Le blog de M.
[...]
Sa question me fait sourire et mouiller instantanément.
Quel est mon aveu le plus obscène que je devrais lui confesser.
A la fois prise au dépourvu, et honteuse, il m'encourage.
Je sais qu'il ne me jugera pas.
Le ronronnement du moteur de la voiture, sa main qui caresse mon genou, finissent de m'hypnotiser et ma voix me parait fluette comme je me révèle à
lui, une fois de plus, sans aucun tabou.
- Parfois j'imagine que... vous me prenez, plus que bestialement, brutalement. Je ne suis alors qu'un jouet pour vos désirs les plus pervers. Un
simple trou que vous baisez. Je m'imagine n'être rien d'autre qu'un vide-couilles entre vos mains. Votre esclave... livrée à vos plus bas instincts. Je fantasme que vous me violez, que vous
abusez de moi, m'humiliez jusqu'à ce que j'en jouisse.
Mes paroles lentes, s'égrainent, d'abord lentement, timidement, puis avec plus d'aplomb.
Il a baissé le volume de la radio pour me laisser parler.
Attentif, il écoute.
Le temps parait se diluer.
Mon fantasme me fait honte, et m'excite au point de sentir mon bas ventre être trempé.
Je peux tout lui avouer. Tout lui confesser. Je sais qu'il ne me jugera pas.
La voiture qui s'immobilise me fait reprendre contact avec l'instant présent.
Le silence s'est installé.
Mon regard dans le vague, j'ai perdu la notion du temps. Peut-être même ai-je été plus immorale dans mon aveu que je ne m'en souviens.
Mes joues s'empourprent soudain, alors que je le regarde, morte de honte, une boule de chaleur dans mon corps.
Nous sommes dans un lieu que je reconnais pas... le dernier sous-sol d'un parking sous-terrain à demi éclairé.
Il me sourit, sort de la voiture, ouvre ma porte et sa main vient se présenter pour que je pose la mienne dans sa paume. Un geste délicat et
courtois pour m'aider à sortir de l'habitacle.
Je le reconnais là, prévenant, attentionné.
Sans que je ne m'y attende, il me pousse soudain sur le capot encore chaud.
Surprise, je pousse une exclamation de stupeur, mais il ne me laisse pas un instant pour comprendre, ses mains tirent sur mon chemisier. Ma peau se
marque sous la pression forte qui fait sauter les boutons, libère mon soutien-gorge, me fait mal à la poitrine tant le geste est brusque.
J'ouvre la bouche pour lui demander pourquoi... Mais il poursuit son office, arrachant ma jupe en me forçant à m'allonger à plat dos sur le métal
chaud, poursuivant ses gestes furieux en étirant ma culotte sur mes cuisses.
Mes jambes s'ouvrent, de ses mains il vient de me forcer à écarter les cuisses.
Mon tanga me rentre dans la peau, me marque... "de son sceau" me dis-je tout à coup surexcitée.
En quelques secondes il m'a débraillée et a sortit sa verge.
Il me prend alors, sans ménagement, sans préliminaire.
Son membre force sur ma fente, il me déchire d'un assaut brusque.
Je sens son pieu me défoncer.
Je crie.
Je n'en ai même pas honte.
Ma voix résonne dans le parking. Un cri qui vient du fond de mes tripes.
Possédée, vulgairement, sauvagement dans un parking, à même la voiture. Je réagis à chacune de ses pulsions par une montée de mon
plaisir.
Ses mains sont des étaux qui me contiennent et me maintiennent... sur le capot encore chaud alors que ses reins me donnent des coups, que ca queue
me ramone violemment.
Mes lèvres souffrent de ses percées franches.
Mon vagin peine à l'accueillir, il est large... moi à peine lubrifiée... et pourtant je me cambre... j'adore.
Dans ce lieu désert, entre des murs de béton, dans le clignotement de lampes froides déshumanisées, il me baise et je lis dans ses yeux son plaisir
animal.
Ses mains se posent sur mes fesses, mes yeux s'arrondissent... je cherche à voir si nous sommes bien seuls, pris de peur d'être
découverts.
