Le blog de M.
[…]
Son visage proche du mien, elle murmure… donnant le thème à notre rencontre.
- Mon immeuble est presque inhabité en ce moment…Je pourrais me retrouver entre les
mains d’un homme qui pourrait abuser de moi sans que je ne puisse espérer de l’aide…
Je maintiens ma caresse sur sa nuque que je sens frissonner alors que son bassin se frotte au mien.
Face à moi, colée au mur, elle a dénouée ses cheveux blonds.
D’une petite voix timide elle poursuit.
- Un homme très… cochon… qui se livrerait aux
pires outrages avec moi… qui suis si sage… si prude… Il pourrait m’obliger à faire des choses immorales… obscènes… très osées...
Nos langues s’enroulent, je profite de ce baiser donné avant qu’elle ne s’éloigne un peu de moi et relâche son étreinte lentement.
- En plus… je n’ai jamais été observé… par une « Maitresse ».Et je trouve ça très
excitant.
Achève-t-elle de dire en prenant la direction de la salle de vie.
Je la regarde balancer son petit postérieur dans son jean serré, sa poitrine moulée dans son pull de laine blanche qui
m’attire. Elle reprend sa voix normale, signe que le jeu est entamé.
- Je vous remercie de m’avoir raccompagné jusque chez moi.
Je la rattrape et pose ma main sur ses fesses.
- Mais enfin… arrêtez ! Fait-elle d’un ton offusqué.
J’affermis ma prise, le tissu me permettant une poigne franche sur l’une de ses rondeurs que j’évalue à un petit 38.
Elle a ce bassin qu’ont les femmes n’ayant pas eu d’enfants.
Elle tente de se dégager.
Je pose ma main sur son épaule pour la retenir.
- Arrêtez s’il vous plait !
- Silence !
Ma voix se fait cassante, dure. Je la sens se raidir et un petit sourire naitre sur son visage fin.
Elle me fait face, à moins d’un mètre.
D’un geste vif je suis sur elle. Elle sursaute.
Ma main gauche vient se glisser entre ses cuisses alors que la droite la cueille par la taille.
Elle se cambre en feignant de vouloir s’esquiver.
J’appuie la pression de ma main sur son entrejambe.
Elle pousse un cri.
Ma main vient se poser sur sa bouche.
- Non ! Humpf… Pitié ! parvient –elle à gémir.
Je dégrafe les boutons pression de son pantalon et je le tire vers le bas.
Elle se débat et parvient à se dégager en tombant assise par terre.
- Ne vous jetez pas sur moi… implore t’elle, malicieuse.
J’obéis à cet ordre larvé et je me retrouve bientôt au-dessus d’elle, à même le sol.
Son jean est serré et elle m’aide à la faire glisser sur ses chevilles, en mimant de faux mouvements de lutte.
Lorsque mes doigts se posent sur le tissu de sa petite culotte, c’est un coton trempé que je caresse.
- S’il vous plait… pas ça. J’ai un petit ami…
N'abusez pas de moi... je vous en prie.
Je m’insère sous l’élastique de son dessous et j’y glisse ma main.
Son sexe est entièrement rasé, lisse… et ruisselant.
Elle resserre les cuisses, mes doigts fouillent son antre intime. Elle pousse un gémissement alors que j'entre en elle
et que je titille fermement son clitoris.
Il est gros et gorgé d’envie. Son puits est littéralement inondé.
Je déboutonne à mon tour mon pantalon.
- Non… non… ne me violez pas.
Ma verge enfin libérée, mon gland s’appuie bientôt sur sa fente.
Elle serre les jambes.
Je me redresse et, usant de mes pieds puis de mes genoux, j’ouvre le compas de ses cuisses pour venir placer mon sexe sur le sien.
Elle sursaute à ce geste significatif.
Elle se retrouve offerte en l’espace d’un instant.
D’un coup de reins j’enfonce mon pieu en elle.
Je la sais trempée et mon intrusion ne va pas lui faire mal.
Elle retient sa respiration, son visage forme une grimace.
Je recule et entre plus loin en elle.
- Han ! Non ! Vous me faites mal ! Arrêtez ou je crie.
Négligeant son appel je la fourre par deux ou trois coups de reins avant de lui placer ma main sur la bouche. Ma voix est lourde de sens.
