Le blog de M.

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Lorsque je rentre chez moi je suis loin d'imaginer ce qui m'attend.
A peine ai-je déposé mon manteau que je vois le visage de Monsieur, qui me sourit.
"Bonjour ma belle Béatrice" me lance t-il.
Il est assit dans notre canapé, comme s'il était chez lui, ce qui est un peu le cas depuis qu'il s'est imposé dans notre couple.
Je le salue
"Bonjour..." 
Je me sens si peu à mon avantage devant lui dans ma tenue si sage, une jupe volante, un pull sans forme.
Je ne m'attendais à le voir et je n'ai pas spécialement fait d'effort pour être comme il apprécie que je sois... un peu plus sensuelle.
Je me rapproche, surprise de ne pas voir Marc alors que sa voiture est garée dans l'allée.
Ses yeux bleus sur moi me font fondre instantanément.
Une étrange sensation m'envahit dès que je le vois.
Un sentiment que je connais désormais, celui de l'envie, de l'appartenance, du plaisir.
L'envie de me coller à lui dans le canapé me gagne.
Je m'approche encore.
J'ai un instant d'arrêt lorsque je vois mon mari...
Il est là, il est rentré.
Il est à genoux devant le canapé.
Presque nu.
Je remarque en premier lieu qu'il porte une de mes culottes.
Puis je découvre son acte... il a la verge de mon Maitre en bouche.
Il lui fait une fellation.
Je lui en veux presque de prendre ma place.
Et cette situation est tellement humiliante pour mon époux... et pour moi... qu'immédiatement mon bas ventre s'humidifie malgré moi.
Mes yeux passent de sa bouche, grande ouverte autour du manche épais de celui qui est désormais au cœur de notre foyer, à ma dentelle qui lui recouvre bien impudiquement ses bourses.
"Venez vous asseoir ma douce Béatrice".
J'obtempère, sans parvenir à détourner le regard de mon homme qui va et vient sur ce sexe mâle d'une si conséquente taille.
Monsieur me dépose un baiser sur la bouche.
Je me laisse faire... sa bouche est si agréable à embrasser.
Il a une main sur le crâne de Marc à qui il impose le rythme de cet acte contre nature.
De sa main libre il prend mes doigts et les embrasse.
Marc me regarde, perdu... carmin de honte.
"Nous vous attendions. Alors j'apprenais à Marc à être bien docile".
Je rougis.
Honteuse d'être autant attiré par cet homme qui joue avec nous.
"Elle vous plait ma petite cochonne ?" fait-il en désignant mon mari.
Les mots me manquent.
"Caressez-le" m'ordonne t-il d'un ton doux mais que je sais désormais identifier comme un ordre impérieux.
Je pose ma main sur son dos.
Il a chaud.
"La dentelle de votre culotte...".
Comme un automate je fais glisser mes doigts sur le tissu.
Puis j'y appose ma main.
Le tissu est si fin
"caressez-lui les couilles".
Il ne le protège en rien, comme il ne me protège guère.
Je hasarde mes doigts sous les deux boules et je les palpe.
Il s'amuse de notre couple que tout le monde croit si sage, si sérieux.
Ma caresses sont automatiques, derrière mon mari qui subi l'intrusion dans sa bouche comme si c'était... notre normalité depuis quelques mois.
"Faites glisser la dentelle".
Je le fais lentement, dévoilant sa raie, ses fesses d'homme.
"Et toi écarte bien les cuisses".
Il hocquette, Monsieur vient de lui poser la main sur la nuque et lui enfoncer son sexe plus loin.
Il obéit et ouvre ses jambes devant moi.
Je suis hypnotisée par mon mari et mon Maitre.
Lorsque ce dernier prend ma main et pose mes doigts sur la petite rondelle de Marc, je sursaute.
Ho non... pas ça...
Ses doigts autour des miens, il me force à le palper... contre mon gré.
Je n'entends pas ce qu'il lui dit mais je vois la main de Marc se lever et... se poser sur une fesse puis venir écarter un de ses globes.
