Le blog de M.
[...]
Un mois s'est écoulé depuis mon incartade.
Mon mari ne sait pas.
Je lui cache que son patron m'a... possédé.
J'en ai trop honte, jamais je ne pourrais lui avouer et m'avouer ce manquement moral à ma fidélité.
Marc est si doux, si tendre... alors que son patron est si...
Hooo je rougis rien qu'en repensant aux mots osés qu'il m'a dit et aux positions qu'il m'a fait prendre.
Mon sexe, lui, a apprécié et il en vibre encore à ce simple souvenir.
Depuis Marc a eu une augmentation, une promotion.
Sans aucune raison particulière je me garde bien de lui dire le fond de ma pensée.
Il est parti depuis 2 jours car désormais son emploi l'emmène à se déplacer et découcher.
Je suis donc seule avec ma fille, devant mon café matinal.
Elle englouti un bol de lait avant de reprendre part à ses révisions.
La sonnette retentit.
Céline se lève d'un bon et va ouvrir.
Je l'entends dire "oui, entrez donc".
Dans l'embrasure de la porte se profile le patron de Marc.
Je deviens rouge et je me sens trembler.
D'un mouvement un peu maladroit, je ressers ma robe de chambre de satin sur ma nuisette.
Je me lève avec peine et lui serre la main.
Ma fille me regarde étrangement avant de s'éclipser vers sa chambre.
"Votre fille ?"
J'acquiesce en hochant la tête.
"Charmante... Quel âge ?"
Je sursaute.
Sa voix me perce comme une aiguille chauffée à blanc.
"21 ans..."
Il la regarde s'éloigner.
"Très intéressant..." fait-il en caressant son menton, le regard accroché dans la direction de ma fille.
"Que venez-vous faire ici ?" parviens-je à articuler, une fois la surprise passée, pour changer de sujet.
Il pose un doigt sur le tour du bol de lait de Céline avec un petit sourire.
"Marc a du oublier quelque chose ici. Avec ses nouvelles fonctions qui le font s'éloigner de chez lui et du bureau, je suis bien obligé de venir palier à ses
manques".
Le son chaud et profond, grave, de sa voix me fait tressaillir.
Les sous-entendus sont nombreux et ils m'échauffent le bas ventre.
Est-ce moi qui donne un sens particulier à cette réponse ou bien Est-ce lui qui est habile dans le choix de ses mots ?
Je cherche à conserver une certaine contenance.
Ses yeux se sont posés sur ma poitrine.
Je découvre que mes seins ont gonflés, que mes tétons sont très visibles par les déformations qu'ils marquent à la robe de chambre, trop fine.
"Vous... vous voulez voir dans son bureau si vous trouvez ce que vous cherchez ?" Fais-je en me tournant pour ne pas lui présenter les témoins de mon
émotion.
Je suis morte de honte.
"Je vous suis".
Il doit voir mes hanches se balancer, mes jambes seulement couvertes jusqu'à mi cuisses, mes pieds dans des petits chaussons roses.
Je me sens ridicule.
J'essaie d'entraver le balancement de mes fesses mais j'ai l'impression de l'accentuer.
"Superbe" commente t-il en m'emboitant le pas.
Mes nymphes deviennent humides, je le sens à chaque pas.
Un petit bruit de succion me semble résonner aussi fort qu'un torrent de montagne.
Nous entrons dans la salle à manger où Marc a un espace bureau.
Il me pose alors les deux mains sur les hanches.
Et sa bouche vient embrasser mon cou.
Hooo... non... je revis la même scène... je veux me refuser mais mon séant se cambre insidieusement.
Il me mordille la nuque avant de me retourner face à lui à l'aide de ses mains puissantes.
Les fesses sur le bureau de mon mari je déglutis avec peine.
Son patron me serre, ses jambes collées aux miennes.
Ses doigts s'agitent en caresses.
Son odeur de mâle m'excite les narines.
Il remonte une main très lentement sur un de mes seins.
Il le presse doucement dans un crissement léger de satin.
Son sourire me fait tourner le visage.
Mon corps reste immobile.
Sa seconde main se place elle aussi en coupe autour de ma poitrine.
Il me malaxe avec une dextérité que j'imagine acquise avec beaucoup d'expérience.
Je gémis.
"Non... Pas ça. Pas ici... ma fille pourrait..." je me mords la lèvre inférieure pour ne pas crier.
Il est venu se placer entre mes jambes.
Mes cuisses se sont écartées, dévoilées.
Ses doigts roulent sur mes tétons visibles, il me les saisis et les fait tourner.
La double couche de satin les irrite, les fait rougir.
Je lâche un soupir impudique.
"Haaaan...."
Mes jambes s'ouvrent sous un réflexe de sensualité.
"Béatrice, décidemment vos refus sonnent comme des demandes très coquines".
Je voudrais tellement qu'il me laisse... autant que je voudrais qu'il... me prenne tout de suite, là, sur le bureau de Marc.
Mes pensées se télescopent.
Je ne me contrôle qu'avec peine.
D'un geste coulé, il tire sur le nœud de la ceinture qui me resserre la taille.
Il dénoue ma robe de chambre.
Elle s'ouvre, elle s'écarte sur ma nuisette.
"Un cadeau de Marc ?"
Je deviens aussi écarlate qu'un coquelicot.
"Elle vous met en valeur" fait-il en soupesant un de mes seins de sa main chaleureuse.
Ses doigts flirtent sur mes épaules, et font glisser les attaches de ma nuisette.
Les fines bretelles tombent à bas et ma poitrine est bien visible, la vallée sombre de ma peau pâle attire sa bouche.
Penché sur moi il dépose de doux baisers gourmands sur mes globes qui se tendent encore plus.
