Le blog de M.

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Lorsque j'ouvre la porte de mon studio, découvrant ma Muse, mon cœur s'emballe.PJ2
De plus de 15 ans mon ainée, cette blonde merveilleuse est devenue mon amante après avoir hanté mes fantasmes d'adolescent lorsqu'elle venait rendre visite à mes parents.
Juchée sur ses talons, elle fait ma taille.
Ses bas noirs galbent ses jambes et se perdent sous la jupe grise, étroite, qui met en valeur son séant séduisant.
Un pull blanc moule sa poitrine généreuse.
J'avale difficilement ma salive.
Je lui souris.
Ses yeux étincellent.
Elle me rend mon sourire.
"Bonjour mon bébé. Je suis venu faire des courses en ville. Tu m'accompagnes ?"
Sa voix est un torrent de douceur, une cascade sensuelle qui me donne instantanément chaud.
"Avec plaisir", dis-je en passant ma veste sur ma tenue décontractée tout heureux de pouvoir avoir un moment à ses côtés.
A peine dans l'ascenseur nos mains se frôlent, se saisissent, nos corps se rapprochent.
Je dépose un baiser sur sa bouche, pris d'une hardiesse peu commune.
Elle répond à mon envie en ouvrant ses lèvres délicates.
Nos langue se mêlent, s'enroulent.
Je sens ma verge gonfler...
Le tintement de l'arrêt nous ramène à la réalité.
"Tu m'as manqué" me sourit-elle.
"Oui... tellement" lui murmure-je.
Elle passe son index sur ma bouche.
"Tu embrasses divinement mon bébé".
Le balancement de ses hanches est un appel à l'envie.

Je prends place à ses côtés dans l'habitacle étroit de sa petite voiture.
Mon regard s'attarde sur ses cuisses dont la jupe dévoile la pleine beauté.
Sa poitrine fièrement dressée captive mon attention.
Elle me sourit et les minutes s'écoulent d'une si agréable façon que je ne vois pas le temps passer.
Nous prenons un café, puis faisons les magasins.
Elle place devant elle des tenues toutes plus ridicules les unes que les autres et nous rions de bon cœur.
Puis nous entrons dans une parfumerie.
Elle dépose quelques gouttes de parfum dans son cou.
"Il te plait celui-là ?" me demande t-elle en inclinant son visage pour m'offrir sa peau.
Je la hume... délicieuse.
Penché sur elle je suis à quelques millimètres de son corps.
"Il est parfait, envoutant".
Mêlé à son odeur de femme je sens l'effet immédiat de sa fragrance sur ma virilité.
Au comptoir la serveuse encaisse..
"C'est gentil à votre fils de vous accompagner" croit-elle bon d'ajouter.
Ma Muse la regarde, bat des cils, sourit de ce sourire ravageur qui me fait rougir et, en se penchant un peu sous l'air de la confidence, lui lance doucement :
"Ce n'est pas mon fils."
La femme me regarde, s'empourpre et baisse le regard.
Nous sortons du magasin sous l'œil envieux de cette femme qui n'en revient pas.
"Je suis sure qu'elle aurait aimé te croquer cette coquine" me dit-elle.
Nos rires s'unissent.
"Elle n'est pas assez bien pour vous éclipser".
"Hoo... mais tu sais que je pourrais être plus exigeante avec toi..." laisse t-elle planer.
Je n'ai pas le temps de la questionner plus qu'elle m'entraine dans un magasin de lingerie.
Elle me montre un pyjama rose en pilou.
A mon regard et mes sourcils froncés elle le repose.
Je lui montre alors des chaussons à oreilles de lapins.
Elle pouffe d'amusement.
Lorsqu'elle me présente un bustier de dentelles, notre réaction est radicalement différente.
Sans un mot elle le place sur son bras.
Elle s'empare de plusieurs ensembles de dessous, toutes aussi affriolantes les unes que les autres puis se dirige vers les cabines d'essayage.
Je laisse flâner mon regard sur la jeune femme aux cheveux roux qui veille et conseille les femmes qui viennent essayer leurs tenues.
Bien qu'agréable et ave un beau sourire, elle ne parvient pas à éclipser le simple souvenir de mon amante.
Lorsque je me retourne vers la cabine, son visage ovale, doux, dans lequel brille ses yeux, encadré de sa chevelure dorée est passée entre une cloison et un rideau sombre.
Elle me sourit.
Je rougis d'avoir été surpris en train de regarder une autre femme.
"Tu me donnes ton avis ?"
J'approche sans me le faire demander une seconde fois.
Elle écarte le rideau, recule d'un pas pour que je puisse mieux la contempler.
Divine !
Son clin d'œil me rappelle à l'ordre.
Généreusement engoncée dans son soutien gorge de dentelles transparente, sa poitrine laisse apparaitre ses auréoles brunes et des tétons longs qui déforment le tissu.
