Le blog de M.

assise[...]

Dans le clair de lune, je m'éveille en sursaut.
Je suis dans mon lit, seul le drap me recouvre les jambes.
Mon esprit fait le point en remettant en place les différents éléments.
Je rougis, incrédule.
Moi qui ne dors jamais sans une nuisette, je suis sans le moindre vêtement et l'homme à côté de moi n'est pas mon mari.
Marc, mon époux... dort sur un matelas, à côté de notre lit.
Je déglutis et cligne des yeux pour accepter la situation, et je me souviens...
Instantanément, malgré moi, mes seins se gonflent, mon bas ventre se réchauffe.
Marc dort sur un matelas posé à même le sol.
A mes côtés son patron, mon amant, respire calmement, il dort du sommeil du juste.
Les rayons lunaires qui filtrent par la fenêtre me révèlent le corps masculin dans une ambiance éthérée.
Son visage est reposé, ses yeux bleus ne sont pas visibles mais je les imagine lorsqu'il me regarde avec envie.
Etendu sur le dos je laisse flâner mon regard sur son torse peu velu, sur son ventre où une fine frange pileuse brune vient s'égarer sur son pubis, glabre.
Je suis légèrement honteuse de détailler ainsi le bas ventre d'un autre homme que le mien.
Son sexe au repos, rose, mollement posé sur ses bourses lisses.
J'hésite et, tremblante, je pose le bout de mes doigts sur sa poitrine dont les deux tétons sont sombres.
Il est bien réel, sa peau douce, je perçois la chaleur de son être.
Je me surprends à sourire en le caressant sans l'éveiller.
Il est beau lorsqu'il dort et le trouble m'envahit.
Ma paume posée sur lui, je sens son cœur battre et le mien s'emballe.
Je fais descendre mes doigts sur son ventre, sur les derniers remparts noirs de son bas ventre.
Je jette un œil sur son visage, il ne se réveille pas, profondément endormi.
Mon ongle d'index est à quelques millimètres de son membre viril.
J'hésite, je sais que ce n'est pas bien, que je ne devrais pas... mais j'effleure son sexe d'homme.
Un frisson, une boule dans mon ventre, un regard coulé à mon mari dont je n'aperçois même pas le corps... et je caresse cette verge avec une extrême légèreté.
Mon geste coupable ne doit pas être surpris, j'ai l'impression d'être une cambrioleuse, une vilaine voleuse, aussi me fais je la plus douce possible.
Mes doigts flânent sur son vit puis sur ses bourses que je flatte.
Elles sont chaudes, si douces sans poils, je prends plaisir à lui masser les boules en posant ma paume entre ses cuisses musclées.
Il bouge, je m'immobilise, son souffle reste lent, je ne l'ai pas réveillé.
Son membre, par contre, vient de prendre un peu de largeur.
Je suis autant amusée et excitée que je m'en veux de mon attitude immorale.
Ma main remonte sur son sexe.
Je le caresse.
Il grossit sous l'effet de mes flatteries.
Mes doigts se referment autour de lui.
Sans faire un seul geste, il enfle, il gonfle.
Mes tétons se tendent en même temps que la verge de mon amant se gorge de sang.
J'ai une envie obscène...
Je me penche sur lui.
Mes petits seins lourds frottent puis se posent sur le lit.
Je me redresse un peu pour que mes pointes soient irritées, soulagées et excitées par le drap tout à la fois.
Mes lèvres embrassent sa virilité.
Et je gobe son sexe en ouvrant ma bouche.
Je l'aspire avec douceur et furtivité.
Ma langue s'enroule autour de la colonne chaude qui continue de se dresser.
Je découvre l'effet extraordinaire de faire entrer en érection un sexe en lui pratiquant une fellation.
C'est incroyable... petit à petit mes gestes buccaux, les pressions de ma langue, le font grossir en moi.
Et ma bouche est obligée de s'ouvrir de façon de plus en plus large.
Je le décalotte en l'aidant de ma langue.
Son gland enfle, je le caresse en découvrant, en ressentant ses formes, ses aspérités, uniquement au moyen des sensations de mes lèvres et de mon muscle lingual.
Je m'éloigne de la base de son pubis car son sexe grandit, grossit, s'épaissit.
J'ai maintenant la bouche remplie, les mâchoires écartées.
Je me force à l'emboucher plus profondément, toujours très très lentement pour ne pas le sortir de son sommeil.
Que sa verge est large !
Je tente d'ouvrir ma bouche pour glisser plus bas mais je suis déjà au maximum d'écartement de mes lèvres.
Alors je me penche plus... son gland frotte mon palais, j'avale ma salive avec peine, provoquant une succion qui le fait s'agiter.
Je reste alors sans faire aucun mouvement, son sexe à pleine bouche.
Ma main gauche me maintient en place sur le lit, mon poignet effleure son ventre.
Ma main droite maintient son manche droit vers le ciel, mon pouce ne rejoint plus mon index tellement la base de sa verge est large.
Il souffle et reprend son rythme de dormeur.
Je remonte vers le gland, ma langue caresse la veine et je m'attarde sur ce bout large, doux et irrégulier.
Il me faut respirer et je lâche son sexe, à regret.
Entre les ombres, son pal est somptueux.
Pour la première fois de ma vie de femme j'ai envie de continuer, de le pratiquer sans concession.
Un mouvement à côté du lit me fait tressaillir.
Si Marc me découvrait en ce moment... un sexe en main... la bouche endolorie de l'avoir sucé.
Mon bas ventre s'humidifie et je me penche de nouveau sur le gourdin masculin si épais, pour l'avaler encore... savourant mon attitude et cette luxure autant que ce vit délicieusement trop gros.