Je pousse un petit gémissement.
Il dénude un sein, la bretelle tombe sur mon bras.
Et sa bouche... hummm... m'embrasse... effleure mon mamelon... suce mon téton.
Un cri rauque m'échappe.
Il aspire ma tétine et la fait se distendre dans sa bouche.
Du bout de la langue il titille ma pointe, ses doigts appuient et mon sein est malaxé, pétri, tiré vers l'avant jusqu'à faire grossir mon auréole.
Il me bascule sur le bureau...
Le bureau... de mon époux...
Le bas de ma nuisette remonte sur mon ventre.
Mon intimité offerte à son regard.
Ma toison blonde est humide.
Ses mots crus me font frémir, rougir... désirer.
"Ta petite chatte est toute mouillée ma coquine".
Je ne veux pas y croire.
Sa bouche se pose alors sur mon sexe.
Il embrasse mon abricot dans un bruit totalement obscène.
Sa langue s'enfonce entre mes lèvres brunes, ruisselantes.
Il aspire et je l'entends boire mes écoulements de plaisir.
Son muscle agile tourne et me fouille la vulve.
Cet homme sait y faire avec une femme et lorsqu'il suçote mon clitoris, je ne peux m'empêcher de pousser des petits gémissements de plus en plus longs et
bruyants.
Il est gourmand, il est vorace.
Sa bouche plaquée à moi me colle telle une sangsue sensuelle.
Je crispe mes doigts dans ses cheveux et lâche un cri lorsqu'il me fait jouir sous les actions coupables de sa langue.
"Haaaa ouiii ! Ouiiiii !"
Ses mains sur l'intérieur de mes cuisses, ses doigts viennent de part et d'autre de ma fente, il m'ouvre en deux, écarte mes muqueuses jusqu'à dévoiler
l'intégralité de mon sexe.
Je coule en abondance.
Je me sens perdue... livrée à son regard... offerte à ses doigts inquisiteurs... soumise à la jouissance qu'il me donne.
Il remonte alors entre mes cuisses et déboutonne son pantalon.
Je respire avec peine.
Son sexe se pose sur ma cuisse.
Essoufflée, je tente de le repousser d'un faible mouvement de mains, mais il a déjà enfoncé son gland rond dans mon intimité.
Je grimace.
Aussitôt après cet orgasme qui vient de me couper les jambes, je suis hyper sensible...
Alors, lorsqu'il s'enfonce en moi, je pousse un râle et je m'effondre, allongée sur le dos sur le bureau de Marc.
Il empoigne mes jambes et m'attire vers lui.
Sa large hampe de chair me transperce.
Ma bouche grande ouverte, incapable d'émettre le moindre son, je subis un aller et retour qui me force profondément.
"Hannnnnn !!! Non... pas.... haaaaaann !"
Ses va et vient me donnent l'impression d'être littéralement prise par un sexe de taille monstrueuse qui me défonce le vagin.
Le plaisir croit, enfle, me fait trembler.
Il me fourre son pieu de chair, me l'enfonce jusqu'à la garde et me fait pousser des gémissements, des cris sans retenue.
Je le sens me triturer les seins, me donner des petites pichenettes sur les tétons.
Tout ceci me rend folle.
Mais ses mots... crus... me font fondre.
Ce sont des murmures si osés et pourtant si érotiques que je les accueille comme des délices sucrés salés.
Je m'offre alors totalement, je bascule mon bassin vers lui, j'accroche ses avants bras pour qu'il accentue sa saillie.
Je me sens... femme... désirée... sexuellement désirée.
Ma gorge devient sèche, ma vulve se contracte autour du manche raide qui me parcourt sans relâche.
Les orgasmes s'enchainent.
J'ai les yeux grands ouverts, le regard dans le vide...
Son foutre chaud se répand en moi.
Je l'accueille sans le repousser.
Il gicle dans ma matrice et sans cesser ses ondulations, nos sirops se mélangent, dégoulinent sur mes fesses et mes cuisses.
Quand il ressort son pal, la sensation de vide est atroce, je voudrais le retenir.
S'il savait... il pourrait m'avoir à lui, totalement en cet instant.
"Ma belle petite cochonne" sourit-il en me caressant le sexe.
Je suis ouverte, béante, souillée, et je me laisse caresser.
Il étale le jus gluant sur ma toison.
Ce "ma" me fait un effet fou.
Oui je suis à lui. Je suis Sa chose... sa coch.... hoooo c'est tellement incroyable.
Je referme difficilement mes cuisses, mon sexe est en feu, douloureux.
Il remonte son pantalon.
Je jette un œil discret sur son entrejambe, sa verge épaisse qui dodeline, son pubis et ses bourses glabres. Autant de nouveautés qui me donnent le
tournis.
Je me rajuste et me relève.
Il prend un petit dossier tombé du bureau dans nos ébats.
"Ce dossier devrait me satisfaire, pour le moment".
J'ai baissé les yeux pour ne pas croiser son regard métallique.
Le bureau de Marc est en désordre.
Je le raccompagne jusqu'à la porte sans un mot.
"A bientôt, très bientôt, charmante Béatrice" fait-il en déposant un baiser sur mon front.
Je referme précipitamment derrière lui.
Adossée à l'entrée je me sens apaiser, Marc n'est pas là... il n'en saura rien.
Je découvre alors que ma fille me dévisage.
Les larmes me montent aux yeux.
"Maman... la prochaine fois, tu pourrais faire moins de bruit ? Et puis préviens-moi, j'irais faire un tour avec la voiture." fait-elle en souriant.
Mes joues sont carmins, cramoisies de honte.
Une douche me fera le plus grand bien... sauf si le jet redouble mes désirs.
A suivre...