Le blog de M.

[…]

Il me lance quelques regards vers lui pour observer mes seins pendre, ma croupe se relever à chaque avancée.

Je me sens bouillir du feu de l’envie.

A quatre pattes il me fait avancer, tenue en laisse.

Dans son pantalon trop étroit je vois son désir déformer le tissu.

J'ose aventurer mes yeux sur lui.

Je souris, mon esprit est en ébullition, il me domine, son regard acier me perce, magnétique, implacable et ardent.

Jouer la chienne me plait au plus haut point.

Il me retourne un sourire et continue de me contempler.

Mes fesses et Mes cuisses qui se frôlent, mes seins qui ballottent et le rendent fou de désir.

Nous arrivons dans la chambre.

Il lâche la laisse et je m’immobilise sur le tapis, le dos droit et le regard brillant, mélange d'excitation et de honte.

Je suis au bord de l'extase.

A genoux devant lui, il tourne autour de moi, la laisse pend entre mes seins.

J'ai tellement envie qu'il me promène encore, qu'il joue avec moi que j'en oublie ma dignité pour mon plus grand plaisir.

-         Ca t’a plu d’exciter mon voisin ?

-         Oui Monsieur.

Mes fesses posées sur mes talons ont pour effet d’écarter légèrement ma raie et mon sexe.

Il matte et je m'ouvre légèrement pour le rendre ivre de mon corps.

-         Pourquoi lui avoir envoyé un baiser ? Sa voix se fait plus dure.

-         Je pensais que cela vous ferait plaisir de savoir que je jouais aussi à l’exciter.

Il s'est muni de la cravache qu'il fait jouer entre ses doigts.

Le silence s’installe alors que le bout de cuir me frôle par endroits et fait glisser à terre sa chemise d'homme qui me recouvrait encore partiellement.

Je me tiens droite, fière, le torse désormais totalement nu, les mains posées sur mes cuisses.

-         Est-ce la façon que je t’ai demandé d’observer lorsque tu es assise en ma présence? Sa voix est sévère.

-          Non Monsieur.

A ces mots je relève ma jupe au dessus de mes hanches pour libérer mes fesses et m’accroupir.

J'écarte les cuisses et je libère mon sexe, offert à son regard.

La cravache vient explorer mon entre cuisses.

Elle passe sur mes lèvres humides.

Repasse et, plus fermement appuyée, s’immisce dans ma féminité.

Je ne peux m'empêcher de me cambrer, en proie à mes envies.

-         Il t’excitait ? Le ton doux de cette question tranche avec l’ambiance qui s’était installée.

Je lève les yeux vers lui.

Je me sais pétiller de malice et de désir.

-         Il est mignon.

La cravache vient claquer sur mes fesses.

Je pousse un petit cri. Le coup m’a surprise.

-         Je suis désolé Monsieur… je croyais que… je ne le ferais plus.

Il s’approche de mon visage, son souffle dans mon cou.

Ma fesse me fait mal mais je me surprends à en vouloir encore.

Il défait ma jupe d'un geste brusque...

Je me retrouve entièrement nue, accroupie, avec pour simple ornement la laisse de cuir.

-         Tu m’as excité avec ton attitude de petite trainée.

Ses mains s’emparent de la laisse et tourne autour de mon bras gauche qui se retrouve bientôt emprisonné.

Il m’aide à me relever pour me placer sur le bord du lit.

Ma respiration s’accélère sous l’excitation.

-         Tu m’as fais bander à te laisser faire sous son regard.

Il accroche le mousqueton à une barre haute de la tête de lit de façon à maintenir mon bras pris au piège et m'imposer de bomber le torse.

Je gémis. L'odeur de mon sexe me parvient. Je dois couler.

-         Je me doutais bien que tu allais prendre ton pied sous les yeux de ce petit voyeur… je te découvre sous un jour qui me plait. Tu me donnes sans cesse envie de te prendre comme tu le mérites.

Il saisit un lien de soie rouge et entreprend de lier mes chevilles à chaque montant du lit.

Je suis entravée dans mes mouvements, prisonnière d'une toile qui me maintient étendue sur le lit, nue, cuisses ouvertes.

Mes jambes ne peuvent se resserrer au plus près que d’une quarantaine de centimètres.

Sa main se place sur mon sexe sans plus attendre.

Il  lui est offert et sans aucune résistance j'écarte les cuisses pour lui enjoindre de le fouiller.