Je l'aspire, je le... pompe... avec lenteur et envie.
Je prends mon temps, je savoure l'instant.
Nul ne me voit, nul ne sait le plaisir que je prends à effectuer cette fellation à mon amant, alors que mon mari est tout à côté de moi.
Mon amant... son patron...
Je désembouche son engin, je l'admire, luisant de ma salive.
Mes lèvres intimes ne cessent de se contracter et de détendre alternativement.
Mon sexe est humide, je peux même dire... trempé.
Folle, j'enjambe mon... étalon... pour venir poser ma fente entrouverte sur son membre vigoureux.
Ma courte toison blonde frotte son entrejambe.
Je guide son sexe en moi.
Un petit cri m'échappe.
Son gland est large et son intrusion dans mon abricot me fait grimacer.
Je suis assise sur lui.
Quelle folie m'habite ?
Son vit à peine entré en moi, déjà son bout me donne envie de gémir.
Je ne devrais pas... c'est immoral... doublement.
D'une part je suis une femme mariée et cet homme... n'est pas mon mari...
D'autre part je suis en train de le violer...
Hoooo...
Je me cambre.
Je me mords les lèvres pour ne pas être bruyante.
Son manche large coulisse en moi.
Mon vagin l'avale peu a peu.
Son sexe est trop imposant et ma dentelle intime est comprimée, ma vulve se dilate plus que de raison, et je coule... je fonds... je suis terrassée par un orgasme imprévu.
Empalée sur son vit, je tremble, victime de ma jouissance.
Un petit gémissement m'échappe.
Puis un autre.
Son pieu raide me tourmente.
Je me retiens de crier et mon corps se tortille, provoquant des mouvements oscillatoires qui me ravagent l'intimité.
J'ai le corps tendu...
Emmanchée sur un gourdin dur et inflexible qui me perce.
Mes muscles se relâchent et je viens glisser sur lui.
Une sensation intense...
Mes cuisses ne tiennent plus et je coulisse autour du sexe large.
Incapable de me retenir la grosseur progresse dans mon ventre, rempli ma matrice.
Mes muqueuses intimes sont massées de l'intérieur.
Ma vagin semble se rendre, s'avouer vaincu et accepter la progression implacable de l'envahisseur viril.
Je râle...
Penchée sur l'homme dont j'utilise la verge pour satisfaire mes basses envies.
Je couine doucement alors que mon sexe est liquide.
Mon souffle revient lentement.
Je me redresse et la trique masculine quitte ma fente.
Je suis ouverte du bas ventre.
Mon petit abricot totalement béant ne semble plus pouvoir se refermer.
Je me couche alors contre le corps musclé de l'homme qui vient de me donner du plaisir.
Ma main caresse le pieu sale, couvert de ma cyprine.
Il y a quelques temps j'aurais trouvé cela dégoutant, sale.
Aujourd'hui, cette nuit, je suis heureuse, et sa verge souillée me parait belle, attirante.
Mon amant...
Mon... hooo... un mot me vient mais je n'ose me l'avouer.
Ma joue contre son ventre je continue de masser, de flatter son gros sexe encore dur.
Je me rapproche un tout petit peu et je tire ma langue.
J'effleure son méat.
Je ferme les yeux.
Il a un gout de sexe... très prononcé... je lèche sa fente d'homme, recueillant mon sirop.
Je le masturbe... j'ai honte... j'en ai envie.
Ma langue passe sur le pourpre de son casque de verge.
J'accélère.
Ma bouche s'ouvre lorsque je sens son membre palpiter.
Ses jets sont chauds.
Le premier me macule le front et la joue.
Son foutre gluant me gicle sur le visage.
Entre mes doigts je sens son sexe se gorger, expulser, se charger de nouveau...
Yeux toujours clos je ne peux qu'imaginer la scène... et j'en tire un coupable plaisir.
Une belle rasade de sperme m'atterrit dans la bouche que j'ai gardée grande ouverte.
Je l'avale.
Hummm... ce liquide épais au gout si sensuel... si sexuel... si animal... me plait de plus en plus.
Ma bouche fermée pour ingurgiter, je suis surprise par une nouvelle arrivée de jus blanc qui s'étale sur ma bouche, mon menton et mon nez.
Son suc coule et je ne peux que lécher pour en gouter le plus possible.
La tête posée sur son ventre, il se vide sur moi.
J'avale le plus que je peux tout en le masturbant continuellement, de petites pressions tout le long de sa tige pour le faire jaillir vers ma bouche de nouveau désireuse de recevoir son offrande.
Son nectar me coule dans la gorge, chaud, onctueux.
Il cesse de se répandre après quelques jets plus courts.
Je relâche alors doucement son sexe.
Mes doigts flattent ses bourses... vidées.
J'ai le visage couvert de sperme... Entre ma joue et son corps, lorsque je bouge, un léger bruit de succion se fait entendre.
J'ouvre les yeux, assouvie de corps et d'esprit.
Je suis tétanisée.
Marc me regarde.
Je ne vois que ses yeux briller dans le noir.
Nous restons ainsi... quelques instants... face à face...
Puis il tourne le regard, baisse la tête et se recouche.
Les contours de son visage disparaissant.
Seul mon... amant désormais visible.
Mon mari s'est allongé au pied du lit comme... perdu.
Mon cœur bat la chamade.
Je me fais honte.
La main de mon amant me caresse la nuque.
Marc a accepté, il a baissé les bras.
Il sait que je ne suis plus à lui déjà.
Je me blottis contre mon amant.
"Tu as été parfaite ma petite poupée en chaleur" me murmure cet homme que je viens de chevaucher comme dans un rêve.
Depuis combien de temps est-il éveillé ?
Hooo....

A suivre...

Mar 22 jui 2014 Aucun commentaire