Le blog de M.

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A genoux dans notre salon, devant mon mari et son patron, je perds mes repères.
Mon amant, son directeur, vient de me caresser, de me mettre nue.
Marc laisse faire, impressionné et intimidé par cet homme si masculin, si sur de lui.
Je suis nue et devant mes yeux oscille le balancier d'un sexe d'une largeur incroyable, d'une beauté animale.
Mon vagin est trempé.
Je ne comprends pas encore comment une telle situation à pu nous arriver, mais les faits sont là, j'ai envie du sexe d'un autre que mon époux, et je suis excitée par le fait qu'il me voit faire avec son patron qui m'envoute.
Marc ne pipe pas un mot.
Cette réflexion me fait sourire.
Aussitôt ce mâle alpha me pose sa main sur les cheveux.
Ses doigts dans la blondeur de mes mèches me massent le cuir chevelu.
Il frotte son sexe à mon visage fin.
Sa chaleur est comme un tison qui me rend encore plus ardente.
Il appuie sur ma tête et il force mes lèvres devant Marc qui lui offre un verre.
Je gobe le gros bout pourpre, lisse.
Il sirote et commente mes actes de façon perverse.
Je suis obligée de m'enfoncer sa verge plus loin et de le sucer devant mon mari.
Mes lèvres outragées par la verge que j'ai pourtant déjà prise en bouche, je n'en reviens pas de cette situation de débauche et du plaisir intense que j'y prends.
Je m'aperçois qu'il ne m'oblige plus et que je continue de le prendre goulument en bouche.
"Suce petite salope" dit-il sans se soucier de la présence de mon mari, à moins qu'il ne se rende compte que cela m'excite encore plus.
Je...
J'obéis.
Totalement à lui.
Je le gobe au plus profonde que je le peux, faisant s'enrouler ma langue autour de sa verge chaude, allant même jusqu'à faire racler son gland contre le fond de ma gorge, prête à régurgiter.
Lorsqu'il m'autorise à cesser de le pomper, j'ai les mâchoires fatiguées, les lèvres rougies et le souffle court.
Mes seins pointent comme des obus.
Mon sexe est gluant de mouille.
Je suis en chaleur !
Il me place à quatre pattes sur le sol, le visage vers Marc.
Je croise son regard.
Il est triste... je le vois dans son attitude... sa femme lui échappe et il doit en être malheureux.
Je crie lorsque son patron me perce de son gros dard.
Mon sexe se fait prendre par ce gourdin conséquent qui me donne l'impression d'être ouverte en deux.
Je me fais saillir par un autre, devant mon mari, et je m'entends nettement murmurer "oui... oui".
Mes doigts se crispent sur le tapis alors que je subis avec plaisir les coups de reins qui me parcourent la matrice.
Je ne suis plus que gémissements... liquide... soumise aux désirs obscènes de mon amant.
J'accepte son manche épais, si gros en comparaison de celui de Marc.
Mes fesses claquent lorsque le pubis vient se poser tout contre elle, son pénis totalement fourré dans mon sexe béant et dégoulinant.
Je m'abandonne... incapable de savoir combien de temps dure cette possession.
Prise à même le sol, je feule, mes hanches ondulent, accompagnent les vas et vient qui m'arrachent gémissement sur gémissement.
Ma jouissance arrive comme une lame de fond sournoise.
Haletante je subis encore les mouvements du gros sexe qui me pilonne, ma matrice inondée par les vagues successives de mon orgasme pendant lequel j'ai abandonné tout repère et toute dignité.
Mon amant se retire et je grogne, mon bas ventre est en manque.
Mes lèvres pendent, trempées.
Ma courte toison blonde est salie.
Je dégouline de cyprine et mon jus goute au sol.
La main ferme et perverse du patron de Marc me caresse les fesses.
Il m'est impossible de ne pas réagir lorsqu'il enfonce deux de ses doigts dans ma fente outragée.
Il touille, il me masturbe le vagin en s'attardant sur mes petites lèvres intérieures.
Un bruit de marécage qui reflète l'état de mon intimité se fait clairement entendre.
Marc regarde sa femme... moi... se faire fouiller.
Mon amant s'en amuse.
Il joue de notre couple... banal...
Comme s'il lisait mes pensées sa voix résonne et grave mon esprit.
"Ta femme est une merveille, une perle rare".
Hooo...
J'ai honte.
Le gros sexe se présente de nouveau à l'entrée de mon sexe.
Il m'enfile presque sans effort.