Mes gémissements me surprennent, sans retenues, de plus en plus forts.

Ses doigts caressent ma fente de manière appuyée.

-         Tu as mouillée sous son regard.

-         Sous vos gestes Monsieur.

-         Mentirais-tu ?

Ses doigts me pénètrent.

Mon vagin emplie de ses mouvements, je ne cesse de me cabrer sous sa masturbation forte.

Mon soupir se mêle au son aquatique que mon sexe produit alors que ses deux doigts le forcent.

-         Sa présence m’a fait de l’effet. Avoue-je, heureuse d'avouer ce fantasme.

Ses doigts se retirent avant de s'enfoncer plus avant, plus nombreux, et m'arracher un cri.

Son autre main m'assène une fessée qui me fait rouler des yeux.

-         J’ai aimé qu’il me regarde.

Je continue de tout lui dire, de me livrer.

Enfoncés en moi, ses doigts font des cercles larges et je livre mes secrets de femme à cette torture sensuelle qui me mène vers le plaisir.

La main s’abat avec vigueur pour la seconde fessée.

-         J'aurais voulu qu’il me matte à genoux...

Ma voix me semble si étrangère, et pourtant si familière, que mes aveux me saisissent.

Il poursuit ses allers et venus dans mon bas ventre.

Le soupir qu'il m'arrache m'empêche de finir ma phrase.

Ma fesse rougie sous l’impact de sa main.

Je le regarde, la flamme du désir brille au fond de mes pupilles.

"...Suçant telle une trainée".

Mon corps se cabre à la fin de ma phrase, mes hanches se tendent, ma main libre se crispe sur le drap, mes chevilles liées m’empêchent de me tenir comme je le souhaite et cela me procure des sensations plus intenses.

-         Oui, j'aurais voulu qu’il me voit vous sucer comme une folle, comme une chienne, à genoux.

Je râle de plaisir, excitée par mes dires et ses introductions constantes.

Un doigt de plus se fraie un passage, le quatrième, large, qui écartèle ma fente lubrifiée et béante.

Je pousse quelques petits cris étouffés.

-         Mais Monsieur, c’est vous que je voulais en moi.

Il continue plus doucement ses manigances.

Et sa main cesse de me fesser.

Mes lèvres enserrent ses doigts entre lesquels je sens couler ma cyprine odorante.

Il retire ses doigts et mon sexe s’offre à ses yeux, béant, ruisselant.

Il vient se placer à califourchon sur moi.

Je lorgne son sexe tendu qui a marbré le tissu de sa souillure.

Il place ses doigts devant ma bouche.

Je vais obéir, en bonne chienne que je suis.

Sans un mot je les lèches, comme une récompense après la punition.

Lentement je passe ma langue sur ses doigts pour recueillir mon jus.

-         Vous me rendez folle Monsieur.

Je lui souris, incapable de résister et lui mentir.

J'aime lorsqu'il me domine.

J'aime être sa petite chienne soumise... sa salope.

Son bas ventre appui sur le renflement de mon sexe.

Je me frotte imperceptiblement pour exciter mon clitoris à l’aide de sa grosseur.

Il me laisse faire.

C’est alors que je le vois sortir de sa poche mon téléphone.

Il compose un numéro.

Je ne cesse de me frotter à lui.

Va t-il me baiser en téléphonant à quelqu'un ? Humm... cela ne me déplairait pas...

Il me le tend.

De mon unique main libre je m'en saisi sans savoir pourquoi.

Il fait descendre son pantalon.

Devant moi, son sexe dressé, tendu, dont le gland lisse montre une couleur pourpre qui m’enchante, me fait oublier l'aperçu que j'ai jeté au numéro qu'il vient de composer.

-         C’est ton homme. Tu vas lui parler pendant que je vais te prendre. Après le regard d’un homme, tu auras sa voix.

Je sursaute. Incrédule.

Mes joues rougissent.

Il n'oserait pas me sauter alors que je suis au téléphone avec...

La voix grésille… « Allo » ?

Maintenue écartelée d’un bras je ne peux m’opposer à son introduction simultanée avec le décrochement du combiné.

Sa verge vient se placer sur mon orifice largement ouvert et s'y enfonce sans effort.

J'éprouve quelques difficultés à répondre au téléphone alors qu'il me plante son sexe dans la chatte.

-         Chéri ? Hésite-je d'une voix tremblante.

