Le blog de M.
"Tu
m'accompagnes ? Je sors avec des amies à moi. On va au marché de Noël."
La proposition est à peine voilée.
Son regard brillant au milieu de son doux visage encadré par ses cheveux blonds délicatement relevés sur l'arrière de son crâne pour en dévoiler la
nuque gracile.
Son cou s'élance au dessus d'une poitrine déjà voluptueuse pour ses 24 ans.
Marion, a 1 an de moins que moi, et un regard de braise.
"Non merci, j'ai du travail".
Je vous à sa moue, qu'elle est déçue.
En tournant les talons et en s'approchant de la porte, elle ondule du bassin pour mettre en avant le galbe de ses jambes.
"A plus !" lance t-elle dans un dernier appel.
Sa mère ferme la porte et me regarde.
Sa mère...
J'en ai instantanément chaud.
Elle m'a invité à passer quelques jours chez eux pour fêter Noël.
En vacances, c'était un bon moyen pour me vider la tête du travail, quitter mon studio, et ne pas me retrouver tout seul chez mes parents, partis au
ski avec des amis à eux que je n'aime pas.
Alors j'ai accepté.
Parce que tout cela mais surtout...
Surtout... il y a Sylvie... la mère de la jeune femme qui vient de partir.
Le portrait de sa fille en mille fois plus sensuel.
Elle est la muse de mes fantasmes depuis si longtemps et... depuis quelques mois... mon amante secrète.
De sa main elle flatte ma joue.
"Je crois que tu viens de repousser les avances de ma fille".
Je ne réponds rien.
Elle vient s'asseoir sur mes genoux.
"Ce n'est pas très gentil. Elle ne te plait pas ma fille ?"
3si, elle est mignonne mais..."
"Alors comme cela tu as des choses à faire ?"
Sa poitrine opulente devant mon visage.
La chaleur de ses cuisses sur les miennes.
Je sens mon rythme cardiaque s'emballer, ma respiration se faire plus courte, et ma verge... être trop à l'étroit dans mon boxer.
Sa main descend sur mon torse.
"Ma fille partie..."
Elle flatte mon ventre et ma ceinture.
"Mon mari en déplacement..."
Sa paume se pose sur mon entrejambe.
"Hum... sommes nous seuls ?"
Je pose mes mains sur ses hanches.
Elle me donne une petite tape sur les doigts et se lève sensuellement.
"Dis donc, coquin !"
Ses bas résille disparaissent sous sa courte jupe droite rouge sombre.
"Pas maintenant... j'attends quelqu'un."
Je suis surpris.
Elle sourit, visiblement elle me cache quelque chose et cela lui plait.
"Tu vas apprécier mon bébé".
Mystérieuse, elle me fait signe de la suivre.
Ce que je fais sans hésiter jusque dans sa chambre.
Hooo sa chambre... cossue, feutrée, qui étouffe les sons déjà velours qui nous proviennent de l'extérieur.
Elle se retourne et lentement je m'approche d'elle.
Mes mains trouvent les siennes.
Ma bouche trouve la sienne.
Nos langues se mêlent.
La fraicheur de ses lèvres et l'aisance avec laquelle elle enroule sa langue dans ma bouche me font chavirer.
Notre étreinte s'éternise dans le calme feutré de la chambre de madame et de son mari.
De petits baisers sur le coin des lèvres.
Elle frotte sa cuisse contre mon entrejambe.
"Mon cochon... tu es déjà tout dur".
"C'est à cause de vous Sylvie..."
Elle ronronne.
"Quand tu me vouvoies avec mon prénom tu me donnes chaud mon bébé".
Je la caresse. Je sens son corps onduler sous mes caresses, la chaleur de son être éveille des désirs dans le creux de mes reins.
Son chemisier noir se gonfle sous sa poitrine si désirable que j'ai tellement longtemps imaginé, que j'imagine encore dans mes nuits solitaires...
et que je peux flatter... enfin.
La sonnette tinte.
Elle sourit et il faut une seconde sonnerie pour que nous nous éloignions l'un de l'autre."
"Cache toi dans la pièce voisine" me dit-elle avec un clin d'œil avant de faire claquer ses escarpins fins, hauts, qui donnent au balancement de ses
hanches un érotisme torride.
Je m'y place. La pièce est dans l'obscurité.
Je peux voir la chambre par l'entrebâillement de la porte.
