Le blog de M.
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Entre mes lèvres la chaleur intense de la verge de mon amant me fait saliver.
Elle est si épaisse que je dois ouvrir ma bouche en grand pour accueillir sa tige virile.
Je monte et je descends autour de son manche raide, je bave, je dois respirer par le nez.
Je déglutis avec difficulté, la bouche pleine de son gros vit, et je l'entends gémir.
Les jambes tendues, bien droites, encore habillée, je suis penchée sur son entrejambe, le fessier vers le ciel.
Sa main me tient par la nuque.
Je le suce au rythme qu'il m'impose, heureuse.
Comment en suis-je arrivée là... ?
Cela faisait deux semaines que je ne l'avais pas revu.
Mon mari avait oublié un dossier chez nous.
Lorsqu'il a téléphoné à la maison, mon cœur a bondi dans ma poitrine, et je suis venu lui apporter ces documents aussitôt sur son lieu de travail, qui est aussi
celui de mon époux, puisqu'il en est son patron.
J'avais peur qu'il ne se soit lassé de moi alors lorsqu'il m'a été possible de le voir je n'ai pas réfléchi, je suis venu jusqu'à lui aussitôt.
Il m'a embrassé à pleine bouche, à peine avais-je refermé la porte derrière moi.
Entre honte et désir je me suis laissé faire, à l'abri de son bureau, de ses stores baissés.
Il a alors ouvert sa braguette et m'a incliné pour que mes lèvres touchent son sexe tendu.
"Je suis si content de te revoir ma belle Béatrice". M'a t'il dit sans plus de préliminaires.
J'ai souris... et mes joues ont rougies.
Moi aussi j'étais aux anges.
Et je me suis inclinée pour lui donner ce qu'il voulait.
Voilà pourquoi je m'applique.
Mes lèvres se resserrent autour de son gland bien rond, ma langue joue avec le pourtour, cette couronne d'aspérités et le col plus étroit du bout de son
sexe.
Je titille le méat, fine fente au centre d'une surface lisse, large.
Mes dents se posent et mordillent très délicatement son casque si délicieux.
Puis j'écarte mes mâchoires et je redescends le long de son pylône de chair qui s'évase vers son embase jusqu'à ce que mes lèvres viennent toucher son pubis et la
naissance de ses bourses glabres, lourdes, roses.
Il appuie légèrement sur ma nuque et ma gorge est envahit par son membre.
Je grogne, mélange de suffocation et de plaisir intense, alors que je le pratique d'une façon qui ne me ressemble pas, moi qui était si sage et prude avant de le
connaitre.
Son téléphone sonne.
Il répond sans cesser de me faire monter et descendre sur son sexe.
Ma croupe est cambrée car il m'oblige à rester jambes droites.
Il raccroche et avant le déclic de fin d'appel me gratifie d'un "Oh oui comme ça ma petite salope".
Hoo ! Pourvu que son interlocuteur ne l'ait pas entendu.
Je sais que je devrais ne pas être là, comme cela, à lui faire cette fellation digne d'une fille de joie, mais je lui appartiens, je le sais,
viscéralement.
Lorsqu'on frappe à sa porte j'ai un mouvement de recul.
"Ne bouge pas" m'ordonne t-il.
Immobile, j'avale avec peine ma salive, mes yeux grands ouverts, je relève le regard vers lui, je l'implore de me relâcher, je voudrais disparaitre sous
terre.
Au lieu de cela son sourire me désarme, ses yeux bleus me brulent l'âme.
"Entrez".
Je panique.
Sa main me maintient la nuque, son sexe dans ma bouche, enfoncé jusqu'à la garde.
La porte se referme et les pas derrière moi claquent sur le sol.
Une voix féminine.
Sa secrétaire. La femme à laquelle je me suis présentée à mon arrivée.
Elle lui parle comme si je n'étais pas là.
Il me fait monter et descendre.
J'ai envie de pleurer... mais je continue de lui aspirer le sexe, envoutée par la situation.
Il me faut un temps de réflexion pour comprendre ce qu'ils disent, mes oreilles bourdonnent tant je suis perdu.
