Le blog de M.
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Coralie se tourna pour faire face à Robin. Il la dévorait des yeux. Elle sentit son regard mâle sur elle, empreint de convoitise, de désirs contenus, de respect... Son cœur battait la chamade. Dans sa chambre, dans son domaine, là où il l'avait initiée aux plaisirs de la chair, elle le tenait par la main et ne le lâcha qu'à regret. Elle posa ses doigts sur les bretelles de sa nuisette de soie. Sa respiration forte faisait tendre le tissu par sa petite poitrine dont les tétons étaient deux mines de crayons douloureux de désirs. Dans la vallée de ses seins se faisait ressentir le filet de salive qu'elle avait laissé s'échapper alors qu'elle subissait son désir dans sa bouche. Ses cuisses frottaient l'une contre l'autre. Il était nu, son sabre tendu vers le ciel, luisant de la salive qu'elle avait déposée tout au long de l'épaisse tige. Avec lenteur elle fit glisser les bretelles sur ses épaules. Peu a peu elle sentit le tissu la quitter. Lorsqu'elle lâcha prise, sa nuisette se faufila au sol, sur ses chevilles, serpentant, prenant un temps pour laisser sa poitrine apparaitre... découvrant son sexe lisse simplement surmonté d'une fine zone pileuse, rase, en haut de sa fente. Son bas ventre gorgé d'envie, le son du tissu sur sa peau, la dévoilant à son amant, lui fit l'effet d'un decrescendo de saxophone au lointain. Elle ne pouvait pas cacher l'humidité nettement visible sur le pourtour de ses lèvres intimes. Face à lui, nue, elle ressemblait à une apparition divine. Son corps aux courbes douces était un appel à Aphrodite. Elle passa son pied par dessus sa nuisette qui n'était plus qu'un petit tas sur le plancher. Il admirait cette offrande qu'elle lui faisait. Elle se donnait à lui et il en ressentit un profond sentiment d'amour. Ses petits seins bien ronds appelaient ses mains. Il n'osait pas l'effleurer de peur de casser ce moment d'entre les temps, se contentant de la contempler. Ses hanches ondulèrent lorsqu'elle fit un pas vers lui. Il posa les yeux sur son abricot. Il n'avait qu'une seule envie : le déguster... Son membre viril était un gourdin d'acier qui pulsait d'envie de le posséder... de la posséder ! Il avança vers elle en lui souriant. Ce sourire la faisait chavirer. Un brin coquin, sensuel, masculin et assuré... sa bouche appelait un baiser. Elle le laissa s'approcher, n'osant plus bouger. Il fut si proche d'elle bientôt, que la chaleur de sa peau se ressenti sur son corps malgré la fusion qui l'animait. Elle ne se lassait pas d'observer le moindre de ses gestes. Avec un soupir de contentement, elle accepta la main qu'il posa sur le haut de sa poitrine. Ses doigts étaient doux et durs, ses gestes lents et précis. Sous la caresse qu'il effectuait sur sa peau, elle bomba doucement le torse pour s'offrir aux mains de son amant. Il caressait les flans de son sein qui se redressait. Elle lui sourit. Ses dents blanches, son petit air mutin, elle l'envoutait littéralement. Sa main vint s'emparer lentement, peu à peu, du globe doux et plein que formait son sein gauche. A pleine paume il le soupesa. Petit, léger, ferme, il le palpa pour le sentir frémir, durcir. Son sexe se tendait par à-coups tellement il avait envie d'elle. Il appréciait ce moment et le fit durer avant de poser sa main sur le second sein. Avec une délicatesse que ses mains larges ne semblaient pas rendre possible, il massait la poitrine de Coralie, son amante, la fille de sa patronne... si belle... si fraiche du haut de ses 25 printemps... Elle émit un léger gémissement. Il tournait autour des tétons, excitant les mamelons bruns aux quelques aspérités arrondies qui entouraient le téton raide. Lorsqu'il pose son index sur les deux pointes pour les frotter, elle avança imperceptiblement les hanches... sensible... Il agita les tétines et les fit aller de droite et de gauche au moyen de ses doigts, ses mains continuant de presser les splendides bols pâles. Ses seins étaient à sa disposition. Il emprisonna ses protubérances entre pouce et index et les fit rouler. Elle se sentait onduler sous les gestes précis et habiles. Il tira doucement et ses petites mamelles se tendirent vers le haut. Elle gémissait... de bonheur... Entre ses mains elle se laissait