Il s'enfonce en moi silencieusement sans me lâcher du regard.

Ma bouche se crispe.

Les larmes me montent aux yeux.

Le salaud.

Je n'entends pas ce qu'il me dit, l'esprit embrumé, incapable de me concentrer.

-         Je suis chez une amie. Bredouille-je pour couper court à la discussion.

Son sexe retourne en arrière pour s’avancer à nouveau.

Les parois de mon vagin sont soumises à ses allers et retours longs et pénétrant.

J'avale avec difficulté ma salive.

-         Je suis essoufflée… oui… c’est que…

L'effroyable salaud. Il entame alors de plus vigoureuses pénétrations. Ses coups de reins viennent me labourer lentement.

Je souffle doucement pour garder une certaine contenance.

-         On vient de sortir la chienne et…

Son sexe vient me forcer profondément.

Enfoncé jusqu'à la garde dans ma motte ruisselante.

J'ouvre grand la bouche, aucun son ne s’en échappe.

Il se recule à l’intérieur de mon ventre.

Je me ressaisis.

-         … elle est très excitée… alors j’ai eu du mal à la contenir…

Il saisit mes cuisses pour se permettre de me bourrer à loisir.

Sa queue maintient mes lèvres écartées et pilonne mon entre jambe avec délice.

L'adorable salaud ! Me baiser ainsi me rend folle.

-         oui… elle est vilaine…très... Ho !

Mon cri me surprend, je rougis. Il me sourit et sa main vient caresser mon clitoris sorti de sa réserve.

-         … non rien… La chienne encore…

J'ai trouvé là une parade qui semble fonctionner.

Il semble apprécier autant que moi de faire passer sur le compte d'un improbable animal, mes fantasmes les plus insensés.

Je vois dans son regard que je l'excite à mon instar.

Il s'allonge sur moi, son corps puissant sur mes seins lourds.

Sans bruit sa bouche vient lécher le lobe de mon oreille pendant qu'il continue de me percer le ventre.

Il me murmure quelques mots crus que mon homme n'entend pas.

-         Elle excite les mâles... oui… en tortillant du cul.

Sa queue me perce.

Ses mains me pétrissent et je suis sa chose.

-         C'est une vraie salope.

Je bafouille quelques excuses devant l'ampleur de mon vocabulaire.

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, excitée comme rarement par cette situation hors du commun.

Son sexe enfoncé jusqu’à la garde, Je coule de jouissance autour de son manche.

-         Oui… je serais à la gare… oui… A tout à l’heure.

Il me saisit l'appareil des mains pour raccrocher.

Il se hisse à la force des bras sans cesser de parcourir mon bas ventre, comme un hussard.

-         Salaud !

Mon insulte a pour effet d'augmenter la cadence de ses coups de mandrins.

Je gémis de plaisir un peu plus à chaque coup de reins.

Ses mains se sont agrippées à chacune de mes fesses. Plantés dans ma raie ses doigts me forcent à garder le sexe grand ouvert.

-         Haaa ! Adorable salaud !

- Tu as été parfaite. Le coup de la chienne en chaleur... somptueux.

Je suis emportée par le tourbillon de mes sensations, mon corps se trémousse en tout sens malgré les entraves.

- Tu es comme elle... tu aimes offrir ton cul aux regards.

Sa voix est douce.

Chaque syllabe est ponctuée d'un balancement de ses reins.

Mes yeux sont clos. Je m'abandonne au plaisir.

- Qu'est-ce que tu veux de ton "adorable salaud" de Maitre ?

Mon regard roule, mon visage se tend, les désirs me submergent.

Les paroles me viennent sans effort, naturellement.

-   Baise-moi !! Défonce-moi comme une salope !

Je me sens soudainement plus libre et je crie.

Il répond à ma demande avec lenteur. Chaque centimètre parcouru en moi m’arrache un cri. D’avant en arrière il se fait plaisir à me prendre sans pudeur.

Je me fais l'effet d'une trainée, défoncée, baisée pour le plaisir de l'homme qui la souille.

Je lâche prise et me laisse aller à ses coups de queue.

Ce ne sont que râles et soupirs.

Mon orifice concentre son attention et il lime en moi avec délice, sans discontinuer.

Sa verge me défonce, elle m’écartèle, ses doigts écartent mes lèvres pour se saisir de mon clitoris qu'il branle pour m’arracher un son de plaisir animal.

