Le blog de M.

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Son studio lui semblait vide.
En partant elle s'était retournée vers lui, avait déposé ses lèvres sur les siennes puis, d'un pas lent, ses hanches ondulantes, elle lui avait lancé un dernier clin d'œil.
Dans son long manteau, elle était partie avec la classe qu'une femme de 40 ans peut avoir.
Ce long manteau sans rien au dessous que ses bas.
Il en rougit instantanément rien qu'en y repensant.
Et cette dernière phrase qu'elle lui a murmuré à l'oreille sur son palier... "Tu m'as bien défoncé... A bientôt bébé".
Son sexe se durcit.
Un vrai rêve que cette nuit avec la femme la plus sensuelle et obscène qu'il ait eu l'occasion d'avoir pour lui.
Et quelle femme ! Celle dont il a eu si souvent l'envie dans les 10 dernières années, celle qu'il a si souvent fait tourner dans les films pornographiques de ses fantasmes solitaires.
Celle qui vennait de se donner à lui... totalement.
"Manque moi de respect" lui avait-elle dit.
Ho oui, il avait été irrévérencieux comme il ne se serait jamais senti de l'être autant.
Les souvenirs lui revenaient.
La fessée fut le premier geste osé qu'il a eu.
Il faut dire qu'elle s'était mise à 4 pattes et qu'elle lui tendait sa croupe.
Elle avait poussé un petit cri tout de suite suivi d'un grognement de plaisir où il avait entendu "hoo ouiii encore".
A la deuxième fessée sur ce cul somptueux, il bandait comme un cerf.
Il avait alors posé son gland sur la fente largement ouverte de la femme.
Et d'une poussée il l'avait enfilée.
Elle avait gémit.
Il l'avait ensuite assaillit de coups de reins, la perçant durement, de façon mécanique, rapide.
Elle criait alors que son gland tapait au fond de son vagin, dégoulinante de cyprine.
Ses mains caressaient ce cul rond et doux.
Il l'entendait encore lui dire de la prendre plus fort, bien au fond, comme une chienne.
Et lui... excité, sur excité... lui avait obéit sans aucun effort.
Il l'avait défoncé sur le lit jusqu'à ce qu'elle finisse sur le sol de sa chambre.
Là il voyait encore ses mains de femme, son alliance qui brillait, poser sur les globes blancs et écarter ses fesses, totalement, comme en offrande, comme un appel.
Il avait craché dans sa raie grande ouverte.
Il l'avait vu dans une vidéo.
Elle roucoulait, visiblement satisfaite de ces pratiques qu'il pensait réservées à une certaine forme de cinéma... et de femmes.
Et il lui enfonça alors un doigt dans son anneau étroit.
Il en avait tellement envie.
EN ce moment même son sexe palpitait de désir à ce souvenir.
Elle gémissait et semblait soupirer autant de plaisir que de douleur dans les premiers instants.
Peu à peu elle s'activait autour de son doigt planté dans son fondement.
Il en introduisit un second et elle poussa un "haaaa ouiiii !" qui le surprit.
Ses mains s'emparant de ses hanches, il la perça alors de son sexe, enfonçant son anus pour une saillie contre nature.
Elle subissait avec plaisir.
Son esprit de mâle ne réfléchissait plus.
Il lui semblait qu'il était à ce moment  dissocié de son corps.
Il ramona cette femme jusqu'à l'entendre jouir, jusqu'à ce que ses doigts qui s'activaient sur son clitoris soient recouvert de mouille gluante.
C'était la première fois qu'il prenait une femme par cet endroit obscur et parvenait à la faire hurler comme cela.
Il inonda son conduit intime.
Son foutre dégoulinait sur ses fesses, sur ses cuisses...
Et elle haletait.
L'image de ces fesses écartées, l'anneau expulsant le foutre qu'il avait éjaculé en elle, et le visage souriant de sa muse lui donne envie de se caresser.
Pourtant ils ne s'étaient pas arrêtés là tous les deux.
Comme un couple d'amants elle l'avait prise en bouche pour le sucer jusqu'à le faire bander de nouveau.
Caressant ses bourses, tout en aspirant la tige.
Et lui n'était pas resté sans rien faire, léchant son sexe souillé.
Il 'avait découvert qu'il appréciait de passer sa bouche sur la fente trempée de cyprine et de sperme.
Elle ondulait à n'en plus pouvoir et ses orgasmes s'égrenaient comme des perles sur un boulier chinois.
En 69, ils se firent jouir de nouveau plus d'une fois.
Parfois elle s'asseyait sur lui et se frottait sur sa bouche.
Sa langue s'en souvenait encore, il en avait attrapé un mal délicieux et se souvenait de l'avoir lapé avec gourmandise, à chaque fois qu'il parlait car sa langue le lançait.
Son sexe et ses boules avaient été essorées, gobés, sucés, avalés, léchés, malaxés et même... il en avait honte... tapotées et il en avait éprouvé un plaisir inconnu.
Ses doigts s'étaient enfoncés dans chaque orifice de cette femme.
Et elle ne s'était pas privé pour lui enfoncer un doigt dans le cul.
Il avait crié mais l'avait accepté.
Là encore le désir était au rendez-vous.
Alors lorsqu'il lui avait mis 2 doigts de chaque main dans l'anus et qu'il avait littéralement ouvert son fondement, lui provoquant presque un orgasme rien qu'en la maintenant dans cette position crue, il n'avait pas hésité à lui fourrer 4 doigts... bientôt son pouce et pour finir sa main.
Pour la première fois, il enfonçait son poing dans l'anus d'une femme.
Pour la première fois elle lui avait dit qu'elle acceptait de se faire déchirer le fion... de se faire fister.
Elle était tellement béante qu'elle jouissait par secousses.
Tous deux n'en revenaient pas.
A peine avaient-ils atteint l'orgasme que lorsque leurs yeux se croisaient ils avaient encore envie l'un de l'autre.
Il la prit alors plus traditionnellement après ce manque de courtoisie évident.
Il se souvenait de ses bras souples autour de lui alors qu'elle lui chuchotait des mots fous pendant qu'il la besognait en missionnaire.
Jamais il n'aurait pensé que cette amie de sa mère était aussi chaude.
Ils avaient continués leurs ébats sous la douche, il avait oublié la différence d'âge, le fait qu'elle était mariée...
Il la baisait contre la paroi avec l'énergie de ses 25 ans.
Et elle lui projetait le jet de douche sur les couilles, sur la verge, pour la faire remonter.
Elle semblait affamée de sexe.
Et lui paraissait pouvoir la nourrir autant qu'elle le souhaitait.
Sur sa table de cuisine, les mains sur le mur, dos à la porte d'entrée, accroupie.... il la prenait dans toutes les positions, et toujours elle gémissait, elle coulait, dégoulinante de jus de femme... et d'homme.
Essoufflés.
Enlacés.
Elle lui avait avouée que pour ses 40 ans elle aurait aimé se faire offrir 4 verges en guise de bougies sur son gâteau.
Un "cadeau de femme" lui avait-elle dit.
Il l'avait alors chevauchée de plus belle, rendu ivre par cette image de voir sa muse entre plusieurs hommes.
Il éjacula sans prémices, aux simples souvenirs de ces moments intenses, gravés dans sa mémoire à tout jamais.
L'espoir qu'il ne se réveille pas était aussi fort que celui qu'il la revoit bientôt.

