Le blog de M.
[...]
Lorsque ma muse sonna à ma porte, je ne pu m'empêcher d'avoir un peu d'anxiété.
Allait-elle apprécier le cadeau que je lui faisais ?
Et si j'avais été trop loin ?
Elle fut d'abord surprise, puis son sourire s'éclaira.
"C'est pour votre anniversaire" lui murmure-je.
Elle posa ses mains sur mes joues, ses doigts fins et frais qui m'enveloppaient, puis plaqua sa bouche sur la mienne pour m'embrasser.
"Bonjour" fit-elle... à mes 3 amis en retirant son manteau, dévoilant ses courbes.
Une poitrine orgueilleuse moulée dans un chemisier qui laissait deviner un soutien gorge rouge vif, des hanches aux balancements insolents qu'une
jupe courte rendait torride.
Visiblement radieuse, elle contemplait chacun des 3 hommes que j'avais convié à ce moment insolite et totalement inédit pour moi.
R., un brun aux accents ibériques, qui partageait le même service que moi et qui était réputé pour ne pas laisser insensible les
infirmières.
G., le grand blond du quatuor, aux yeux bleus azurs et que j'avais rencontré lors d'une soirée... arrosée.
Et enfin S., celui qui avait surpris la photo que Sylvie m'avait envoyé lors du réveillon.
Assise au centre du canapé, elle était le centre de l'attention de ces 3 mâles qui ne cessaient de la reluquer.
J'avais un peu de mal à réfréner une jalousie que je savais inutile et aussi stérile que stupide, mais c'était ainsi... j'avais peut de me voir
déposséder, qu'elle parte avec l'un d'eux au lieu de rester avec moi.
Irrationnels, mes doutes ne s'envolèrent que bien plus tard... au petit matin.
Elle croisa les jambes très haut.
S., en face d'elle, semblait hypnotisé.
"Oups... fit-elle... je crois que j'ai oublié de mettre une culotte".
Elle posa sa main droite sur la cuisse de R. et sa gauche sur celle de G..
Ce dernier s'enhardit à effleurer sa jambe, remontant le dos de sa main jusqu'à la lisière du bas autofixant qui donnait à sa peau une couleur
ambrée.
R. ne semblait pas vouloir se laisser distancer et fit des petits cercles sur son genou féminin, délicat.
Elle me lança un regard pétillant dans lequel je reconnu très vite le désir et l'envie.
Les discussions, pleines de sous-entendus, ne laissaient pas un seul moment nos mains et nos yeux sans avoir un contact avec celle qui
resplendissait.
Convoitée, admirée, caressée, elle était aux anges.
Après quelques verres et gourmandises, j'apportais un gâteau.
"Je peux avoir les bougies ?" me lança t-elle, d'un air coquin.
Je ne devais pas perdre "la main". Il me fallait oser, me dépasser, aller plus loin que je ne pensais jamais le faire.
Mais pour elle, devant elle, je me sentais invincible, irrésistible.
Lentement, avec un brin d'anxiété, je déboutonnais alors mon pantalon pour en sortir ma verge.
Je voyais ses yeux me dévorer.
Mon sexe fin et long se dressait comme un "i".
J'étais partagé entre la honte de dévoiler ainsi mon intimité devant 3 autres hommes et le plaisir de lui offrir ce moment.
Les 3 autres suivirent le mouvements.
Après tout, ne leur avais-je pas dit qu'ils venaient pour ça ?
Très vite elle fut entourée de 4 verges qui dodelinaient, différentes, fine ou épaisse, longue ou trapue, émergeant d'un taillis de poils bruns ou
blonds.
"Une... queue pour chaque dizaine ?" minauda t-elle en me regardant.
"Oui Sylvie" j'avais la voix qui se fêlait d'excitation.
"Vous me faites un merveilleux présent". Une œillade complice à mon attention
Et ses mains... de femme... passèrent d'un sexe à l'autre.