Ma muse parle, une autre femme lui répond.
Elles entrent toutes deux dans la chambre.
La femme a environ 25 ans, visiblement une vendeuse à domicile.
Elle ouvre sa valise qu'elle pose sur une commode.
Sylvie se tourne vers moi, son regard qui sait où me trouver, me transperce, pourtant je suis invisible mais il me semble apparaitre en pleine
lumière.
Elle oriente un grand miroir... je peux voir l'intégralité de la pièce.
Puis elle retire son chemisier.
Un ensemble de lingerie, noire, très décolleté, moule ses seins et me fait immédiatement poser ma main sur mon entre cuisse douloureux.
Elle me lance un petit rictus puis se tourne et descend sa jupe.
Sa croupe devant moi... simplement recouverte d'un string dont la ficelle disparait dans ses fesses terriblement délicieuses.
La jeune femme sourit en admirant elle aussi la femme qui se dénude devant nous.
"Tu es terriblement ponctuelle Murielle."
"J'ai attendu que votre fille parte pour sonner."
"Tu as bien fait. " lui répond t-elle en lui flattant la joue de sa main si douce lorsque c'est sur moi qu'elle la pose.
"Je vous ai apporté des petites choses, spécialement sélectionnées pour vous".
"Hooo tu me combles".
Les deux femmes se connaissent donc.
Elle lui présente un ensemble de lingerie en dentelle et satin.
Je sens dans mon pantalon, un peu trop moulant, ma verge se dresser et être trop comprimée.
J'ai poussé la malice à ne pas mettre de dessous... ma verge libre frotte contre le tissu épais.
Et mon excitation ne cesse d'enfler, autant que mon manche.
Ma muse ôte son soutien gorge.
Des gestes lents, trop lents et si sensuels.
Elle enfile celui que lui présente la jeune femme.
Je suis hypnotisé par le harnais de dentelle noire, aux arabesques qui ne masquent en rien la profondeur de son sein et... qui révèle le mamelon,
offert, non recouvert.
Je suis tellement sous le charme du galbe de sa poitrine qu'elle expose que je ne remarque pas tout de suite les caresses de la vendeuse sur les
bonnets.
Plus que de l'ajustement, ses pouces aux ongles rouges frôlent, frottent, les tétines érigés de ma Muse.
Elles se sourient.
"Il vous va à merveille".
Je vois le corps de Sylvie onduler légèrement.
Elle se mord la lèvre inférieure avant que la caresseuse ne lui présente un autre soutien gorge.
Les essayages s'enchainent.
A chaque fois la vendeuse prend son temps pour effleurer et en profite pour flatter la poitrine attirante de mon amante.
Ma verge est si dure qu'elle en est douloureuse.
Je pose ma main sur mon entrejambe et ouvre les 3 boutons de mon pantalon.
Je manque lâcher un cri de soulagement lorsque je libère mon sexe en rut.
Je m'autorise une caresse.
Mes yeux se ferment un moment pour conserver en moi ces images excitantes.
Lorsque je les ouvre à nouveau...
L'ainée des 2 femmes ne porte plus rien.
Elle vient de faire glisser son dessous en se penchant vers le bas.
Elle reste les jambes tendues, montrant ostensiblement ses fesses et sa vulve à mes yeux et à ceux de sa cadette.
La jeune femme lui propose un slip transparent qu'elle enfile.
En un tour sur elle même, elle nous montre que le tissu ne cache rien.
Les mains fines de la vendeuse se posent sur l'avant du tissu et, sous prétexte de lui montrer la texture, je la vois caresser la fente aux lèvres
ourlées d'humidité de ma muse qui est ravie de subir de si agréables caresses.
Les doigts fins flirtent avec l'abricot à peine voilé.
Sylvie avance légèrement son bassin sur la main qui la masse avec une extrême lenteur.
"J'ai quelque chose pour vous" lui dit-elle en s'agenouillant pour lui retirer la culotte qui, mouillée, semble vouloir rester accrochée à son
entrecuisse.
Elle fouille dans sa valise et en sort un porte jarretelle.
Ma muse, nue, se laisse habiller par la jeune femme qui reste, accroupie devant elle.
"Voyez, une sorte de culotte fait partie du porte jarretelle..."
Les doigts, les ongles carmins passent et frôlent les hanches et les cuisses de celle qui me fait fantasmer.