Elle s'était assise dans sa voiture.
Le bas ventre douloureux.
Il l'avait tellement prise qu'elle ne marchait qu'avec peine, boitant, son petit orifice encore entrouvert.
Elle soupira.
Le petit matin était nébuleux, gris.
Dans le silence de sa voiture elle sentait retomber l'extase.
Cette nuit avait été une des plus sensuelle de son existence.
Une odeur âpre et douce de sexe envahit bientôt l'habitacle.
Elle était souillée... un bain lui ferait le plus grand bien.
Sur le chemin de retour elle repensait à ce qu'elle avait osé faire, ce qu'elle avait pris plaisir à vivre.
Vivant, oui, elle était vivante car elle avait été femme.
Elle se souvenait des murmures de son jeune amant "Hoo Béatrice... j'aime te baiser..."
Le coquin était dévergondé.
Il avait une verge si longue, fine comme elle aimait, et il était si endurant, osant la pratiquer sans s'encombrer de politesse.
Fougueux étalon.
Bientôt docteur.
Il lui tardait de l'avoir pour médecin traitant.
Lorsqu'elle arriva chez elle, elle se rendit compte qu'elle mouillait encore.
Le trajet lui avait semblé court, peuplé d'images, de souvenirs, de murmures.
L'eau chaude du bain ne fit que raviver ses désirs.
Le creux de ses cuisses était en feu... "Tu es en chaleur" lui avait-il dit.
Oui... elle l'était... il la rendait folle.
Elle avait de nouveau envie de le sentir en elle.
Son doigt sentit le bouton gorgé de sang déjà sorti de son logement.
Dans l'onde, elle se fit jouir lentement en rêvant à cet homme... qui avait si souvent rêvé d'elle.
Le revoir...
Le revoir... hooo... ouiii...

A suivre...

Mer 2 avr 2014 Aucun commentaire