Il m'écarte la raie et son gros gland trempé de ma cyprine, vient se placer sur mon petit trou serré.
La poussée est intense et impérieuse.
Il me sodomise, à sec.
Mon anneau me parait être déchiré... je bave sur la voiture, bouche ouverte dans un cri muet que j'expulse au bout de la 3e secousse qu'il impose à
mes reins, une fois son manche bien en place.
Mes chairs sont malmenées, son ardeur me transperce, il ne semble pas avoir de moment de répit.
Son corps cogne contre le mien, ses mains me maintiennent penchée, ouverte.
Je subis ses envies perverses, son pal qui possède mes orifices tour à tour, me retournant au gré de ses désirs.
Je mouille atrocement, je gémis, je crie, loin de toute discrétion.
Mon string pend comme une loque, ma jupe est dévastée, mon chemisier déchiré et mes seins sont écrasés sur la tôle ou bien dressés vers le ciel,
pointes dures, témoignage de mon plaisir défendu.
Ma bouche, ouverte dans un couinement continu, coule de salive sans fin. Je ne fais plus l'effort, je ne peux plus le faire, d'empécher ma bave de
sortir.
Sa queue me ravage à m'en faire pleurer.
Ma jupe relevée, pendante, ne masque pas mon arrière-train qu'il ravage à force coups de reins sans retenue.
Je ne suis plus qu'un vulgaire objet de jouissance entre ses mains, pour lui.
Il me tourne, me retourne et me plaque sur le capot, encore une fois... une nouvelle fois...
Mes fesses subissent ses coups de bélier. Entre douleur et plaisir intense.
Il me défonce le cul et je le sens jouir dans mon petit trou.
Je déguste... je hurle.
Sa main vient me tenir par les cheveux et il me force à venir au sol, pour que je lui suce la verge, souillée de son foutre, de mon anus.
Une vulgaire trainée , souillée, qui dégouline de lui. Je ne m'appartiens plus, je n'appartiens qu'à ses désirs...
Et...
Je jouis, accroupie, la bouche pleine, défoncée.
Je jouis, de cette situation, de le voir, de le savoir à moi.
Je jouis de ma soumission extrême pour lui... mon Maitre, mon mâle, Mon Alpha.
Sans hésiter je l'avale, je le nettoie, les yeux fermés, sa queue étouffe mes gémissements orgasmiques.
Nous repartons, je suis en transe.
Ailleurs...
L'impression de flotter.
Le temps n'existe plus.
A l'extérieur de l'habitacle tout me parait irréel.
Il glisse sa main entre mes cuisses sales. Mes vêtements sont en lambeaux.
Conduisant d'une main, il se glisse entre mes nymphes outragées et me fouille sans ménagement.
Je geins de ses doigts habiles et rudes qui me masturbent.
Mes cuisses se sont écartées en grand, comme par réflexe.
Puis il baisse sa braguette. Sa voix me redonne chaud. "Suce moi ma petite pute". Je suis à deux doigts de jouir de nouveau, sous ses ordres, sous
ses gestes.
Toujours plus obéissante, gourmande d'envies, de désirs. Excitée par ce qu'il m'inspire et me fait faire et être, je le prends en bouche sans me
faire prier.
Je me sais sous son emprise... prise.. prête.
Je le pompe, pendant tout le trajet, je coule sur le siège, son glaive de chair ne faiblit pas et sa main appuie sur mon crâne pour qu'il me glisse
sa grosse bite jusqu'à fond de gorge, à me faire saliver, baver, hoqueter... et aspirer son gland délicieux.
Peu m'importe ma tenue, je ne suis plus que son jouet sexuel et cela me met en chaleur.
Je relève mon visage, ma bouche douloureuse de l'avoir autant pipé, un filet de salive sur mon menton.
Il se gare et ne range pas son dard que je contemple sans pouvoir détacher mon regard de ce mandrin qui m'attire inexorablement.
A peine sommes nous rentrés que je suis mise à nue, debout dans le couloir.
Il tire sur mes vêtements qui forment des marques sur ma peau.