"Il te plait ?"
"Beaucoup"
Elle se tourne et le retire, faussement pudique.
Son dos est un plaisir pour les yeux.
Sa chute de reins que la robe moulante rend splendide me rend instantanément fou d'envie.
Elle passe un second harnachement, très décolleté où sa peau pâle est mise en valeur par le contraste avec les arabesques noires.
"Je vais être obligée de prendre les deux" me dit-elle "Si j'en crois ta mine".
Le rideau se tire sur mon fantasme féminin.
Une érection difficile à cacher me prend.
J'ai beau placer mes mains devant mon entrejambe je surprends le regard de la rouquine sur moi.
La jeune vendeuse me regarde sévèrement.
Lorsque nous sortons du magasin mon sexe me fait mal tant il est gonflé dans mon boxer.
"Elle te plaisait elle aussi ?"
Ben que je m'attendais à cette remarque, je la redoutais.
"Je... non !"
Elle pince sa lèvre inférieure.
Même fâchée elle est sexy.
"Elle n'est pourtant pas vilaine".
"Trop jeune pour moi"
"Tu dis cela pour me flatter mon coquin."
Nous déambulons jusqu'à entrer dans un restaurant.
Notre conversation se poursuit, seulement troublée par la prise de commande du serveur sur lequel elle jette un œil gourmand qui me laisse froid.
"Un jour tu me laisseras pour une autre mon bébé".
Du dos de sa main elle me caresse la joue.
"Je ne veux pas vous perdre madame".
Ma main trouve la sienne, elles s'étreignent.
Sa bouche dépose un baiser sur la mienne.
"Appelle-moi Sylvie, s'il te plait... ce "madame" m'excite surtout lorsque tu me prends comme tu sais si bien le faire".
Ma gorge se noue.
Lorsque je relève les yeux sur elle, son sourire me réchauffe.
"Vous êtes irremplaçable".
Mon pied trouve sa cheville.
Au milieu des autres convives nous nous effleurons tout au long de notre collation.
"Tu n'as même pas eu de partenaire depuis ma dernière venue ?"
Je m'empourpre.
"Je ne t'en veux pas... tu sais... tu as le droit, je trouve même cela... excitant".
Sa voix me transporte.
"Elle n'était pas à votre hauteur" murmure-je un peu honteux.
"Pas aussi cochonne que moi ?"
"Non... "
Elle sait lire en moi.
"Je te fais devenir difficile. C'est mieux, je n'aimerais pas que tu t'entiches d'une prude indécrottable".
Nos sourires, nos yeux qui se plissent...
La complicité est au cœur de notre repas.
Le dessert se poursuit sur des badineries plus sensuelles par un jeu de bouches sur nos cuillères.
Elle se penche soudain vers moi en reposant son couvert qu'elle a léché de façon érotique.
"J'ai envie de toi. Maintenant".
Ses yeux s'ouvrent, roulent, sa bouche se fait mutine.
"Je vais payer... rejoins moi aux toilettes".
Ses fesses se balancent et elle se retourne pour me faire un clin d'œil aguicheur.
Ramassant ma veste je me dirige vers les WC.
Une femme se lave les mains.
Je vais pour me diriger vers la porte des hommes et me ressaisie.
J'hésite.
J'attends.
La femme me regarde d'un air surpris.
Je me lave les mains à côté d'elle.
Son regard se baisse sur mon pantalon et je vois qu'elle vient de découvrir mon érection.
Elle se hâte de sécher ses mains, gênée, autant que moi surement, et se trouve nez à nez avec ma complice, toutes deux se croisant dans la porte.
Je pousse la porte à l'étiquette féminine.
Elle m'y suit et referme derrière elle le petit loquet d'argent.
Je la plaque alors au mur.
Ma main vient se glisser sous sa jupe serrée, entre ses cuisses.
"Haa oui... écarte-moi".
Je palpe son entre jambe.
Sa culotte est souillée.
Je la masse, découvrant à chaque fois avec délice ses lèvres qui se dessinent sous la dentelle.
"J'ai envie de vous madame".
"Moi aussi mon bébé... je mouille depuis que je sais que je viens te voir..."
"Vous êtes en chaleur."
Je pose ma main libre sur son pull moulant, je pétris le sein ample.
Elle flatte ma verge.
"Oui... hum... ta petite chienne est en chaleur mon bébé".
Je crochète son dessous et le tire à mi cuisses, retenu par ses bas résilles et le porte jarretelle que je découvre sous mes doigts.
Elle roule des hanches, mes doigts fouillent son sexe ouvert.
Ma verge sort de mon pantalon, de mon boxer qu'elle a dégrafé avec une expertise digne d'une illusionniste.
Je flatte son clitoris.
Sa perle gorgée de sang est déjà libre.
Elle grogne lorsque je tire doucement sur son bonbon intime, puis lâche un gémissement plus sourd, à moitié retenu par le plaisir trop rapide qui monte en elle.