"... mais elle est fendue".
Sa main passe entre les jambes qui s'ouvrent.
Elle la caresse sans préliminaire..
Et Sylvie... gémit.
"Hoo... j'aime bien ce dessous".
La brune continue de flatter l'abricot que je vois briller.
"Elle vous rend si accessible... à des doigts... ou à une bouche."
Ma muse pose sa main sur le crâne de la jeune femme et glisse dans ses cheveux pour l'attirer vers son sexe.
Sans résistance je vois s'approcher le visage de cette intruse, sa bouche s'ouvrir et sa langue laper le con trempé de celle que
j'admire.
Elle la lèche consciencieusement.
Sa gourmandise fait gémir sa partenaire qui se tortille.
Je vois ses jambes flageoler.
Les bruits de succion sont des coups de fouets à mon sang qui me semble bouillir.
Je voudrais entrer dans la pièce et mettre un terme à cela mais je reste à la contempler, à admirer ces deux corps souples qui se font du
bien.
La demoiselle se redresse.
Ma Muse déboutonne son chemisier.
Elle se laisse faire, caressant les hanches plus larges de sa vis à vis.
Elle rougit lorsque Sylvie lui palpe les seins.
Ses tétons pointent... trahison d'un désir innassouvi.
A force de lenteur elle dénude la poitrine orgueilleuse de la jeune femme.
"Tu sais que j'adore tes... mamelles"
"Je le sais... et j'aime lorsque vous les pétrissez".
Des pressions, des effleurements... la font soupirer.
Lorsque ma dame lui excite les mamelons, elle se dandine et lâche un râle.
"Tu n'as pas de petit copain en ce moment ?"
"Non... cela fait un moment..."
"Pas trop dur ?"
"Je me soulage toute seule" fait-elle en rougissant autant à ses aveux qu'aux plaisirs qu'elle retirent de ses bouts durcis qui sont pincés et
étirés.
Ma muse qui donne du plaisir à cette jeune étudiante... me rend fou.
le contraste entre leurs deux corps... si sensuel... si intensément sexy, sexuel.
Face à face, elles se jaugent, se sourient.
Murielle caresse les seins de Sylvie alors que cette dernière déboutonne son pantalon qui tombe au sol.
Elle porte un tanga rouge.
Elle s'accroupit alors pour récupérer son soutif.
Ses fesses rondes forment un cœur que la transparence du voile rend suave et désirable.
La dentelle moule son abricot délicat, met en valeur ce postérieur gracieux où la raie semble une invitation à des plaisirs pervers et
divins.
Ses hanches resserrées et sa cambrure exagérée m'échauffent les sens.
Je caresse mon sexe dressé.
Ma Muse vient se pencher derrière elle et elle lui baisse le dessous.
Murielle se relève un tout petit peu...
Et ma dame lape le sexe étroit aux lèvres serrées que la jeune femme lui présente en redressant sa croupe.
Toutes les 2 à 4 pattes par terre... l'une derrière l'autre...
Et ces bruits de langue...
Elle remonte et les mains fines viennent écarter les globes pâles de son séant oscillant.
La langue rose effleure la rosette brune de la jeune femme qui gémit lentement à chaque coup de langue sur son anneau palpitant.
Les figures s'enchainent.
Un ballet lascif et sensuel de corps et de caresses.
Ponctué de gémissements, de soupirs et d'invitations toutes plus osées les unes que les autres.
Elles frottent leurs sexes l'un contre l'autre.
Se tètent... mutuellement... leurs clitoris gonflés et étiré par de bouches expertes.
Elle se lapent, se doigtent.
Leurs vagins tours à tours ouverts, percés qui les fait couiner et râler.
Leurs étoiles étroites et si délicieusement intimes, s'entrouvrent sous les langues agiles et gourmandes.
Les nymphes de mon amante, écartellées à deux mains par cette délicieuses perverses qui la fouille et lui aspire le bouton tout à la
fois.
Face à face, leurs poitrines gonflées qui se tendent et leurs bouches qui se cherchent, leurs langues qui s'enroulent, leurs lèvres qui se pressent
les unes contre les autres...
Murielle vient sur Ma Muse pour se frotter et se faire caresser les seins.
Son séant ondule entre les cuisses de la maitresse de mes fantasmes.
"Hooo Murielle... tu me fais couler... petite chienne..."