totalement aller. Sa bouche entrouverte, les yeux mi-clos... elle s'abandonnait au plaisir. Il inclina son visage carré et vint poser sa bouche sur un mamelon. Elle crut défaillir, il la tétait, les yeux rivés sur elle. Sa bouche aspirait la tétine qui, il lui semblait bien, grossissait encore. Tout en le malaxant il continua ses succions gourmandes. L'une de ses mains vint glisser sur son ventre pour toucher le haut de sa fente. Elle poussa un petit râle. "Haa... oui..." Il caressait la fissure luisante de bas en haut. Lisses, ses lèvres s'écartaient sous les doigts agiles. Elle grogna et crut ses jambes la trahir lorsqu'il s'enfonça en elle à la recherche de son clitoris. Il ne fut pas long à faire saillir le bonbon de son logement et le triturer délicatement en tous sens. Avec une lenteur extrême il la masturbait. Elle avait du mal à se tenir droite, debout dans sa chambre, nue, les seins et le sexe malmenés par un Robin charnel. Lorsqu'il posa une main sur ses fesses et la fit basculer sur son lit, s'allonger, elle ouvrit les cuisses en guise d'acceptation totale. Un long gémissement... Ses jambes douces au galbe enchanteur qui ouvrent leur compas... Sa main fine qui passe dans ses cheveux et l'incite à rester sur son intimité... Offerte... Il ouvrit la bouche et embrassa le sexe humide. Il se releva, passant outre la main de Coralie qui lui indiquait de s'afférer sur son intime cicatrice. "Ton abricot est si doux." Il était attentif à sa réaction. Elle lui sourit. Ses belles collines aux pointes érigés entre eux deux, comme des monts aux pics tendus, elle se cambra et ses genoux s'écartèrent. "J'ai envie de te dévorer... comme... elle..." Elle rougit. "Oui... mange-moi." La langue se posa sur son sexe et il la lécha de bas en haut. Elle se tortillait sous les coups de langue de plus en plus intrusifs. Il entrait dans son puits. Elle l'entendait laper et lécher le jus qui lui trempait l'entre cuisses. Le muscle se faufilait entre les plis intimes... Le visage masculin de son amant était collé à son mont de Vénus... Il aspirait ses nymphes ardentes... Il enfonçait sa langue en elle pour la déguster au delà de la décence... Et elle se tortillait, elle gémissait... le plaisir enflait... l'emportait peu à peu. Il s'attarda sur son bonbon et l'aspira. Elle lâcha un petit cri. Cet homme la faisait chavirer. Ses joues entre ses cuisses. La langue se fit plus fouineuse, plus rapide... Elle coulait en abondance. "Dévore-moi... hummm" Il ne se fit pas prier pour l'exhausser. Il lui pratiquait un cunnilingus intense et inquisiteur. Sa langue parfois large, parfois étroite, parcourait l'intérieur de son trésor, sinuait dans les nymphes... Sa bouche avalait les lèvres, les accaparait, les aspirait ou les léchait sur leur entière surface. Les gémissements de plus en plus proches de cris que Coralie émettait, l'excitaient encore plus. Il releva son visage pour l'admirer. Il avait les mains sous ses genoux pour la maintenir relevée, les jambes grandes ouvertes, son intimité offerte et luisante de salive et de cyprine, elle haletait en lui souriant. Ses cheveux en corolle autour de son visage tendu par le plaisir. Sa poitrine était désirable et gonflée comme jamais il ne l'avait remarqué. Sa verge lui faisait mal d'envie d'être assouvie. Il se hissa sur ses bras pour la surplomber. Son sexe glissa contre la cuisse de son amante. Le velouté de sa peau douce le fit bander encore plus, si cela lui était possible. Elle le voyait le surplomber, venir au-dessus d'elle. La chaleur de son vit contre sa jambe la fit se cambrer. La raideur du manche épais qui vint se poser sur son sexe la fit frémir. Il était entre ses cuisses. Une ombre musclée qui lui souriait. "Robin... prend-moi. Prends-moi comme ma mère. Comme une chienne." Elle rougit de ses propres paroles. L'envie était plus forte que la raison. Elle creusa son ventre pour venir à la rencontre du pieu de l'homme qu'elle désirait en elle. Jamais encore elle n'avait osé proférer de telles demandes. Elle ferma les yeux, espérant furtivement qu'il n'avait rien entendu, nourrissant l'espoir encore plus fort qu'il la chevauche dans l'instant. Elle dégoulinait de cyprine... A suivre...
Mar 24 sep 2013
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