Le blog de M.

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Je me redresse devant mon amant.
Assis sur son fauteuil de cuir noir, son sexe est toujours dressé vers le ciel.
"On dirait bien que cela t'a plu".
Je deviens écarlate, debout dans son bureau, mes vêtements chiffonnés, mes cheveux décoiffés.
"Je n'avais jamais fait cela Monsieur".
"Mais tu y a pris du plaisir".
Je baisse la tête... aveu sans parole de ma condition.
Il glisse sa main sous ma jupe qui est retombée après la folie qu'il m'a fait commettre avec sa secrétaire.
Je réprime difficilement un gémissement alors qu'il frôle mon sexe en feu.
Il me caresse avec ses doigts agiles et la maestria que je lui connais.
J'écarte mes jambes sous l'effet qu'il me fait.
"Regarde-moi".
J'ouvre les yeux.
Il est si... mâle... magnétique...
Il a une étincelle dans les yeux qui me fait fondre.
Je ne peux lui résister, il le sait.
Mes nymphes enflent sous ses gestes précis, mon clitoris est agité, frotté, pressé.
J'émet un son plus fort. Je gémis.
Marc me perd un peu plus à chaque fois que je suis sous la coupe de mon... mâle dominant.
Il écarte ses cuisses et je sais ce qu'il veut.
"Tu as déjà la bouche pleine de cyprine, il te faut maintenant du foutre ma petite Béatrice."
Mon cœur s'emballe.
Ma poitrine me fait mal tant je suis surexcitée.
Ses mots crus me rendent dingue de désir.
Des paroles que jamais mon mari n'osera prononcer.
Des actes qu'il ne me fera jamais subir... dont il ne me fera nullement profiter.
Je m'agenouille.
Je passe sous le bureau telle une automate.
Au creux de mes jambes une envie irrésistible.
Et je lèche sa tige épaisse sans qu'il n'ait à me le demander.
Il soupire de plaisir.
Je deviens avide, je le prends en bouche, je l'aspire, je le suce avec une énergie décuplée par ce qu'il m'a forcé à faire quelques minutes auparavant.
Je le dévore pour ôter de ma gorge le gout de cette femme.
Son manche coulisse entre mes lèvres.
"Grosse gourmande... hummm".
Ho oui ! Je suis à ce moment là une "gourmande", sa gourmande.
J'en ai envie.
Une envie débordante, de lui, de son membre dont je rêve, d'être à lui.
Je ne l'entends même pas répondre au téléphone tellement je suis absorbé par la fellation que je lui prodigue.
Peu a peu je saisis des paroles.
"... vous me dérangez Marc"
Je suis alors tétanisée.
Soudain ma condition de femme mariée, adultère, me revient en pleine face.
"Heureusement que votre femme est venu me remettre le dossier que vous avez oublié chez vous"
Son ton est dur avec mon époux.
Ma fente se souille instantanément.
Je pose ma main sur ses bourses, soudainement très... excitée.
Je les malaxe comme il me l'a déjà ordonné auparavant.
" Et... Je suis en ce moment en train de me faire sucer par une femme mariée alors oui, votre oubli m'agace".
Ho non !
Il va se douter de quelque chose !
Ses doigts agrippent mes cheveux blonds pour me faire descendre sur ses boules.
Il le sait, la présence de Marc, même au téléphone, me fait un effet particulier.
J'ouvre ma bouche et aspire une bourse.
Elle est chaude, elle semble agitée d'une vie autonome car l'olive bouge toute seule dans ma bouche.
Je suce ce sac bien plein.
"... Très bien. ... Oui continue comme ça. Non, je ne vous parle pas mon petit Marc, j'encourageais cette belle salope à me bouffer les couilles".
Je suis rouge de honte et d'excitation.
Je n'entends même plus le reste de la conversation, les mots crus qu'il énoncent à mon époux sans me nommer, mon esprit embrumé, mon sang en afflux rapide... mon sexe ruisselle.
J'ouvre la bouche à mon maximum et tente de faire entrer ses 2 bourses entre mes lèvres.
Ma langue joue, tourne, presse, lèche copieusement.
Je le masse de ma langue puis le reprends en bouche, son sexe coulisse de nouveau dans ma bouche.
Il raccroche.
"Ton mari. Il a de la chance de t'avoir". me dit-il en sortant sa verge d'entre mes lèvres.
Le sourire que je lui lance et que je tente de réprimer aussitôt lui fait plisser les yeux.
"Tu aimes les boules je vois ça... lèche la bonne glace".
Je m'exécute à son ordre salace.
Ma langue part du bas de son membre et remonte vers le haut.
Mon muscle se fait large pour apprécier l'épaisseur conséquente de son barreau intime.
"Lèche lentement... voilà... et regarde moi... très bien..."
Je suis envoutée.
Il me force à adopter une telle attitude de luxure que je ne me reconnais plus.