Les mains de la femme qui remontent ma robe me semblent tout d'abord irréelles.
Le contact avec la réalité arrive d'un coup.
"Allez-y Clémentine, je vous en prie. Dites-moi si elle est bien toujours intégralement lisse".
Sa voix grave et cette demande incongrue me figent.
Les mains de se secrétaire, une jeune femme brune aux fines lunettes et à la queue de cheval nouée d'une élastique rouge, se posent sur moi et remontent le tissu
léger.
Je me redresse mais mon amant me force à rester dans cette posture.
Le souffle de l'air frôle mes cuisses nues, dévoilées, ma robe retroussée sur mes hanches.
Il y a quelques minutes je vivais un rêve, là... il tourne en cauchemar.
Jamais je n'ai eu envie de sentir des mains de femme sur moi.
Je ne suis absolument pas attirée par els femmes, je trouve cela répugnant, immoral.
"Baissez sa culotte".
Je ne parviens pas à lui dire "non s'il vous plait", mes mots se perdent en un gargouillis incompréhensible.
Il me sourit.
Les doigts fins de sa secrétaire font glisser ma culotte vers le sol.
"De là où je suis je peux admirer ton si joli cul ma coquine" me gratifie t-il tout en caressant ma cuisse et en maintenant ma nuque de ses mains.
Je me fige.
Elle me flatte...
C'est si dégoutant !
Ses doigts effleurent mes lèvres, me les pressent délicatement l'une contre l'autre.
"Oui, elle est toute lisse monsieur" lui confirme t-elle.
J'espère alors qu'il va faire cesser cette torture qu'il m'inflige.
"Je vous en prie Clémentine, vous avez bien mérité une petite récompense pour l'excellent travail que vous faites".
Elle pousse un soupir de plaisir et ses doigts me masturbent alors plus ouvertement.
Je lève de nouveau les yeux vers l'homme qui m'impose ce traitement honteux.
"Béatrice, ma belle salope, tu es à moi... si... désirable... si... cochonne."
Son sourire me désarme.
L'index qu'elle m'introduit dans la fente me fait l'effet d'un tison ardent.
J'ondule pour m'en soustraire mais elle s'attarde sur mon clitoris et...
"Elle est toute trempée" commente t-elle.
J'ai honte...
Elle me fouille délicatement, avec une expertise que seule une femme peut avoir.
Je sens mes fesses se lever vers le ciel, vers elle.
Je salive, la bouche remplit par le gros sexe de mon dominateur.
Et... elle me procure du plaisir... ho non... pas ça... pas avec une femme...
Son souffle se fait sentir sur mon intimité.
Je refuse de l'admettre.
Elle me lèche.
J'ai envie de crier, que tout ceci s'arrête.
Mon corps, lui, réagit différemment.
J'ondule bientôt sous les caresses buccales de cette femme qui me lape.
"Tu as l'air d'apprécier" me dit mon amant alors que me bouche recommence à le sucer avec envie.
Je suis trahis par mes actes.
Le plaisir d'avoir un sexe en bouche et une langue qui me lèche en même temps, peu importe qu'elle soit féminine, me donne chaud.
J'en oublie ses ongles manucurés qui m'écartent les chairs pour que sa langue s'enfonce loin en moi.
Elle aspire ma perle et la suçote tout en fourrant un doigt dans mon vagin pour cercler dans mon intérieur.
Je gémis, étouffé par le membre viril qui m'empêche de refermer la bouche.
Je salive sur ses bourses.
"Alors ? Comment est ma petite Béatrice ?"
"Délicieuse monsieur."
Il sait, j'en suis sure, qu'en la faisant parler, je n'oublie pas qu'il s'agit d'une femme derrière moi.
Il me tire par les cheveux et me désembouche.
J'halète. Au bord de l'orgasme.
Sa secrétaire retire ses doigts de mon abricot.
"Tourne-toi ma belle salope" m'ordonne t-il de sa voix douce.
Je n'ose dire un mot, je n'ose bouger.
Il caresse ma joue, mes lèvres et essuie la salive qui coule sur mon menton.
Puis, lentement, je lui obéis.