Elle flattait, elle caressait, décalottait et titillait les méats les uns après les autres.
Ses ongles effleuraient en griffant nos glands et les cols, descendaient jusqu'à la base de nos membre érigés pour venir palper et soupeser nos
bourses lourdes.
Elle s'agenouilla et sa bouche prit le relais de ses mains.
Mes amis ne disaient plus rien.
Seuls des gémissements et le bruit... aquatique... des succions de Sylvie sur nos verges troublaient le silence de mon studio.
Elle ne passait pas plus de 3 ou 4 secondes par sexe, passant de l'une à l'autre, masturbant celle qu'elle ne pouvait pas prendre en
bouche.
De plus en plus goulue elle léchait puis pompait les glands avant d'engloutir, toujours plus loin dans sa gorge, chaque tige couverte de sa
salive.
Elle leva les yeux sur moi en passant sa langue de l'embase vers le col.
Heureuse... le regard que je lui connaissais lorsqu'elle prenait du plaisir.
Elle me lança un sourire des plus éloquent.
Sa main nous branlait longuement, sa bouche aspirait nos sexes en feu.
Nous la fîmes alors se mettre à genoux sur le canapé.
S. était assit. Elle poursuivit une lente fellation sur son sexe qui disparaissait entièrement dans sa bouche pulpeuse.
Quant à G. il prit place derrière elle, il entreprit de lui dévorer la chatte.
Sa langue entrait profondément dans son sexe qu'il maintenait écarté à l'aide de ses mains.
R, lui, s'allongea sous Ma Muse pour lui téter les seins... ses augustes mamelles tombaient et aucuns d'eux ne se privaient de les palper, de les
pétrir, de les malaxer jusqu'à en faire devenir les tétons, rouges d'excitation.
Elle ondulait sous leurs caresses.
Ils changèrent de place les uns après les autres.
Chacun voulait gouter... à sa poitrine généreuse, à son sexe liquide...
Et elle se cambrait pour leur permettre de se repaitre de son corps.
Elle offrait ses seins, les maintenant haut, assise sur des genoux sur le canapé, pour qu'ils puissent être deux à la téter en même
temps.
Elle tendait ses fesses pour que les langues s'enfoncent loin en elle, la lapent longuement jusqu'à la faire gémir de plaisir.
Son menton était couvert de salive tant elle enchainait les fellations.
R. entreprit de lui mettre son sexe entre les seins.
Elle se retrouva donc allongée sur lui, ses mains pressant chaque côté de sa lourde poitrine, pour le masturber.
J'eu envie d'elle, instantanément.
Je me plaçais derrière elle.
Mes amis savaient que je ne leur permettrais de la prendre qu'une fois que je l'aurais moi même saillie.
Elle le saurait après... et en rougirait de cet honneur.
Mon sexe s'enfonça sans peine dans sa fente ruisselante.
Je labourais le sillon de sa fente à l'aide de mon soc.
Chacun de mes coups de reins s'accompagnait, de la part de Sylvie, d'un petit cri qu'elle étouffait dans le coussin.
Le rythme que je lui imposais activait la masturbation qu'elle donnait dans ses seins.
Je me retirais alors.
G. vint à son tour l'enfiler.
Je pris un peu de recul pour admirer la scène... les scènes qui s'enchainaient.
Comment avais-je pu avoir une telle idée ?
J'au soudain honte et un terrible sentiment de jalousie vint remonter en moi pour s'estomper lorsque Ma Muse m'envoya un baiser et un "merci" du
bout des lèvres.
Je savais qu'elle avait déjà eut de nombreux amants... mais là... de la voir... chez moi... livrée en pâture à ceux que j'avais invité !
N'étais-je pas allé trop loin ?
Une main lui tirait les cheveux pour la forcer à se cambrer, permettant à l'homme qui l'empoignait, de la saillir profondément.
