeoise-pincée".

- La bourgeoise qui se fait prendre par le palefrenier ?

- Ou le marquis exerçant son droit de cuissage sur la servante...

- Hum oui... prenez-moi comme une souillon Monsieur. Me lances-tu dans un sourire.

Je te retourne avec violence pour te placer dos à moi. Tu émets un cri de surprise.

La soudaineté du geste te prend au dépourvu mais tu ne peux résister à l'envie qui te brule et tu te cambres aussitôt en position offerte, le fessier tendu vers moi.

Les mains sur le petit établi encombré, tu peux admirer le paysage par la lucarne mais tes yeux sont clos et tes lèvres se pincent de désir.

- Tu me disais être mouillée... voyons voir si cela est un mensonge.

Ma main vient remonter ta jupe droite et se plaquer sur ton sexe.

Ta croupe tendue vers moi est une offrande merveilleuse.

Je caresse ton sexe qui s'ouvre, sans effort comme une fleur délicate, une orchidée rose, splendide.

Je glisse un doigt entre tes lèvres et tu étouffes un gémissement lorsque mes doigts t'écartent pour t'enfoncer.

Mon médius glisse en toi et te fouille sans ménagement.

Avec fermeté tu te retrouves accoudée et cambrée.

Je remonte ta jupe tout en continuant de te masturber de façon presque brutale.

Tu geins sous la rudesse des caresses. Ton vagin se contracte à chacune de mes intrusions.

Le tissu recouvre désormais ta taille et je peux admirer à loisir la blancheur pâle de tes fesses.

Là, entre tes cuisses écartées, ma main s'agite.

Elle va et vient dans ton intimité, sans arrêt, te forçant à t'allonger sur le bois, irritant tes seins, augmentant ton excitation.

Ma main claque sur ta fesse droite qui rougit aussitôt comme tu émets un "Ho" de surpris autant que de plaisir.

- Tu n'es pas mouillée... tu es complètement trempée.

Je te fesse doucement sans cesser de te fouiller fermement de deux doigts.

Peu à peu tes gémissements deviennent de plus en plus forts, rapides, comme mes gestes deviennent plus rudes.

Tu entends le bruit caractéristique que fait ma ceinture qui se détache et mon pantalon lorsqu’il s’ouvre.

Tu rejettes la tête en arrière et tu plonges ton regard dans le mien.

La bouche entre-ouverte je vois ta langue passer sur tes lèvres dans une mimique sensuelle presque obscène.

Mes doigts te forcent et tu te mords la lèvre inférieure dans une attitude de défi.

Je n’ai qu’une envie : te chevaucher et t’entendre gémir de plaisir.

Mon vit palpite entre mes doigts comme je l’approche de ton sexe ouvert.

Tu tends ta croupe vers moi.

Tu ne peux plus retenir ton envie de te faire prendre.

Je saisi tes cheveux, tire ta tête en arrière et présente mon gland lisse contre ta chatte ouverte.

Accoudée sur la table, offerte, tu te trémousses.

-         Prenez-moi Monsieur, prenez-moi comme un hussard… je suis à vous.

Tu n’as pas le temps de finir cette phrase que mon sexe s’enfonce dans le tien.

Autour de mon gland frottent les parois chaudes et lubrifiées de ton vagin.

Je m’enfonce rapidement et profondément.

Chaque va et vient te perce un peu plus.

Tes petits cris deviennent plus rauques.

J’accélère cette pénétration en levrette pour te saisir par les hanches et venir appliquer mes bourses sur le pourtour de tes lèvres, dans un assaut animal.

Tu cries. Je me recule et te force d’une seule traite.

Entre tes lèvres écartelées par la grosseur de mon pieu, je viens limer au plus profond de toi.

Mes couilles buttent enfin contre tes fesses alors que ton vagin subit mes outrages.

Incapable d’articuler, tu ne peux plus émettre que de longs soupirs et quelques onomatopées qui m’excitent encore plus.

J’entame alors de te bourrer sans ménagement.

Mes coups de reins deviennent plus violents.

Ma verge s’enfonce dans ton ventre.

Je coulisse à l’intérieur de ta chatte brulante.

Tes fesses qui rebondissent à chacune de mes pénétrations, tes seins qui ballottent sous ton chemisier, tes yeux fermés sous les assauts, ta bouche grande ouverte qui devient muette… tes mains crispées sur le bois comme je te baise sans me soucier d’autre chose que mon plaisir… tu es sous mes coups de reins la pouliche que je chevauche tel l’étalon.

Je perçois ton plaisir atteindre un pic.

Mes gestes se font plus longs et plus pénétrants. Je ne laisse pas à ton sexe un instant de répit. Il subit le supplice du pal.

Tu ouvres la bouche pour laisser exploser un cri de jouissance.

Tu viens d’atteindre l’orgasme et d’une main tu m’incites à ne pas m’arrêter afin que ton plaisir se prolonge.

Ton sexe se contracte autour du mien comme tu libères le jus de ta jouissance qui bientôt ruissèle sur mes couilles.

-         Je n’en n’ai pas fini avec toi. Te dis-je en continuant de te baiser.

Tu te laisses prendre et, en te cambrant un peu, je profite du spectacle de ton cul qui m’excite.

Tel un séisme monte en moi les premières secousses de mon propre orgasme.

-         Monsieur, quelqu’un vient !

Par la fenêtre s’avance un des employés. Il vient certainement dans ce local.

Tu t’agites, anxieuse de te faire surprendre, le cul à l’air, en train de te faire sauter, prise en levrette comme une chienne.

Mais je ne peux m’arrêter et je poursuis mes violents coups de queue dans ton sexe béant.

-         Ho Monsieur… s’il vous plait…

Ta voix devient presque plaintive mais je ne m’en occupe pas et je continue de te baiser alors que nous le voyons approcher.

Il n’est plus qu’à quelques dizaines de mètres lorsqu’il se fait héler par un passant.

C’est l’instant où je me libère en toi.

Arc électrique qui me transperce de part en part, mon pylône dévide le jus de mes couilles dans ton vagin qui soudain se trouve pris de contraction.

Tu viens de jouir une deuxième fois alors que mon sexe crache ses jets dans le creux de ton intimité.

Nous restons ainsi, immobiles, encastrés, à observer la discussion qui se tient dehors.

La peau douce de tes fesses sous mes mains disparait alors que tu fais redescendre ta jupe.

Je reboutonne mon pantalon rapidement.

Il approche.

Nous sortons.

Il nous hèle.

Nous pressons le pas.

Tout en te hâtant tu réajustes ton chemisier.

Il a du deviner ce que nous faisions car il commence à nous poursuivre.

Je prends ta main et t’entraine au plus vite hors du parc.

De l’autre côté de la rue, il nous admoneste de quelques bons mots « pervers », « vicieux »…

Alors nous éclatons de rire comme deux adolescents qui auraient réussis à passer au travers des mailles du filet.

Le retour se fait avec ta tête sur mon épaule.

Nous prenons le temps de marcher.

L’air a soudain des fragrances douces et les couleurs sont plus nettes.

L’après coït nous invite au calme et à la sérénité.

-         Tu es une parfaite petite souillon, te dis-je en un clin d’œil.

-         Et vous un superbe Marquis, me réponds-tu, souriante. Vous savez à quel point j’aime vous obéir… et être salie.

-         A ce propos…

 

A suivre...

Lun 31 mai 2010 Aucun commentaire