Le blog de M.

Comme de coutume, la pièce centrale de la villa était décorée de milles feux. Un sapin de grande taille resplendissait de guirlandes, de boules et de paillettes. Les enfants de la sœur de la maitresse de maison jouaient, énervés par la proximité de l'instant tant attendu. Le 24 décembre, c'était le moment qu'ils attendaient tous. Une quinzaine de personne avaient envahis la maison et la table était dressée.  noel.jpg Pour l'occasion Robin allait être déguisé en Père Noël pour le plaisir des plus petits. A l'étage il était en train de mettre son costume. Deux femmes étaient avec lui, sa patronne et amante, ainsi que la sœur de celle-ci. C'était cette dernière qui avait les deux plus jeunes enfants et elle tenait à ce que le costume soit impeccable. Si sa patronne était une femme d'une quarantaine d'année, aux formes sensuelles, sa sœur semblait en être l'opposé, masculine et sans intérêt à ses yeux d'homme. "Béatrice, tu n'oublie pas de bien poser la barbe... Regarde, essaie de bien rembourrer le manteau... Fais attention à sa montre..." Sous les directives de sa sœur, sa maitresse le palpait en discrétion, ne se privant pas pour masser ses fesses ou effleurer son sexe autant qu'elle le pouvait, en toute discrétion. Elle mettait du cœur à l'ouvrage pour que le costume de son jeune amant soit parfait. Il sentait sa verge se gonfler à chaque fois qu'elle avait un geste rapide, furtif, ciblé. "Je descends voir les enfants et préparer son arrivée." Elle ouvrit la porte et du rez-de-chaussée monta les cris et les rires des invités. La porte resta entrouverte. La femme de 10 ans son ainée posa alors franchement sa main fine sur le bas ventre de Robin. Elle massa doucement le paquet, ses doigts agiles se faufilant entre les jambes pour saisir les bourses alors que son pouce et la paume de sa main appuyait sur la verge qui déformait son boxer. "Madame... votre sœur pourrait revenir..." dit-il en soupirant. Elle lui fit un sourire et ses yeux brillèrent. "Et nous surprendre ? Hoo...  Dis donc... ce costume te fait de l'effet ? A moins que ce soit d'enfiler quelque chose ?" Sa voix était un velours onctueux qui lui donna instantanément chaud. Elle caressait la tige qu'elle sentait durcir. "Tu as une grosse crosse dis donc... Père Noël". "Vous n'y êtes pas pour rien Madame" fit-il en lui souriant et en écartant légèrement les jambes. Elle pressa plus bas, la paire qu'elle sentit rouler dans ses doigts. "Deux belles boules et une grosse guirlande... j'aime bien Noël et..." La porte se referma, elle interrompit sa phrase et son geste. Elle fit un petit écart pour s'éloigner de l'homme à tout faire de la maison. Un peu surprise par ce claquement qui pouvait signifier l'intrusion de quelqu'un dans la pièce. Elle fit mine d'épousseter le costume blanc et rouge. "Et bien maman, je vois que tu t'occupes bien de Robin" fit la nouvelle venue de sa voix légère. Coralie venait de rentrer. La jeune femme souriait. Il eu soudain très chaud. Ce costume devenait étouffant. Il avait autour de lui ses deux amantes. Depuis qu'elles étaient au courant qu'il couchait avec l'une et l'autre, il n'avait plus été en contact avec elles deux en même temps. Il appréhendait un peu cet instant. Cela faisait plus de deux mois que Coralie n'était pas revenue. "Ma chérie, lui répondit sa mère, je m'occupe toujours bien de Robin". La nouvelle arrivant vient aider sa mère à installer la hotte sur le dos de l'homme qu'elles se partageaient. Les cadeaux s'accumulaient dans le panier en osier. "Papa est complètement ivre, comme mon oncle et Marie..." dit la jeune femme d'un ton badin, presque blasée. "Heureusement que quelques uns restent ici pour la nuit et ne reprennent pas leurs voitures." poursuivit-elle. Sa main vint elle aussi se poser sur le membre raide de Robin. "Hooo... Monsieur le Père Noël... Vous êtes en forme. Moi, j'ai été très sage. J'aurais droit à un cadeau ?" Elle prit une