J'accède à ses désirs comme je le fais depuis le début.
Je suis à lui.
Incapable de le résister et terriblement excitée par cet horizon qu'il m'a ouvert depuis quelques mois.
Il me positionne, un genou sur son bureau, une jambe droite et tendue au sol, en appui sur un bras au milieu de ses dossiers, l'autre libre bientôt saisit par sa
main et maintenu dans mon dos.
Ma vulve et mes fesses entièrement à la disposition de sa vue, sa secrétaire ayant bien retroussé ma robe sur mes hanches.
En face de moi je découvre celle qui m'a fait devenir si humide.
Plus jeune que moi, elle se mord la lèvre inférieure et replace ses lunettes sur son nez.
Elle est jolie, j'en conviens.
"Monsieur... balbutie-je... je ne suis pas attirée par les femmes. Je ne suis pas lesbienne".
Elle me dévisage et ses dents se dévoilent, blanches, dans un sourire charmant.
"Clémentine ?"
"Oui Monsieur ? "minaude t-elle.
Je comprends que le courage que j'ai réuni pour pouvoir parler n'aura été d'aucune utilité si ce n'est avoir excité encore plus mon amant.
"Enlevez votre jupe".
Ebahis, je vois cette femme défaire son vêtement.
Elle ne porte rien au dessous.
Hypnotisée par sa fente rose, uniquement ornée d'une petite touffe brune tout en haut.
Ses longs ongles viennent l'entrouvrir.
Je découvre pour la première fois de ma vie un sexe de femme à moins de 10 cm de mon visage.
Elle se rapproche et je sens son odeur, je peux distinguer qu'elle a mouillée.
"Lèche Béatrice" m'ordonne la voix de mâle.
Je reste bouge close.
Mes yeux fermés.
Et la peau intime de sa secrétaire se colle sur mon visage.
Je perçois la fente sur ma bouche hermétique.
Dans mon dos, Monsieur vient également de placer sa langue sur mon con.
Il me lèche doucement.
Puis un peu plus appuyé.
Son muscle m'ouvre et sa langue me fouille l'intérieur.
Je gémis.
Ma bouche s'entrouvre et...
La pointe de ma langue touche ce sexe inédit.
La peau douce et chaude de sa cuisse gainée de nylon me frotte le visage.
Je pousse un second soupir et ma langue s'agite, elle vient chercher la fissure féminine.
Il m'écarte... deux doigts en moi pour me dilater.
L'excitation me gagne comme une folie douce.
Je lape lentement à mon tour.
Les mains délicates dans mes cheveux me plaquent sur l'entrejambe de cette secrétaire lesbienne.
Je découvre les nymphes intimes, les replis féminins, j'imagine mon sexe et lui prodigue ce que j'imagine me faire plaisir.
Elle pousse des petits gémissements qui m'encouragent.
Mon sexe a son tour léché et sucé, je me tortille entre les mains puissantes qui me caressent.
"Tu es une belle petite chienne" commente t-il sans cesser de me dévorer le sexe.
Oui... je lèche... je lape... comme une chienne, de plus en plus rapidement.
Elle lâche des petits "Hinn ! Hin ! Hinnn !" étouffés.
Un bouillonnement de pensées contradictoires me tourmentent.
Puis sa cyprine se répand sur moi dans une giclée puissante.
Je suis surprise.
Son suc inonde ma bouche.
Ce sont comme des petits jets de foutre féminin.
Une femme fontaine... mon visage est bientôt dégoulinant de sirop vaginal.
Lentement elle se frotte la fente sur mon visage, barbouillant ma peau du fruit de son orgasme fulgurant.
Elle se recule.
Mon amant me caresse la croupe.
Elle s'essuie le sexe devant mes yeux.
Je contemple ses lèvres rouges et poisseuses, encore incrédule, honteuse d'avoir eu cette pratique homosexuelle avec cette femme... et malgré moi très
excitée.
"C'est bon Clémentine, vous pouvez disposer".
Elle remonte sa jupe et me sourit avant de sortir et nous laisser seuls, déposant un mouchoir sale sur le bureau du patron de mon mari.
A suivre...