Le blog de M.

[…]

Ses mains enserraient ta poitrine.

Elle, cette femme un peu plus petite que toi, les cheveux attachés, les yeux maquillés de noir, les lèvres pourpres.

Elle avait ses seins collés à ton dos.

La boucle de la ceinture de son jean glaçait le haut de ta croupe.

Sa bouche déposait des baisers dans ton cou.

Tu te laissais faire alors que ses doigts glissaient sur l’étoffe et excitaient tes tétons.

Aucun son ne sortait plus de ta gorge.

Je te voyais là, les bras le long du corps, les yeux fermés.

Elle t’avait enlacée. Tu avais été prise au dépourvue.

Elle prit la parole. Une voix douce. Suave.

-         J’ai eu envie de te tenir dans mes bras dès que je t’ai vu au magasin. Alors lorsque je t’ai vu agir alors que tu me savais à te regarder. J’ai décidé de voir comment je pouvais te rejoindre. J'en ai fantasmé toute la journée.

Ses mains dégrafent ton soutien gorge.

Elle soutient tes seins lourds qu’elle malaxe avec un plaisir nettement visible.

Dans ses petites mains ils semblent si ronds, si gros.

-         Tu as une paire de seins que j’ai envie de sucer depuis que je les ai vu.

Ses mains à plat glissent le long de ton dos jusqu’au creux de tes reins.

Elle libère ainsi tes mamelles aux pointes tendues.

Tu ne peux t’empêcher de bomber le torse lorsqu’elle parvient à la naissance de tes fesses.

Les mains caressent avec douceur les deux rondeurs.

A pleine main elle s’empare de tes globes et les pétris.image10

Son souffle dans ton cou.

Ses incisives sur ta peau.

Elle te murmure, sensuelle, « tu as un déhanché qui me fait mouiller».

Ses doigts viennent saisir les deux parties de ton string.

Elle les détache, ses doigts glissent le long de ta raie et les écartent pour venir les placer de chaque côté de tes hanches.

Le tissu se tend sur ton entre cuisse et tu réprimes avec peine un soupir.

Ses doigts se saisissent du plug et le font tourner.

-        Et tu es une petite coquine qui a de beaux bijoux.

Tu sens désormais ses doigts effleurer le pourtour de ton œillet.

En jouant avec le cristal elle parvient à te dilater l’orifice. Je te vois frémir sur tes jambes.

Elle semble prendre plaisir à te perturber de la sorte.

Ton petit trou se retrouve bientôt le jeu de ses gestes.

Elle fait cercler le métal le long de tes parois, le pousse, le tire doucement, le pousse encore plus fort.

Ton souffle se coupe par moment.

Lorsque le bout le plus large t'écartèle tu ne peux t’empêcher de ta cabrer.

Lorsqu'elle l'enfonce, c'est tout ton anus qui se contracte pour se relâcher.

Trois bouts de doigts poussent sur les côtés du métal, s’enfonçant presque en toi, pour extraire l’objet.

Tu pousses un petit cri. Mélange de plaisir et de douleur. Tu flageoles.

Limite de la jouissance.

Elle t’embrasse sur la joue.

-         Assieds-toi sur la table basse. Elle te guide de ses mains.

Tu n’as toujours pas ouvert les yeux, perdue et excitée.

C’est maintenant face à toi qu’elle se tient.

Tu es assise, les cuisses écartées face à  nous.

Elle s’agenouille et je la vois prendre tes seins dans ses mains. Elle les caresse, les presse, les pétris, tire les tétons jusqu’à te faire grimacer.

Ce mélange t’excite, tu halètes entre ses mains et, lorsqu’elle prend à pleine bouche un de tes bout durcit, tu saisis son visage pour le maintenir plaqué à toi.

Elle te tête ainsi longuement. Je vois ses aspirations emporter ton mamelon à l’intérieur de sa bouche.

Lorsqu’elle change de sein, il se trouve marqué de son rouge à lèvres.

Se sont ses dents qu’elle pose maintenant sur la deuxième tétine tendue. Elle te mord doucement.

Tu caresses ses cheveux, tendrement.

Tu n'es plus la femme qui se retient mais une femme qui éprouve du plaisir.

Tu te laisses emporter et je n'en reviens pas, entre jalousie et plaisir de te voir ainsi tétée par une autre personne que moi... et une femme.

Le bout de sa langue vient lécher après chaque morsure la partie du sein qu’elle vient de prendre entre ses dents.

Une de ses mains est posée sur ta cuisse.

Elle glisse vers l’intérieur et, tout en continuant de te sucer, elle vient effleurer ton abricot rasé.

Tu écartes les cuisses sous l’insistance de ses doigts.

Elle a désormais sa main sur ton sexe, et elle joue de ses doigts pour exciter ton clitoris déjà gorgé de sang.

-         Tu mouilles déjà…

Tu gémis. Ton bassin s’avance pour chercher ses doigts.

-         Je vais te fouiller ma belle. Tu vas aimer.

La douceur de ses gestes, la précision de ses doigts et la lenteur retenue qu’elle applique à te caresser te fait haleter.

C’est sans effort qu’elle enfonce un doigt, puis deux dans ton sexe ouvert.

Tu la sens te contourner.

Derrière toi elle poursuit son manège.

- Mets-toi à genoux.

Tu obéis sans discuter. Ses doigts n’ont pas lâché ton vagin trempé.

Tu te retrouves sur la table basse, à 4 pattes.

Elle enfonce sans discontinuer ses deux doigts dans ton sexe qui ruisselle.

Son autre main rode sur tes fesses.

D’un doigt elle vient caresser ton ouverture encore détendue du bijou.

Elle s’y enfonce.