"Sylvie... j'ai apporté un gode... pour nous faire plaisir".
L'ainée se redresse et lui sourit.
"J'ai mieux qu'un gode pour nous deux" lui dit-elle.
Je suis dans un tel état d'excitation que je ne suis même pas jaloux de ce qu'elles se font.
L'envie de ces deux bouches...
Je me caresse.
J'ai tant envie de les prendre l'une après l'autre
Envie de jouer moi aussi... de soumettre cette jeune chienne qui ose donner du plaisir à Ma Muse...
Les idées les plus osées, des désirs de stupre, de luxure... me traversent l'esprit.
Je mets un moment avant de remarquer que de son index, la plus âgée des deux femmes m'invite à approcher.
Sous le regard de ces 2 paires d'yeux brillants d'excitation, je sors de l'ombre, verge à la main, dressée vers le ciel comme un sabre.
Murielle me dévore du regard.
Elle se mord la lèvre inférieure en me voyant avancer vers elles deux.
"Voici notre cadeau de Noël" murmure mon amante.
Un murmure pour elles, pour moi, pour nous...
Leurs deux mains flattent ma verge.
Elles malaxent mes bourses lourdes.
Puis Sylvie se penche sur moi et embouche mon sexe devant la jeune femme qui, à son tour, la rejoint.
Ma verge passe d'une bouche à l'autre.
Elles utilisent mon glaive de chair pour se satisfaire de leurs envies.
Leurs langues se mêlent autour de ma queue et je les vois sourire comme deux affamées de sexe.
Mes doigts se glissent dans leurs cheveux.
J'accompagne les mouvements amples de leurs fellations alternatives.
La plus jeune apprend de Ma Muse et sous son regard semble devenir de plus en plus douée dans l'art délicat de la pipe.
Sylvie place elle même sa complice à 4 pattes.
Je déguste avec plaisir son abricot trempé.
Je n'ai qu'à tourner le visage pour déguster le second fruit défendu.
Côté à côté elles m'offrent leurs intimités... et ma bouche les dévore avec force et attirance.
L'un... délicatement ciselé, encore étroit... où ma langue s'insinue en forçant la dentelle fine.
L'autre... aux lèvres molles... béant... que je fouille de ma langue, mon visage plaqué à l'entrecuisse ruisselant.
Ma main droite titille le sexe frémissant de Murielle alors que la gauche doigte profondément celui de Ma Muse.
Leurs soupirs forment un chœurs d'anges qui, en cette période de Noël, me font croire à tous les cadeaux possibles.
J'enfile alors la première de ces deux femelles en chaleur.
Pour passer à la seconde sans même le temps de les prévenir de mes vas et vient dans leurs antres brulantes.
Syvlie vient s'allonger.
Murielle lui offre son sexe à lécher, accroupie sur le visage de son ainée.
Moi... je baise Ma Muse, allant et venant entre ses cuisses... ma bouche posée sur le velours du sein de la jeune femme qui me caresse le cou
pendant que je la tête.
Lorsque nous changeons de position j'apprécie la lourdeur du pis de Sylvie et son téton tendu que ma langue agite pendant que Murielle m'aspire la
verge en contractant son vagin envahit.
Nos corps se mêlent, s'entremêlent dans une sarabande de gémissements et de cris érotiques.
Un trio de déhanchements et de saillies.
Nos peaux sont moites.
Nos mains sollicitées par des courbes affolantes.
Nos bouches assoiffées et gourmandes.
Les orgasmes s'enchainent, se multiplient comme une réaction en chaine.
Une ode au plaisir...
A peine Murielle a t-elle passée la porte et fait vrombir le moteur de sa petite auto, que Sylvie dépose un baiser sur ma joue.
"Tu as aimé mon bébé ?"
"J'ai adoré".
"Je suis contente que tu ne sois pas exclusif... et que tu ais apprécié cette petite cochonne. C'est Noël... aimons-nous les uns les
autres".
Me fait-elle dans un clin d'œil complice avant d'aller préparer le repas de ce jour exceptionnel.
Lors du diner ma cheville droite subissait les frottements du bout du pied de ma Muse... mon genou gauche, les caresses furtives de sa
fille.
A minuit... je jouais le Père Noël en pénétrant dans la chambre de Marion, l'odeur de Sylvie encore sur ma peau.