Le blog de M.

[…]

Lorsque je m’éveille, tu pénètres dans la chambre.

Tu ouvres le volet et restes à regarder dehors durant un instant.

Si un de mes voisins est à sa fenêtre je ne doute pas qu’il a du avoir la même réaction que moi en te découvrant.

Tu portes tes bas, accrochés aux portes jarretelles de ton bustier noir. Aucune trace de soutien-gorge. Tes seins sont soutenus par ce simple corsage lacé. Le string est ouvert sur l’arrière et ne protège que le devant de ton sexe, dévoilant la vallée de ton cul de façon ostensible.

C'est ta somptueuse paire de fesses qui m'accueille donc au réveil.

Tu tires le rideau ce qui redonne un peu d'intimité dans la clarté matinale.

-         Je vous apporte votre café Monsieur.

Et tu arrives avec un plateau. Café, tartine, beurre et confiture.

-         J’espère qu’il y a tout. Dis-tu. Et, s’il vous manque quelque chose, je suis à votre entière disposition.

Je ne doute pas une seule seconde de la véracité de cette dernière proposition.

Je laisse alors glisser ma cuillère au sol.

Tu te tournes et te penches pour la ramasser, offrant à ma portée tes douces rondeurs nues et l’ouverture de ton sexe à l'orée dévoilée.

Je pose une main sur ces globes encadrés par le porte-jarretelle qui me font bander.

Tu restes penchée, offerte aux caresses délicates.

Je glisse un doigt sur ta fente. Tu es trempée.

Je le retire. Tu te relèves lentement.

-         Votre cuillère Monsieur.

Je contemple mon doigt qui laisse voir ta mouillance.

-         Voulez-vous que je vous nettoie ?

J’acquiesce et tu portes aussitôt le doigt à ta bouche pour l'engloutir doucement sans me quitter des yeux.

Puis, tu l’essuies avec une petite serviette en papier, dans un sourire.

Tu sors de la pièce en roulant des hanches, cambrée pour tendre ta poitrine.

-         Si Monsieur a besoin de moi.

Je prends mon café avec une trique monumentale et l’envie de te revoir dans ce rôle que tu me composes à merveille dans cette matinée avancée.

Je toussote et tu apparais dans l’encadrement de la porte.

Tu t’empares du plateau.

Ton regard se pose sur la bosse que forme mon sexe sous le drap.

-         Je vais prendre ma douche, dis-je, tu viendras me rejoindre je te prie.

-         Bien Monsieur.

Tu attends que je me lève pour partir. Je sais bien ce que tu veux voir.

Et je ne le cache pas.

Au garde à vous, mon membre est fièrement tendu vers le haut. Il surplombe mes deux bourses pleines de mon envie de te saisir et de se vider en toi.

Mais je passe devant toi sans te jeter un regard.

La tête basse tes yeux ne lâchent mon engin que pour mater, sans aucune discrétion, mes fesses dodues.

 

Tu me rejoins toujours dans cette tenue qui me rend dingue. Je suis dans la douche. De dos.

Mon érection n'a pas cessé depuis que je t'ai vu ainsi parée.

-         Frotte-moi le dos s’il te plait.

Tu prends la boule de lavage et tu entreprends de t’acquitter de ta tâche. Tu le fais avec une telle douceur que je me détends sous les cercles que tu opères dans mon dos.

Je n’ai pas vu le moment où tu es passée au seul contact de tes mains, sans transition autre que le frôlement agréable.

Tu me masses sous les filets d’eau tiède.

Les épaules, le dos, les reins…

Tes mains prennent mes hanches et glissent sur mes fesses.

Tu malaxes les muscles et d’une main tu viens masser l’arrête de ma colonne vertébrale.

Avec une infinie délicatesse tu parviens, sans que je m’en rende compte, à glisser un doigt sur mon œil.

Je te sens alors hésitante.

Devant mon absence de réaction tu poursuis ce massage d’un genre nouveau. Doux, de la pulpe du doigt, sur mon intimité.

Je m’efforce de ne pas te montrer à quel point ces pressions que tu exerces ont accélérés les battements de mon cœur.

Je me retourne avec vigueur pour faire cesser tes actions.

Tu es à genoux, les mains mouillées, dans cette tenue si affriolante.

Tes yeux à quelques centimètres de ma virilité dont le gland montre a quel point tu as pu m’exciter.

Tu m’embouches sans effort, sans préalable, répondant à ton envie.

Une main sous mes bourses, l’autre en masturbation et ta bouche qui suce avec voracité.

Je te laisse agir quelques instants avant que ne m’échappe un petit soupir de plaisir.

-         Je ne t’ai pas demandé de me pomper.

Tu sors mon sexe d’entre tes lèvres sans cesser de me caresser.

-         Excusez-moi Monsieur, l’envie…

-         Mais tu suces comme une reine.

-         Merci Monsieur.

-         On voit que...

-         J’adore ça Monsieur. Sentir une verge dans ma bouche est un plaisir, la votre un cadeau.

-         Charmante… Continue encore un peu.

Tes yeux se ferment et tu m’avales profondément.

Je sens tes lèvres se serrer autour de ma verge, ta langue venir me presser et toute ta bouche s’adonner au plaisir de la coulisse. Je pose ma main sur tes cheveux pour t’accompagner dans tes mouvements. Je suis en feu. Ta bouche est une source de plaisir sans fin.