Tu pousses un "Ahh !" tout en rejetant ta tête en arrière.

Ta poitrine ballote et se tend.

Tu mords ta lèvre inférieure, légère douleur qui fait place au plaisir.

Elle va et vient dans ton interdit avec aisance.

-         Regarde-le ton mec… te demande t-elle. Il a l’air d’apprécier que je te doigte. Il bande.

Tu ouvres les yeux.

Sorte de retour à la réalité.

Tu ne dis rien. Tu me regardes.

J’ai sorti mon sexe.

Entre mes mains je le tiens fermement et je l’astique de bas en haut, poteau de chair dont le chapeau est rouge luisant.

Tu rougis.

Elle accélère et tu gémis sous ses assauts.

Je poursuis ma séance en te regardant faire, soumise aux caprices de cette femme qui te force devant moi.

Tes deux orifices pris au piège de ses doigts tu te cambres, je vois monter la vague de jouissance en toi.

Elle n’a de cesse de te parcourir.

Longuement, rapidement, ses doigts fouillent ton intérieur. Ils écartèlent tes orifices distendus.

Une plainte s’échappe de ta bouche.

Tes yeux mi-clos. Ton regard vers moi.

Je caresse ton front, ta joue doucement.

Et tu jouis, dans un long cri.

Tu restes ainsi, pantelante sur la table. Assouvie.

Elle revient se placer face à toi.

-         Il ne s’agit pas de toujours recevoir. Il va falloir maintenant que tu me donnes.

Elle défait sa ceinture et ôte rapidement son jean.

Sans dessous elle s’offre à ma vue et à la tienne.

Elle saisie ton visage.

-         Allez ma toute belle, lèche-moi la chatte. Comme une femme.

Tu hésites.

Tes yeux cherchent les miens.

Elle te force à poser ta bouche sur sa toison courte.

Elle sent le sexe. Le sexe de femme.

A quelques millimètres de ton visage il y a son fruit que tu vois excité, luisant.

- Allez... j'ai envie de ta bouche. Dévore-moi.

Elle déclare ces mots dans un gémissement.

Je te sens anxieuse.

Je te rejoins.

J’approche mon visage près du tien.

-         Tu veux que je sois avec toi ?

Tu hoches la tête dans l’affirmative.

-         Allez, vas-y. Fais-le. Fais-moi voir que tu lèches aussi bien une chatte que tu me lèches.

Je t’encourage.

Tu sors la langue et tu viens toucher le pourtour de ses lèvres.

Son suc sur le bout de langue.

-         C’est bien… Continue… Ca m’excite que tu la dévores.

Ta langue se fait plus large et tu passes sur toute la surface de sa fente.

Elle plante ses doigts dans tes cheveux.

Tu sens au fil de tes coups de langues ses ongles se ficher dans ta peau.

-         Tu es admirable, tu la fais grimper. Et ça me fait bander.

Tu t’introduis dans son antre qu’elle ouvre de ses doigts.

Sous ta langue glisse sa perle, les replis de son sexe trempé.

Tu l’explores.

Lentement.

-         C’est ta première fois mais tu lèches comme une déesse ! Gémit-elle.

Sous nos encouragements tu te lances avec plus d’entrain.

Tu alternes le rythme.

Elle chaloupe du bassin sous ta bouche, aux sons de ses gémissements féminins.

Tu viens saisir le clitoris de tes lèvres et tu entreprends de le sucer.

Tu te surprends à prendre plaisir lorsque tu sens cette femme arriver au bord de la jouissance sous tes caresses buccales.

-         Continue ma belle. Oh oui…

Elle à posé un pied sur la table pour être très écartée.

Elle prend ta main et la porte à un de ses seins.

Aussitôt tu le tords, tu l'excites par petites tapes, instinctivement.

Elle te force à lui malaxer avec vigueur. Tu suis ses gestes de la main alors que ta langue suce maintenant chaque lèvre tour à tour, puis s'acharne à suçoter son clitoris gonflé de sang.

Tu saisis d’une main son sexe et, avec la seule expertise qu’une femme peut avoir, tu ouvres sa fente pour te permettre d’y fourrer ta langue au plus profond de sa longueur.

Elle pousse un premier cri.

-         Tu vas la faire jouir. Donne-lui encore du plaisir.

Tu lapes. Tu as son jus qui coule dans ta bouche. Tu le recraches en elle, le poussant dans le fond de sa grotte avec toute la force de ta langue.

Ta main vient désormais exciter son bouton, rouge, gorgé, tendu.

-         OH… la garce, elle va me faire jouir.

Sa voix n’est qu’un murmure mais tu sens son vagin se contracter puis se relâcher sous l’effet de tes caresses.

Elle jouit sur ton visage, lentement. En poussant de longs gémissements.

J'embrasse ta joue, ta langue toujours active jusqu’à ce qu’elle se détache de toi pour retomber dans le canapé.

Elle est nue et tu viens prestement la rejoindre en te lovant contre elle.

Ce spectacle de vos deux corps enlacés me procurer une excitation rare.

Tu saisis un de ses seins pour le caresser avec douceur.

Elle embrasse ton front.

- Tu es douée. Pour une première fois. Cela t'a plu ?

- Parce que c'est fini ? Demandes-tu, en plaçant ta cuisse sur la sienne, assez haut pour recouvrir son sexe.

Elle te sourit.

- Ton mec va être jaloux.

Tu me regardes, tout en venant frotter ton sexe au sien.

- Je voudrais qu'il participe.

Je vous rejoins.

Elle te murmure un "petite garce" en déposant un baiser sur ton front.

 

A suivre...

 

Mar 16 fév 2010 Aucun commentaire