Mon propre mari... s'ouvre.
Mon cœur bat trop fort.
Il s'ouvre devant moi.
La tête me tourne.
Je m'assois sur le divan, prête à m'effondrer.
Assise, les yeux fermés je tente de reprendre mon souffle et mon calme.
Il appuie alors sur mes doigts et je sens mon index s'enfoncer dans l'étroitesse de Marc.
Mon époux grogne... totalement sous contrôle.
Il me fait agiter mon doigt, le tourmenter.
Je suis bientôt seule à le ... doigter...
Monsieur ne me tient plus.
Jamais je n'aurais pensé que je ferais cette chose si obscène.
Et... je continue de l'agiter, de lui enfoncer mon index dans son anneau le plus intime.
C'est.... plaisant de le voir se tortiller, de le sentir si... dominé par notre maitre.
Marc se tend, se raidit.
Je mouille comme une folle.
J'ai tellement envie de lui... pas de mon mari... mais de mon maitre.
Sous mes percées il éjacule sur ma culotte en dentelles.
Mon... notre Maitre nous emmene tellement loin.
Marc s'effondre sur le tapis, terrassé par son orgasme et la honte. Il est recroquevillé.
"Tu vois mon petit Marc, ta femme n'avait même pas besoin que je lui tienne la main. Elle t'a doigtée par plaisir".
Ces mots résonnent dans ma tête... la terrible vérité.
"Enfin... je dis "ta" femme. Oui, car autour de ton doigt il y a l'alliance que tu lui a donné".
Je rougis à ce souvenir, le plus beau jour de ma vie... enfin... je crois.
Il se lève et vient m'embrasser.
Il est nu... son torse me donne chaud, ses hanches me rappellent de délicieux souvenirs trop impudiques.
Sa grosse verge dressée et couverte de salive.
La salive... de Marc.
Je n'ai plus la force de le repousser, ni l'envie.
Mon mari, allongé au sol, regarde... Il n'ose pas bouger.
Il soulève ma jupe et la remonte sur mes hanches.
Sa main de mâle dominant vient flatter ma croupe.
Je tends mes fesses, sans même m'en rendre compte.
"Quel joli petit cul".
J'en sursaute.
"Marc, vient enlever sa culotte".
Mon mari obéit sans tarder, ses mains sur moi me font un effet contrasté... tellement sensuel d'immoralité.
Je sens ses mains sur moi, les deux regards des deux hommes... de ma vie...
Mes joues son pivoines, ma respiration plus courte.
Il me dévoile, si proche que je sens son souffle, si près, plus près qu'il ne l'a jamais été.
Je sens alors le contact de son visage sur ma raie.
Monsieur vient d'appuyer son visage.
"Lèche".
La langue de Marc... qui n'a jamais été là... me lape.
Je sens sa respiration sur ma plus secrète intimité.
Il le recule en riant un peu "Ca suffit petite salope".
Mon époux obéit.
Il accepte d'être "une petite salope".
La tête me tourne.
Son doigt vient flatter mon étoile striée, brune...
Je me contracte.
Mon cœur bat trop fort alors qu'il étale la salive de Marc sur ma rosette.
Je vois mon mari regarder le gros sexe se coller à ma cuisse.
Il a si souvent désiré en secret cette pratique que je ne lui ai jamais autorisé.
La verge vient frotter ma fente, appuyer contre mes lèvres, presser mon clitoris encore caché.
Je gémis doucement, totalement trempée.
Ruisselante sous cette masturbation de son gland sur mon abricot.
Le gros bout pourpre remonte.
C'est si bon... si chaud... si doux.
"La voilà l'alliance que j'aime chez ta femme".
Il pousse.
Je crie.
Son pal coulisse, lubrifié par ma cyprine qui goutte et la bave de Marc.
A quelques centimètres, mon époux voit le large soc m'envahir et glisser dans mes fesses.
Il m'enfonce d'avant en arrière, je crie.
"Je la prends sa plus belle alliance".