Sa largeur me surprend de nouveau, comme à chaque fois, et je lâche un petit cri.
Il entame de nouveau une sarabande empreinte de luxure.
Je tombe sur les avant bras, incapable de supporter plus les coups de butoir qu'il m'assène.
Je me cambre, impudique, honteuse...
"Tu vois mon petit Marc comme elle est à moi... "
Nos corps ondulent à l'unisson.
Le plaisir remonte très vite.
Telle une poupée fragile je perds mes repères dans les bras musclés de cet homme si viril.
Il me bascule et je viens sur lui.
Il est allongé au sol.
Je me retrouve accroupie au dessus de ce corps de mâle.
Son sexe empale le mien.
Je glisse sur lui, grimaçant de bonheur lorsque son manche large me remplit le ventre.
Mon sexe ouvert pour accepter le sien.
"Monte et descend sur ma belle queue".
Je le fais, obéissante en couinant, parcourue dans mes plus intimes replis, oubliant mon mari, je transpire et je ne suis que sensations divines.
Et ces mots osés que Marc n'a jamais prononcé... j'en rougis... j'en coule.
"Une vraie chienne en chaleur..."
Je me cambre.
"Tu pointes des tétons ma belle salope... continue..."
Je suis assise sur lui.
Il n'a plus besoin de me guider, mon corps lui aspire le membre trop gros, je le pompe à l'aide de mon vagin, découvrant des plaisirs inédits.
Il me caresse les seins en même temps.
"On dirait une vraie pute comme ça. j'aime ça. Tu es splendide ma cochonne".
Je me libère de nouveau d'un orgasme rapide.
Mon corps se tend.
Je pousse un râle.
Et je m'affale sur mon amant, devant les yeux de Marc.
J'entends Marc obéir lorsqu'il lui demande d'aller nous chercher un café.
Je reprends mon souffle, déposant un baiser sur le torse de celui qui vient de me faire chavirer par deux fois.
Le café arrive et mon étalon me repousse pour le boire, assis sur le canapé.
Il me prends les cheveux et me guide vers son entrejambe encore tendu tout en entamant une discussion de travail avec mon mari... cocu... qui accepte sa condition et ne peut pas s'y opposer.
Je crois rêver.
Son vit me pénètre les lèvres.
Couvert de mon jus, jamais je n'aurais cru pouvoir accepter de faire une fellation à un sexe... sale, dégoutant de sécrétion intime.
Et pourtant... il ne me force pas, je le pompe sans y être contrainte.
Je m'applique, je prends mon temps pour lui donner le maximum de plaisir.
Je rougis lorsqu'il dit à Marc d'admirer comme je suce bien.
Je l'avale goulument, encouragée par ses flatteries.
"Reste le cul cambré".
J'obéis, n'osant faire autrement.
J'expose mon arrière train.
"Et écarte les cuisses bien largement. Comme une pute".
Il sait qu'il nous choque.
Ces mots crus... m'échauffent.
Et je me donne à lui, je lui prouve que je suis à lui.
Mes cuisses s'ouvrent doucement, le compas de plus en plus largement écarté.
... "comme une pute"... oui... des mots qui restent gravés dans mon esprit, dans mon âme : je suis SA pute.
Je le suce lentement, avec ferveur.
Sa main me palpe le sexe, son pouce effleure mon œil étroit.
Hummmm... La délicieuse sensation de ses doigts qui entrent dans ma vulve meurtrie, de son sexe raide et chaud que je fais coulisser entre mes lèvres.
Il palpite.
J'accepte...
Marc me voit pour la première fois...
Mes joues se remplissent de foutre.
Le sperme de mon... male dominant... me gicle au fond de la gorge.
J'en ai plein la bouche.
Je salive, je bave de sperme.
Et il me relève le visage.
Le long de mes joues coule le jus blanc.
Sur mon menton, ce nectar d'homme forme une larme obscène.
"Avale... ma petite pute".
Je regarde le visage radieux de cet homme si sur de lui.
Je déglutis.
Son sirop me coule dans la gorge comme un nectar.
Marc pousse un petit gémissement plaintif.
Il sait qu'il m'a perdu. Son cocufiage est consommé et même au delà.
Je passe ma langue sur mes lèvres et je me colle au bas ventre de mon... de cet homme... souriante, la tête sur ses cuisses pour me pelotonner contre lui.
Son patron me caresse les cheveux.
Il est assouvi.
Je suis contre lui, tout contre, heureuse.
Nous regardons mon mari, désorienté.
"Marc. Tu vas chercher un matelas ? Pour que tu dormes à côté de nous."
Je ferme les yeux, entre honte, peur et début d'orgasme.

A suivre...

Mar 15 jui 2014 Aucun commentaire