Le blog de M.
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Largement écartée, les fesses nues, penchée devant moi, tu réagis instantanément à mes paroles.
Je ponctue le mot « cravaché » par une petite tape à la base d’une de tes fesses.
Etrangement tu relèves ta croupe et pousse un petit cri où se mêle le plaisir autant que la surprise.
Tes bas gainent des jambes d'un nylon sombre que tes talons galbent avec sensualité.
Ton dos se creuse un peu plus pour redresser ta poitrine.
Tu prends plaisir à te montrer dans l'indescence, allant jusqu'à faire se frotter les pointes de tes tétons sur le rebord métallique du bar.
Tu m’avoues ta position préférée, la levrette, sans hésiter un seul instant.
La cravache vient te flatter, je l’applique entre tes fesses et la fais descendre sur tes grandes lèvres gonflées de désir. Je m’applique pour quelques vas et vient.
Ouverte, le cuir écarte ton intimité.
Ta réponse me plait, elle est à l’image de la soumise que je veux, je
t’en fais le compliment, tu me réponds par un gémissement.
Tu m’avoues ensuite que ton lieu serait un ascenseur, un couloir d’hôtel, pour le risque d’être découverte et le plaisir d'être observée.
Tu reçois le coup en te cabrant.
Le cri que tu pousses m’excite au plus haut point.
Tu me jettes un regard de braise. Incrédule et furibonde.
La badine s’abat de nouveau.
- Baisse le regard.
Les coups sont francs, peu violents ils n’en sont pas moins suffisant pour marquer la base de tes fesses.
Tu baisses la tête, honteuse et soumise.
Je sens ma virilité gonfler en moi, enfler à ta vue.
Je t’indique que tu es à moi et que je souhaite que tu comprennes qu’il n’y a que moi qui décide si d’autres peuvent te voir.
Tu ne dis rien, ton fessier se tortille.
Un plus petit coup et tu me murmures que tu as compris.
Je poursuis l'exploration de ton sexe.
Je passe sur ton clitoris rougi.
Tu geins.
Tu m’avoues enfin que ce que tu veux entendre lorsque tu es possédée, ce sont «
quelques mots durs ».
La cravache vient claquer tes deux fesses.
Tu te soulèves et baisses à nouveau le visage pour cacher un sourire.
- J’ai demandé un exemple, ma soumise, un mot .
Je te murmure cela de façon posée et ferme, en me plaquant à toi.
Tu peux sentir contre ta peau, à la grosseur qui se dresse, que cette séance de correction m’excite au plus haut point. « Salope. » Ta voix n’est qu’un murmure entre deux gémissements
haletants.
« J’aurais envie qu’on me dise que je suis une salope ».
Je vois ton sexe se contracter sous tes mots.
Tu rougis.
Tu halètes.
Le cuir te caresse avec douceur. Lentement, délicatement.
Ton suc coule légèrement.
Un début d’orgasme te prend.
Tes propres paroles t’ont surprises et t’ont provoquées une excitation presque incontrôlable.
- Viens, suis-moi . Te dis-je alors.
Docile tu te lèves et m’accompagnes jusque dans la chambre.
Je saisi un de tes poignet, et d’un lien l’attache à un montant du lit à baldaquin.
Haut.
Le second poignet vient le rejoindre et te voila bras levés, tirée en l’air, plaquée à une fine colonne de bois.
Tes seins l’enserrent.
Tes cuisses s’en rapprochent.
Je t’observe avec intérêt.
Tu vois nettement la bosse sous mon peignoir.
Le cuir te frôle.
Presque imperceptiblement tu te frottes au pilier de bois.
Tu me souris.
Parfois tes yeux se ferment.
Tu comprends que le coït que tu mimes ainsi me rend fou de désir, alors tu te caresses ostensiblement.
Je me rapproche de toi.
Mes mains prennent tes cuisses.
Ta peau est douce, chaude.
Elles remontent sur tes fesses, glissent sur ton ventre, ton dos et tes seins.
Je prends possession de ton corps.
Elles caressent tes épaules et frôlent tes bras pour saisir tes poignets.
Je suis collé à toi.
Mon peignoir s’est ouvert et mon sexe est plaqué sur la raie de tes fesses.
Tu murmures un « oui » d’envie.
Je décroche un de tes poignets pour aller l’accrocher sur l’autre montant du lit.
Te voila désormais les bras en croix.
Ton sexe toujours plaqué au pieu de bois.
Mes mains redescendent le long de ton cou.
Mon visage contre ton cou je sens ton parfum. Il m’enivre, me donne envie de te posséder maintenant, pleinement. Mais je veux te dominer, te soumettre et je me calme.
« Oui… j’ai envie » tu le gémis plus que tu le déclares.
Ma main s’empare de chacun de tes chevilles et tu te retrouves très vite, jambes écartées, dos à moi.
- Je veux t’admirer en position de soumise. Désormais tu m’appelleras Monsieur.
- Oui... Monsieur.
Mon regard te détaille.
Tu ondules ton corps pour me rendre fou.
- Quant à toi, tu auras pour nom "Eve".
- Oui Monsieur.
Le bout de mes doigts suit le tracé de tes courbes.
Tu te frottes au pilier comme s'il était un sexe gigantesque, rendue folle par le désir, oubliant ta pudeur pour te livrer aux plaisirs du sexe.
Mon sexe a envie de te pénétrer.
- Tu as une superbe croupe, des seins admirables…
Le bruit de mes mains sur mon sexe est audible, les ombres que font mes gestes sur le mur, visibles, et tu ne peux que percevoir le fait que je me caresse est te regardant te tortiller.
Tu ne réponds rien, surprise, excitée.
« Mais ? Et vous ? » Ma main s’abat sur tes fesses avec vigueur…
Tu te corriges instantanément « Et vous Monsieur ? ».
Ta respiration s’accélère.
- Moi je prends plaisir à te regarder jouir.
A ces mots je te vois venir, en douceur, longuement en te frottant indescement à la barre du lit, puis dans un premier cri.
La libération que te provoque ta jouissance se fait plus forte. « Je jouis ! Je jouis ! Ah… oui… »
Tu voudrais serrer les cuisses mais tu ne le peux pas.
Tes ahanements se transforment rapidement en quelques cris inaudibles et je vois tes lèvres ruisseler.
Quelques soubresauts et tu sembles inerte. Assouvie.
A suivre...