Sa main ma masturbe lentement, elle me décalotte le gland et se frotte avec mon bout pourpre.
J'entrouvre ses grandes nymphes.
Elle positionne mon vit tendu sur son abricot dont le jus me coule sur les doigts.
D'un mouvement du bassin je la perce.
Elle soupire.
"Ho... madame... oui... vous êtes si... han !"
Je l'enfile plus profondément.
Mon sexe long s'enfonce en elle et je geins à mon tour, de plaisir.
"Je suis si... bonne ?" me murmure t-elle en se déhanchant pour s'empaler plus loin encore.
"Oui... si bonne à baiser".
Son visage se rejette vers l'arrière.
"Haaaa mon coquin... tu es long... tu me tapes au fond du vagin... aie... hummm..."
Ses grimaces, lorsque je cogne tout au fond de son intimité, se métamorphosent immédiatement en souffles extatiques et ses ongles me griffent le dos.
Ses mains sous ma chemise, elle s'agrippe à moi.
J'ai relevé ses cuisses, je la maintiens par les genoux, seulement tenue par ma verge sur laquelle elle ne peut que s'empaler jusqu'au fond de sa matrice.
"Sylvie... j'aime vous prendre".
Je sais qu'elle aime lorsque je suis dans cette retenue très osée.
Elle me laisse la posséder, sa vulve se contracte et me masse le sexe.
J'accélère.
"Haaa oui ! Encore ! Vas-y ! Baise-moi !! Haaaaa !!"
Mes assauts la font taper contre le mur.
Je fais aller et venir ma verge en elle, son jus tiède que je sens sur mes bourses me rend fou de désir.
Son cou, sa bouche, ses soupirs...
Son corps qui ondule, presque en transe sous mes coups de sexe.
Je gravis avec elle, les barreaux de l'échelle du plaisir.
Nous ne sommes plus que grognements et gémissements.
Gênée par sa culotte qui se distend sous l'écartement de ses jambes, par sa jupe droite qui remonte sur ses hanches, ses sensations en son accrues.
Nos bouches se trouvent, nos langues se lient.
Son orgasme arrive.
Elle se cabre telle une furie.
Je la rejoins quelques secondes plus tard.
Nos jouissances sont simultanées, violentes, rapides.
J'éjacule à grands jets dans son con détrempé de cyprine odorante.
Notre baiser s'éternise alors que nos corps ralentissent d'eux-même.
Je pends doucement, à peine amollis.
La plaisir vient de nous terrassé.
Nos regards plongés l'un dans l'autre.
Jamais femme n'a été plus belle qu'elle.
Cet endroit est le palais le plus somptueux, loin de moi l'exiguïté des lieux...
Un tapement à la porte nous rappelle à la réalité.
Elle remonte son string.
Je reboutonne mon pantalon, fourrant ma verge dans mon boxer.
Nous sortons des WC pour femme.
Celle qui vient de nous en déloger est furibonde.
Son visage est rouge.
Ma muse lui sourit et réajuste son soutien gorge puis sa jupe.
"Vous pouvez y aller madame... ces toilettes sont parfaites" lui dit-elle, ironique.
Je la suis, amusé par la malice qu'elle met dans ses paroles.
La traversée du restaurant se fait sous les observations stupéfaites des clients qui étaient proches des toilettes.
"Vous avez du crier Sylvie" lui dis je alors nos mains se captent et que nos doigts se croisent.
"Toi aussi. Tu ne t'en es pas aperçu ?"
Dans la rue l'air frais nous fait frémir.
"Moi ?"
"Oui... tu m'as lancé 2 mots... très crus... qui m'ont fait venir encore plus vite... hum mon délicieux coquin".
Mon souvenir en a été perturbé par mon plaisir et je n'en ai même pas eu conscience.
"Cela vous a plu ?" hésite-je.
"J'adore être ta "petite catin"..."ta salope", si tu veux vraiment le savoir". sourit-elle.
Je lui rends.
"Je suis trempée. Ton foutre me dégouline au fond du string et me coule sur les cuisses mon bébé." poursuit-elle en serrant ma main.
"Vous voulez rentrer ?"
"J'ai une autre idée. Nous sommes très proche de chez une amie."
"Mais, vous..."
"Tu m'avais dit que tu ferais "tout" pour moi. Tu vas voir que je suis une vraie... salope".
Dans mon boxer mon sexe se durcit de nouveau.
Le ronronnement de sa voiture, la fragrance de son entrejambe et ses paroles sibyllines me laissent dans l'expectative.
"Tu es d'accord pour me suivre ?"
Elle me lance ce sourire désarmant qui me fait bander instantanément.
"J'irais au bout du monde avec vous ma Muse".
La petite auto se lance.

A suivre...

Mar 28 oct 2014 Aucun commentaire