Elle gémissait, poussait parfois des cris qui s'étouffaient dans un pubis, ses joues déformées par une verge toujours différente.
L'un après l'autre ils prirent place en elle.
Elle ondulait de plus en plus.
Il me semblait devenir étranger à la scène de luxure qui se déroulait dans mon studio.
C'était un film... le film de mes fantasmes qui se développait devant mes yeux.
Ils migrèrent vers ma chambre.
Là, Sylvie fut chevauchée par mes amis, qui passèrent l'un après l'autre entre ses cuisses ouvertes.
Elle se retrouva à 4 pattes, à subir avec plaisir les assauts de ses 3 amants d'un soir.
Et moi... j'ordonnais.
Je leur donnais les positions à prendre.
Sur le dos, sur le côté, à prendre sa bouche, son abricot... ses fesses...
Ma Muse fut surprise et ravie.
Je n'avais rarement été aussi excité.
Elle s'offrait, elle se donnait, elle savourait ce moment de sexualité intense.
Mes encouragements se mêlaient aux bruits et aux cris qui emplissaient l'atmosphère d'une ambiance aussi sirupeuse que les odeurs qui vinrent bien
vite embaumer et salir les draps.
R. fut le premier à répandre sa semence sur le ventre de la femme qui me tourmentait adorablement.
Ce fut ensuite à G... sur son visage.
Sa bouche grande ouverte, les joues maculées du liquide épais qui lui dégoulinait sur le menton... qu'elle était belle.
S. se vida sur son dos, masturbant son sexe entre les fesses rondes qu'elle tendait, son petit orifice palpitant encore des saillies qu'elle venait
de subir avec joie.
Elle me souriait... comme si les autres n'existaient pas... son attention se portait uniquement sur moi.
Elle se leva pour venir me caresser.
Sale, souillée, j'éprouvais un mélange d'attirance et de répulsion.
Elle avait une odeur de foutre, de cyprine...
Le liquide mâle lui coulait sur la peau.
J'avais envie de cette... salope.
Ses doigts experts me firent très vite un bien fou et je me laissais aller à cette masturbation qu'elle m'imposait devant mes compagnons.
"Tu me combles mon bébé" me murmura t-elle avant de s'agenouiller et me prendre en bouche.
Elle me suça comme elle n'avait aspiré aucun des autres hommes qui se rendaient compte de ma chance.
Je posais mes mains sur chacune de ses joues et je me laissais aller à mon envie d'elle... de la punir d'avoir été avec eux... d'être aussi belle et
insolente... d'avoir donné et pris du plaisir... et avec l'envie de lui donner mon plaisir.
Je baisais alors sa bouche avec furie.
Elle plissait les yeux lorsque ma longue tige lui butait dans le fond de la gorge.
Un râle lent et aussi puissant que mes coups de reins vint accompagner mes giclées.
Elle avala tout sans en laisser une seule goutte tomber au sol.
Sa langue s'enroulait autour de mon pieu et ses mouvements de succion aspiraient chaque perle de foutre que je vidais en elle.
Elle savourait mon miel, je savais qu'elle adorait.
Ils entonnèrent alors un chant d'anniversaire.
Sylvie se mit à rire, à genoux sur le tapis, alors que nous l'entourions, nus, nos verges qui ballottaient de l'avoir honorée.
Ses amants partir l'un après l'autre en la remerciant et en lui souhaitant tous un bon anniversaire et en me complimentant.
Puis Sylvie vint me retrouver, elle avait pris une douche et sentait mon savon.
Elle se lova dans mes bras.
J'avais terriblement envie d'elle.
"Tu m'as fait le plus beau cadeau que je n'ai jamais eu. Mais c'est toi que je veux comme cadeau." me dit-elle en frottant doucement son corps
contre le mien.
La suite fut plus intime et douce.
A suivre...
Vivement la suite ... ce jeune homme et cette muse me transportent
Très belle plume
Merci