Maintenue prisonnière je subis ses assauts avec soumission, délice, uniquement sensible à nos envies de sexe.

Je me sens venir et il redouble de coups de reins.

Mes yeux sont clos, ma bouche n’est qu’une ouverture par laquelle j'expulse mes cris de plaisir.

Il saisit mes fesses pour pouvoir me prendre dans une position particulièrement pénétrante et humiliante qui ne m'en apporte que plus de sensations.

Maintenue, prise, défoncée, ma chatte se contracte parfois autour de son large manche.

Ses couilles viennent buter contre mes lèvres.

Il me force sans ménagement.

Chaque coup de queue m’arrache un râle.

Jamais je ne me suis faite baisée de cette manière.

Ma jouissance atteint son paroxysme et mon visage se crispe, je laisse échapper un son profond sans pour autant pouvoir resserrer mon entre cuisses qu'il continue à défoncer.

Je me cambre sous le choc de la petite mort qui m'envahit.

Mais il poursuit mes entrées en moi pour prolonger mon orgasme.

Ecartelée je suis offerte à sa vigueur.

Insatiable il ne cesse de me parcourir.

Sa main saisie mes cheveux et il les tire en arrière pour asseoir son emprise sur moi, comme s'il lui eut encore été nécessaire de me montrer à quelle point je dois lui être soumise.

Il me baise alors que je n'en peux plus.

Je suis sa chose, le trou dans lequel il vient s'assouvir. Et j'aime ça.

Ses doigts viennent alors assouplir ma rondelle tout en poursuivant le labourage systématique de ma motte dilatée.

Je murmure quelques négations dont il n'a cure et qui font place à un gémissement de contentement comme mon conduit rectal se trouve soudain enfoncé et doigté.

Sa queue se fraie un passage dans mon vagin trempé et je sens la fine paroi de mon bas ventre, vibrer aux allers et venues simultanées de son doigt et de son pieu.

Mes gloussements sont sans équivoque.

Je le veux dans mon cul.

Je jouis pour la seconde fois, coup sur coup.

Il se retire de mon interdit alors qu'en feu il souhaite être encore titillé.

Je saisis sa main et l'y replace.

Je parviens à susurrer que je veux le sentir dans mon cul.

Il ne se fait pas prier pour m'enfoncer son pouce dans l'anus et se laisser aller à l'orgasme en même temps que je feule le mien.

Entre ses doigts posés sur mes deux rondeurs, coule ma cyprine bientôt rejointe par son jus.

Il explose au fond de mon vagin, le liquide chaud se répand et courre entre mes parois et son membre.

Je jouis bruyamment.

Il s'effondre sur moi pour continuer de me pilonner jusqu’à son ultime soupir.

Mes cuisses, le lit, mon sexe… nous sommes souillés de nos sucs.

Immobiles quelques minutes, emboités l’un dans l’autre.

Son sexe ne veut pas débander.

Je reste autour de lui.

Il cherche ma bouche et m'offre le baiser d’amants assouvis.

Un long baiser entrecoupé de mots plus doux et de sourires.

Il m'a prise comme je l'espérais dans mes fantasmes les plus indécents.

Je me sens comblée... enfin femme… fière d’être sa soumise..

 

Nous savons que le week-end vient de prendre fin…

Tu vas devoir le rejoindre.

Je vais t’y emmener.

Nous restons ainsi emmêlés pour profiter de chaque instant.

Tu prends une douche, fais le tour de tes petites affaires puis nous nous habillons sans un mot.

Tu ôtes ton collier avec lenteur, à regret.

Je viens effacer de mon pouce une larme qui coule sur ta joue.

Je le pose sur la petite table.

-         Il t’attend.

Tu me souris.

-         Merci… Monsieur.

Je t’embrasse.

La voiture s’élance sans un mot.

Chacun perdu dans ses pensées.

Tu retrouves ton auto.

Un dernier regard, un dernier sourire.

- Je suis à vous. Me dis-tu avant de cacher tes larmes.

Je te vois disparaitre au bout de la rue.

Le film de ces deux jours me revient.

Que de chemin parcouru et de plaisir découvert.

Il nous appartient désormais de poursuivre notre relation dans d’autres conditions.

Mais je sais que demain, je te retrouve au travail… Et que tu n'as pas fini de gémir.

 

A suivre…

 

Mar 6 avr 2010 Aucun commentaire