On frappe de nouveau.
Je m'immobilise.
Son sourire est plus grand, carnassier.
Je frémis.
Je redoute le retour de sa secrétaire.
Mais je sais que je ferais ce qu'il me demande.
Il me pousse sous le bureau.
Dans l'ombre, à l'étroit, ses cuisses musclées de part et d'autre de mon visage.
"Entrez".
Je continue de lécher lentement, troublée par cette humiliation.
Je reconnais aussitôt la voix de mon mari qui le salue et s'excuse déjà.
Je fais le moins de bruit possible, hésitante entre l'envie de ce gros sexe et la peur d'être découverte.
Mon amant, son patron, le houspille sur son erreur.
J'incline la verge de Monsieur et la prend en bouche de nouveau, je veux apaiser sa colère.
Et surtout... la présence de Marc décuple mes envies...
Aucune main ne me tient, aucune pression ne m'oblige à le pomper comme je le fais.
J'aime ça.
La fellation que je lui pratique va au delà de ce que je me croyais capable de faire.
Mon sexe est un volcan en éruption.
Je glisse ma main sous ma robe, entre mes cuisses.
Je me caresse pour atténuer la tension qui me tourmente.
Tout en me masturbant lentement, son sexe entre mes lèvres, je lui agite la base de son vit.
Au bout de quelques minutes, au son des 2 voix de mes ... hommes... j'ai les doigts gluant de mon plaisir.
A la limite de la jouissance, je dois me freiner pour ne pas aller jusqu'au bout et crier, dévoiler ma présence.
Des "humm" disctinctement audibles m'échappent lorsque je reprends ma respiration
"... vous pourrez apporter des fleurs à votre femme, c'est grâce à elle que je vous pardonne".
Marc bafouille un " oui monsieur".
Mon amant se recule un peu sur son fauteuil, je suis son mouvement pour ne pas ôter son membre d'entre mes lèvres.
Un peu plus de clarté, j'ouvre mes yeux, relève le regard et je sens alors un coup d'œil de mon mari dans ma direction alors que son patron lui tend un document.
Le bureau ne me masque pas entièrement et il a pu m'apercevoir, me reconnaitre.
Je ne sais plus où me mettre.
La porte se ferme de nouveau et mon... et... Monsieur se recule encore plus pour me mettre en pleine lumière.
Je suis agenouillée devant lui.
La bouche entrouverte, les lèvres rouges tellement j'ai engloutis son manche, les mâchoires douloureuses.
Il se penche et prend mon bras.
Mes doigts couverts de mon jus, exhibés.
"Tu te branlais en même temps ma salope" fait-il d'un ton satisfait.
Ma tête s'incline vers le bas, je regarde le sol.
Il me relève en me tenant le menton.
Et il suce mes doigts, il m'oblige à le regarder faire.
"J'en veux encore".
Timidement je replace ma main entre mes cuisses et je me caresse de nouveau, pour lui tendre une seconde fois mes doigts couverts de ma mouille.
Il se délecte de mon miel.
Ces manigances se poursuivent et à chaque fois je me rapproche du bord de l'orgasme.
Obligée de me masturber devant lui, à genoux.
Il a posé ma main sur son sexe et je... nous caresse... simultanément.
"Tu branles bien Béatrice... et tu es, comme le dit Clémentine, "délicieuse"... une délicieuse petite salope. Ce soir je vais bien voir si ton mari t'a apporté des fleurs".
Ses paroles ouvrent les vannes de ma jouissance.
Crues...
Mélange de mes actes dégoutants et de la soirée à venir...
Je ne me retiens plus et succombe sous mes doigts.
Je gémis, je me tortille à ses pieds en dégoulinant, mon sexe ouvert, ma perle gonflée et maltraitée par mes soins.
Il me penche alors sur son vit et je n'ai que le temps d'ouvrir la bouche à son ordre avant qu'il n'éjacule dans ma bouche.
Son liquide épais tapisse ma gorge.
J'avale tout.
Ce que je n'ai jamais fait à Marc... à lui... je lui autorise.
Son gout est un nectar que je bois.
Il gicle sur mon visage.
Je lèche pour récupérer son jus chaud, entre deux râles de jouissance que je laisse sortir du fond de mon être.
Assouvis tous les deux après ce long moment de luxure, déshonorée et frémissante, j'accepte ses bras qui m'entourent et me cajolent.
Je tremble au souvenir de ce que je viens de faire.
Assise sur ses genoux, je sens son corps qui m'enlace.
Je suis... bien... heureuse d'être à lui.
Ravie d'être sa salope.

Lorsque je quitte son bureau, sa secrétaire me remercie pour ma venue.
Je n'ose pas la regarder.
Je m'engouffre le plus vite possible dans ma voiture pour retourner chez moi.
Et dire que ce soir... il revient chez nous...

A suivre...

Mar 2 sep 2014 Aucun commentaire