attitude des plus innocentes. Une œillade de ses beaux yeux accompagnait une caresse de son vit. "Je pense que oui, si tu as été très sage" répondit Robin pour entrer dans le jeu. Elle ronronna telle une chatte en se rapprochant de l'homme qui l'avait initié aux jeux de la sensualité. "Pendant 2 mois il n'y a pas eu plus sage que moi... et j'ai bien travaillé". Il posa sa main sur l'épaule de Coralie. La peau fraiche de son cou l'électrisa. "Alors tu seras récompensée". Il caressait sa jeune amante qui inclinait son visage de plaisir, offrant sa gorge à la caresse. "Vous viendrez m'apporter mon cadeau, dans ma chambre... à minuit ?" Il lui sourit et lui susurra un "bien sur". La voix plus suave et plus capiteuse de sa mère se murmura à son oreille. "Moi, j'ai été très vilaine. Est-ce que le Père Fouettard va ma donner la fessée ?". Elle posa de nouveau sur sa verge sa main qui ne l'avait lâchée que le temps de l'arrivée de Coralie. Mère et fille lui caressaient le sexe au travers du pantalon noir, inconfortable, qui constituait son déguisement. Il avait une trique douloureuse. Elles le massaient avec précision et amplitude. Leurs deux mains lui arrachèrent un soupir, suivi d'un gémissement alors que les deux félines se frottaient à lui, chacune de son côté, doigts contre doigts, palpant et cherchant à se saisir de sa verge chacune leur tour.  "Mesdames, je ne suis qu'un seul Père Noël... mais je vais m'efforcer de vous satisfaire toutes les deux." Il avait envie de chacun d'elles pour des raisons différentes, pour des plaisirs distincts. L'une comme l'autre l'envoutait. "Humm oui Robin... efforce-toi, et... force-moi" lui murmura la plus experte. Coralie lui lança un large sourire et retira sa main. "Moi aussi j'aurai un cadeau pour toi." Lui dit-elle avant de se retourner vers la porte pour l'ouvrir. Il admirait ses courbes et le galbe de ses seins qu'un chemisier a paillettes rendait encore plus attirant qu'à l'habitude. Elle lui fit un dernier clin d'œil avant de redescendre rejoindre sa famille. Une main se posa sur ses fesses une fois la jeune femme sortie. "Moi, ton cadeau, tu le prendras... comme tu le voudras... comme le Père Fessard le souhaitera" lui sussura la maitresse de maison, ses dents attrapant son lobe d'oreille pour une petite morsure douce. Il l'observa... sa poitrine orgueilleuse se soulevait sous le coup de son excitation, sa jupe attirait ses yeux et ses mains. Il devinait des bas et des porte-jarretelles. Son envie d'elle, ses envies d'elles, grimpèrent d'un cran. Elle cambra ses reins, offrant ses fesses... il vint y déposer la paume de sa main. Elle émit un gémissement alors qu'il glissait sous l'auguste fessier pour en mesurer la douce ampleur. Il bandait... il voulait la prendre, là, toute suite. "Très très vilaine..." minauda t-elle avant de se dérober à sa main et passer à son tour la porte. Il resta seul, harnaché, déguisé... et excité. Ses pensées allaient de Coralie à Béatrice... de la fille à la mère... Il secoua la tête pour reprendre ses esprits. Avant la bagatelle, il devait néanmoins jouer son rôle de gentil Père Noël. Il n'était pas l'heure mais les lumières s'éteignirent, c'était le signal. Il attendit quelques minutes avant de faire son apparition, dans la pièce seulement éclairée par quelques grandes bougies, sous les cris et les applaudissements des enfants. Il sortit de sa hotte des paquets scintillant et les yeux des enfants s'émerveillèrent. Il y avait quelques cadeaux que les adultes lui avaient donné pour qu'il les distribue par la même occasion. Coralie lui glissa un baiser sur la joue lorsqu'il lui remit le paquet que ses parents lui offraient. Un bisou innocent... Il acheva sa distribution et s'éclipsa en remontant à l'étage. Caché dans la chambre de la jeune femme il attendit patiemment. La cadeau qu'il lui réservait n'avait pas cessé de palpiter entre ses jambes. A suivre...
Mar 17 déc 2013 Aucun commentaire