Le blog de M.
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Tu te frottes à elle, elle s'est emparée d'un de tes seins.
Elle le palpe et le caresse. Ton téton roule sous ses doigts aux ongles roses.
Ton bassin est tendu vers le sien, vos fentes se pressent l'une contre l'autre.
Elle vient présenter sa bouche à la tienne mais tu lui refuses ce baiser.
Ta main s'empare de mon sexe et tu glisses prendre mes bourses et les soupeser.
Tu les fais rouler. Elles bougent dans ta paume.
Ton pouce passe au dessus de ma verge et tu as ainsi toute liberté de me caresser, à la fois la tige, et ses fruits.
Ses mains te repoussent pour t'allonger.
Elle se place à califourchon sur ton visage et te présente son sexe.
- Tu préfères embrasser ces lèvres ci ?
De ses doigts elle s'ouvre à ton regard.
Tu tends ta langue, elle s'affaisse sur toi et tes lapements viennent exciter son bouton.
Je suis toujours dans ta main, dur.
- Tu serais chez moi ma belle, dit-elle, c'est moi qui tiendrais un manche... Elle soupire de plaisir.
Plus loin tu t'enfonces en elle pour explorer son antre.
Je m'efface, tes doigts passent de mon sexe au sien et viennent jouer avec sa fleur luisante ; tu récupères ton souffle.
Mes pas sont rapides, je vous entends soupirer et gémir, mon sexe oscille devant moi, porte drapeau de mon désir. Vos corps n'ont pas quittés mon esprit. Une excitation folle me donne envie de te posséder au plus vite.
Lorsque je reviens, vous êtes toutes les deux en train de vous dévorer l'abricot.
Elle, juchée au dessus de toi, ses mains écartent tes lèvres et elle passe sa langue largement sur toute la surface de ta féminité, ce qui t'arrache des halètements de plaisir.
Toi, subissant le poids de son corps, la bouche luisante de sa cyprine que tu lèches avec avidité.
Je lui tends le sexe de plastique.
Elle le pose aussitôt sur ton ouverture et l'enfonce sans une hésitation.
Tu pousses un cri qui s'étouffe dans son entre cuisses.
Ses doigts viennent frapper ton bas ventre lorsque, à chaque assaut, elle t'a enfilé le god jusqu'au plus profond de toi, tu as criée.
Elle reste alors un peu dans cette position pour caresser ton clitoris saillant.
Tu n'arrives plus à la lécher, tant ton désir est grand.
Elle t'enfourne avec une extrême précision, les parois de ton vagin exploré en tout sens par la dureté de ses gestes.
Tu suffoques de désir, tes gémissements sont une invitation à ton plaisir.
Elle se retire et tu retrouves doucement un peu de calme.
C'est maintenant à quatre pattes que nous te positionnons.
Je t'embrasse.
Ma queue animée d'une bandaison comme jamais, de te voir te faire reluire par une autre femme.
Ta bouche a le gout d'une autre.
Nos langues se mêlent, se caressent.
Tu lâches un cri.
Elle vient de t'enfoncer le godemichet sans te prévenir.
Je te donne mon pieu à lécher.
Tu es prise d'une frénésie et tu me pompes comme tu ne l'avais encore jamais fait.
Tout en me masturbant c'est la base de mon sexe que tu viens chercher de tes lèvres.
Loin dans ta bouche tu me forces à aller.
Je l'entends te fouiller.
Je la regarde, elle vient de glisser son doigt dans ton anus.
Tu gémis un "non" plaintif qu'elle transforme rapidement en d'innombrables petits "oui" que tu parviens à susurrer lorsque tes lèvres quittent mon vit.
Elle enfonce deux doigts.
Puis les fait jouer en toi pour écarter ton anus.
Tu es dilatée, elle vient forcer ton interdit avec le bout recouvert de ton suc du god sur lequel elle a passé sa langue.
Te voilà sodomiser par cette femme qui y prend un plaisir non feint.
Je suis dans un tel état d'excitation que je ne parviens plus à dire quoi que ce soit.
Tu t'effondres entre mes cuisses.
Tu me suces sans les mains, prise par tous les trous tu n'es qu'un pantin entre nos mains et nos envies.
La paroi de ton vagin roule sous le pieu artificiel et son doigt manucuré, fine membrane qu'elle s'amuse à irriter.
Nouvelle sensation qui te transporte.
Elle entre alternativement maintenant son doigt et l'engin dans ton œillet, puis dans ton fruit.
Je saisi ton visage et j'impulse le rythme de la fellation que tu n'es plus en mesure de diriger, tant ton corps est sous l'emprise du sexe.
- Je te veux en moi, en levrette, demandes-tu dans un murmure.
Je viens alors derrière toi.
Ta partenaire enlève ses doigts et l'ersatz de sexe.
Je t'empale sans mal tellement tes deux orifices sont ouverts et lubrifiés.
Je passe d'un à l'autre, doucement, profondément.
Pénétrant ton sexe et t'enculant à chaque fois en t'embrochant plus au fond de tes trous chauds qui m'emportent vers le nirvana.
Mon membre est plus large que l'engin qu'elle t'a introduit et tu en tires un nouveau plaisir.
Elle t'a donné le gourdin et elle est venue se mettre devant toi, offerte.
Elle écarte ses lèvres pour te permettre de la percer.
- Défonce-moi ma belle... je ne tiens plus, tu me fais mouiller comme une garce.
Tu ne te fais pas prier pour enfoncer l'engin dans son sexe rouge et lui pilonner la chatte.
Elle halète, "Oui c'est bon... prends moi..."
Mes coups sont plus profonds et tu te cales sur eux pour la baiser avec le sexe de plastique que tu tiens à pleine main.
Je t'entends murmurer quelque chose mais je ne peux m'extraire de ton fourreau si chaud.
Un doigt dans ton anus, mon sexe au fond de ton ventre je ne te laisse pas une seconde de répit.
Avec force, mes coups de reins et de doigts te déchirent.
Elle crie et tu l'accompagnes dans la jouissance dans un râle intense.
De vous voir ainsi je ne peux plus me retenir et c'est au fond de toi que je me vide par secousses.
Nos corps se couchent lentement à même le tapis.
Et un silence s'installe, seulement perturbé par nos respirations.
Elle se rhabille et nous nous quittons.
Un baiser sur ta joue.
Elle veut te revoir.
Tu ne dis pas non.
Elle ne souhaite pas se laver avant de rentrer chez elle pour garder ton odeur sur toi, compagnon de voyage.
Lorsque la porte claque tu t'élances dans mes bras et nos bouches ne se quittent plus, même lorsque la douche aura cessé de couler et effacé tes quelques larmes de peur, de joie et de calme revenu.
Le repas commence, un tête à tête après un trio.
C'est le moment de tes aveux.
A suivre...