Je te repousse doucement.

Mon sexe est luisant de ta salive.

Tu m’essuies avec douceur.

-         Oui… charmante.

-         Et toute à vous, Monsieur.

-         On va voir ça…

-         Vous pouvez tout me demander.

-         Rejoins-moi dans la chambre.

 

Lorsque tu me rejoins, je suis assis et je t’invite à entrer dans la chambre assombrie.

-         Déshabille-toi avec la même idée en tête que tu avais lorsque tu m'as taillé cette pipe il y a deux minutes.

Après un moment d’hésitation tu acceptes ce jeu du strip et te prêtes au jeu avec une joie qui se lit sur ton visage.

Tu prends des positions de plus en plus osées. Tu offres à mon œil implacable tes courbes et tes formes que tu dévoiles au fur et à mesure de ton effeuillage.

Ici un sein que tu soutiens, là ton sexe que tu caches ou ta cambrure qui offre une vue imprenable sur l’orée de ta vulve humide.

Tu es nue à l’exception de ton collier. Docile et souriante, tu te frottes au montant de bois dans une danse érotique et terriblement sensuelle.

-         Caresse tes seins.

Tu joues avec. Chaque mamelle autour du montant, masturbation irréelle d’un pieu gigantesque que tu lèches sans me lâcher du regard.

Tu t’assois sur un petit meuble, les cuisses de plus en plus écartées.

Tu irrites tes tétons tendus, en essayant d’y passer le bout de langue.

Je suis dans un état où ma main ne peut s’empêcher de prendre mon engin et de me caresser.

-         Amuses-toi avec ton bouton.

Tes doigts obéissent à mes ordres et s’emparent de ta fente qu’ils écartent pour te permettre de libérer ton clitoris puis tendrement titiller ta perle rougie du désir qui t’habite.

Je t’encourage à poursuivre.

Ma main droite s’affaire à me masturber.

Ton visage est tendu dans le plaisir.

-         Allez, montre-toi à moi, offre-toi.

Tu te redresses et lentement te tournes.

Tu te cambres. Tes reins se creusent et j’observe ton cul magnifique.

Un doigt vient d’ailleurs s’emparer de ton intimité.

Après quelques secondes tu l’enfonces en toi.

De ton autre main tu parviens à forcer ton fruit juteux.

-         Alors comme ça tu aimes être prise dans tous les trous ?

Tu murmures un « oui » plaintif, « avec vous ».

-         Approche, j’ai encore envie que tu me suces… comme une chienne.

Tu viens sur le lit et tu me prends à pleine bouche, excitée par mes paroles et par mes gestes.

Ton sexe vient se placer au dessus de moi et je lui donne un petit coup de langue.

Tu me réponds à l’identique.

J’excite ta perle du bout de ma langue.

Tu fais de même sur mon méat.

Large et lente, ma langue parcours toute la surface de ton sexe trempé.

Alors sur ma queue tu passes la tienne avec douceur.

D’une main je viens te masturber alors que ma langue se fraie un passage en toi.

Tes doigts agiles viennent me branler pendant que ta bouche s’ouvre autour du vit palpitant.

Je te dévore de plus en plus fortement, ma bouche toute entière dédiée à ta chatte qui ruisselle dans ma gorge.

Tu me pompes goulument, tes mains palpant mes couilles sans une seconde d’arrêt.

D’un doigt je viens me glisser dans tes fesses.

Tu fais de même dans les miennes.

A ce jeu de l’écho tu ne sembles pas vouloir flancher avant moi.

Je caresse alors ta rondelle de mon doigt. Je presse, je cercle, je m’éloigne pour revenir t’exciter.

Tu agis de même avec mon orifice.

Je te sens gémir. Je me laisse alors à mon tour soupirer tant tes gestes me procurent des sensations intenses.

Mes lèvres aspirent ton clitoris pour le téter. J’ai son gout dans ma bouche, j’ai ton jus qui s’écoule sur ma langue, je le sens glisser entre mes lèvres…

Tes lèvres ont aspirées mon gland et tu me têtes à ton tour, excitant du bout de la langue mon méat suintant.

J’enfonce un doigt entre tes fesses, il s’introduit sans effort dans ton anus dilaté.

Je ressens alors dans mon intimité ton intrusion qui m’arrache un cri.

Je te doigte avec beaucoup de délicatesse.

Tu ne te fais pas prier pour m’imposer le même plaisir.

Au bord de l’excitation je donne quelques coups de reins qui propulsent mon pieu dans le fond de ta bouche.

Tu m’écrases de ton sexe pour le plaquer sur ma bouche.

Tu me sens venir autant que je te sens te contracter.

Ton suc coule sur ma langue, je l’avale.

Je me répands en toi, ta bouche pleine de mon foutre, tu continues de sucer comme je continue de te lécher, doigtés tous les deux, images inversées d’un miroir de bordel.

Mes joues sont souillées de ta cyprine.

Ta gorge ingurgite mon épais liquide.

Nous nous relevons lentement.

Nos lèvres se touchent.

-         Suis-je au goût de Monsieur ?

-         Tu es… parfaite.

-         Je suis assez chienne pour vous ?

-         Je n’en ai pas fini avec toi…

 

A suivre…

Mar 23 mar 2010 Aucun commentaire