Mes seins bougent dans mon soutien gorge, si tendus.
Un claquement et l'agrafe cède sous ses avances.
Le tissu effleure mes pointent, accroissant mon excitation.
Il accélère et mon étroit anneau subit sa percée.
Mes cris deviennent gémissements.
Ma douleur... plaisirs impolis.
Il entre plus loin, plus profond.
J'ondule du bassin.
Les mouvements plus amples, son vit cercle, m'élargit et me sodomise à m'en faire couler sur mes cuisses.
"Tu vois comme elle m'appartient là ? Elle est... à moi... ma queue autour de son anneau".
Ses mains libèrent mes seins... mes petits seins qu'il masse.
Je ne suis que gémissements.
Ma fente suinte de plaisirs.
Ses bourses viennent claquer contre mes lèvres.
Emmanchée profondément par le bâton dur qui me ramone en profondeur.
Je pousse un râle lorsque le piton bandé me soulève.
Mes doigts serrés sur le tissu du canapé.
Il me bourre les fesses, l'anneau, mon... alliance intime.
"Alors, à qui elle est Béatrice ?"
Je l'entends, je suis incapable d'émettre autre chose que des gémissements orgasmiques.
Je voudrais pourtant lui dire "Non !" et "Oui !".
Et la voix de Marc... si faible..
"Elle est a vous Monsieur... Béatrice vous appartient".
Je jouis instantanément.
Mon esprit à l'unisson avec mon corps.
Je hurle de plaisir.
"Haaaa Ouiiiiii !"
Des veines de feu partent en tous sens, mon bas ventre est un creuset de plaisirs qui irradient vers mon cœur, mes cuisses, ma ventre... le long de ma colonne vertébrale...
Mes cuisses se tapissent de mon sirop qui me fuit.
Glissantes...
"Regarde comme elle aime ça cette chienne... en chaleur... elle me tend son cul ma belle salope".
Ses mots osés m'étourdissent.
Il continue de me prendre ainsi, en levrette, par l'arrière... comme une vulgaire chienne.
Et Marc nous regarde.
Il me voit, jouir et atteindre l'extase en me faisant sodomiser.
Je n'en peux plus mais Monsieur poursuit l'offense qu'il fait à mes fesses.
Ses doigts pétrissent mes tétons et m'arrachent un hoquet déplacé.
Il tire sur mes pointes rendues dures, si sensibles...
Je ferme les yeux et m'abandonne.
L'espadon masculin me pilonne les reins.
Des délices de sensations.
Il se contracte.
Je sens la chaleur de son jus d'homme m'inonder le fondement.
Il halète derrière moi, je l'accompagne en ondulant de la croupe de façon sensuelle et lascive.
Mon anus est totalement ouvert... uniquement source de bonheur.
Je m'effondre. Son foutre me dégouline sur les cuisses. Rassasiée.

"Marc, va chercher le paquet que j'ai préparé pour Béatrice".
Mon mari se lève et revient avec un petit paquet enveloppé d'un ruban doré.
Monsieur m'a pris dans ses bras.
Mes vêtements sont en vrac, mes cheveux emmélés.
Il tend la boite à notre maitre qui me l'offre.
J'ouvre.
Un anneau.
Doré.
"Qu'Est-ce Marc ?"
Mon époux hésite, baisse le regard avant d'oser parler.
"Une alliance".
"Et pour qui est-elle ?"
" Pour votre Béatrice, monsieur".
Je deviens écarlate.
Il me glisse au doigt, une nouvelle alliance.
Sur celle-ci sont gravées des lettres.
Je la fais tourner pour distinguer les fines ciselures... "SOUMISE".
Sans même m'en rendre compte j'embrasse le patron de mon mari, mon maitre, Monsieur, à pleine bouche... je suis aux anges.
Des larmes coulent sur mes joues.
Cette alliance contre nature éveille en moi une reconnaissance et des désirs de débauche.

A suivre...

Mar 2 déc 2014 Aucun commentaire