Ses yeux me dévorent.
Il se fait bestial... j'aime ça...
Alors je viens à ses pieds, mon regard vers lui.
Il claque des doigts et je me place selon son désir muet.
La croupe en l'air, écartée, prete à me faire sodomiser de façon crue.
Cette fois mon anneau palpite, encore entrouvert, gluant de son jus.
Il m'enfonce un plug... large... qui me force la rosette de façon obscène, m'arrache un cri rauque. Encore.
Et sa verge glisse dans mon vagin d'un seul coup.
Il m'enfile... durement... ma bouche s'ouvre en grand sous l'effet des deux percées... incapable du moindre son tellement la douleur est
intense.
Il me ramone, enfonçant son pal au fond de moi.
Sa queue me pillonne sans cesse, son ventre vient cogner contre mes fesses et l'objet qu'il ma posé me taraude atrocement.
"Ecarte".
Un simple mot et je prends mes globes fessiers pour lui obéir sans une hésitation.
Le visage plaqué contre le sol, j'obéis, lui présente mon cul.
Il retire l'objet...
Je n'ai plus qu'à l'accepter... crier... cambrée, offerte, souillée. Humiliée de plaisir.
Il viole mon cul comme jamais il ne me l'a baisé. Il m'oblige à avancer à chaque fois qu'il me défonce profondément d'un élan viril.
Mon anneau se fait ouvrir, dilater, par sa queue volumineuse en furie qui ne cesse de me couvrir avec une énergie décuplée par nos désirs pervers,
mutuels.
La douleur a fait place bien vite à une déferlante de plaisirs.
Mon vagin s'ouvre, se met à cracher ma cyprine. Mon orgasme est ravageur, je m'affale sur le sol mais ses mains me retiennent. Il n'a pas fini de me
sauter...
Je râle... je hurle.
Je subis.
Comme un jouet livré à ses obscénités.
Lorsqu'il se retire... le vide m'envahit.
Je tombe au sol, mon bas ventre me fait mal, ma rosette est en feu. Elle palpite et ne se referme plus.
Je l'entends jouir, ses souffles masculins que je connais si bien et qui éveillent en moi les plus folles des pensées.
Difficilement je me redresse comme il me tend sa paume couverte de son jus.
Il a juté dans sa main, il m'a privé de son sirop.
Alors je le lape, je lèche et je nettoie sa main gluante de son jus chaud.
Prise de furie, comme affamée, insatiable, sans même qu'il me le demande, je me hisse jusqu'à lui et je lèche ses bourses, je remonte le long de la
tige jusqu'à l'orée de son gland.
De bas en haut uniquement.
Mon regard vers lui.
Je le rends luisant de salive, je fais remonter son foutre sur sa queue que j'aime sentir, chaude, sous ma langue.
Il s'assoit, et me fait avaler sa verge entièrement avant de me la retirer de la bouche, puis recommencer, ses deux mains autour de mon
visage.
Ma bouche est ouverte, juste en forme de trou bien rond.
J'aime sa queue lorsqu'elle coulisse dans mes lèvres plissées.
J'aime lorsqu'il est en moi, j'en ai besoin.
Je bave de nouveau. Il est vite couvert de mon jus buccal.
Parfois son gland cogne contre une joue, parfois au fond de ma gorge.
Des hauts le cœur me prennent mais je continue de suivre ses gestes. J'ai envie qu'il me douche de foutre, d'en avoir partout, d'être salie pour
lui, de lui.
Une simple poupée de luxure entre ses désirs pervers.
Une simple femme qui veut lui plaire et le faire jouir... milles fois.
Lorsqu'il m'aide à me relever, je peine à marcher, mon bas ventre me semble douloureux, liquide.
Je lui fais face, me montre à la hauteur de ce qu'il aime que je sois : une salope. Sa salope.
Il me sourit.
Je suis sur un nuage, aux anges...
Il sort mon collier et une laisse.
Hoooo... je sais qu'il n'en a pas fini avec moi.
Je mouille de nouveau à l'idée d'être... Sa Chienne.
J'aime... ça.
A suivre...