- Tu crois que tu peux jouer les allumeuses et t’en tirer comme ça ?
Elle roule des yeux et je distingue un nouveau sourire de plaisir. Je joue son jeu et elle apprécie. Elle ondule sous
mes mouvements.
- Je vais te baiser autant que je veux.
Ponctuant cette dernière phrase d’un assaut, elle gémit en accueillant mon sexe en elle une nouvelle fois,
profondément.
Maintenue au silence je la force sans relever ma main de sa bouche. Elle respire par le nez à fortes inspirations,
gémissant dans ma paume tout au long de la saillie rude que je lui impose.
Je ponctue mes vas et vient de quelques « tiens ! » « prends-ça ! » « tu es bonne… » qui la ravissent. J’exauce son vœu d’être prise par le méchant
loup.
De longues minutes je la possède et je la vois se tendre, se cabrer et jouir sous mes coups de butoir.
Je libère sa bouche.
Elle halète.
- Vous êtes… un sauvage… sortez de chez moi…Parvient-elle à articuler.
Je lui prends le bras et je la soulève.
- Qu’allez-vous me faire… Partez ! Vous avez eu ce que vous vouliez !
- Je partirais lorsque j’aurais eu tout ce que je veux. Avant cela tu vas être
obéissante.
Je la force à venir se placer à genoux dans la pièce de vie.
Ses chaussettes blanches semblent incongrues. Encore vêtue de son pull mais les fesses nues, elle a les jambes ouvertes. Son sexe parfaitement glabre
montre les signes de mes percées. Ses lèvres sont rouges, écartées.
Un bruit nous fait nous retourner.
Une lampe s’allume et nous illumine.
Dans l’ombre un bruit de chaise.
Apparait de l’obscurité le bout d’un escarpin.
Miss Kathleen nous observe, silencieuse, sans être visible, mais manifestant sa présence.
Je repose mon regard vers l’ouvreuse. Elle me sourit avant de reprendre son rôle de composition.
Ses yeux se fixent sur ma verge qu’elle semble découvrir.
- Ho… elle est… large.
- Et tu vas la sucer.
- Non ! C’est sale !
- Ta,
c'est de ta faute, mais tu vas la lécher d’abord.
Je force son visage à se rapprocher de mon sexe enduit de son orgasme.
Elle maintient sa bouche fermée.
Je passe mon membre sur ses lèvres, sur ses joues.
Elle tente de détourner la tête.
Je la gifle de mon manche poisseux.
Une fois, deux fois… Ma verge claque contre ses joues.
- Lèche ma queue. Comme une glace.
Timidement sa bouche s’entrouvre et le bout de sa langue apparait puis vient se poser sur la veine.
Elle fait remonter son muscle sur ma tige, de plus en plus large, de plus en plus gourmande.
- C’est bon, tu aimes.
- C’est dégoutant…
- C’est le gout de ta mouille de jouissance.
Sa langue passe de bas en haut, s’attarde autour de mon gland.
- Maintenant suce-moi.
- Non. S’il vous plait.
Elle lèche avec application.
- Je n’ai jamais… fait de fellation. C’est répugnant.
- Tu vas apprendre. Et tu vas aimer.
Elle ferme de nouveau sa bouche et commence à masturber ma verge de bas en haut.
- Et si je vous… caresse à la place ? Vous ne me forcerez pas ?
- Que veux-tu me faire ?
Elle prend un air gêné en continuant de faire osciller mon vit, et m’astiquant régulièrement. Ses doigts enserrés autour de mon manche dur et
chaud.
- Vous… caresser.
- Tu ne me caresses pas là… que fais-tu ?
- Je… je… vous masturbe…
- Tu aimes mieux ça.
- Oui.
- Tu es une bonne branleuse ?
- Je ne sais pas…
- Continue on va voir.
Elle ne se fait pas prier pour me pratiquer, à une main, une masturbation lente et qui me fait monter lentement les échelons du plaisir.
Parfois elle s’aide de ses deux mains pour me presser, me masser jusqu’aux bourses.
D’autres fois elle irrite mon méat tout en malaxant mes boules ou en faisant coulisser mon pieu entre ses doigts fins.
- Tu es habile. Tu branles bien.
Elle ne répond rien, attentive, ses yeux navigant de ma verge dressée à mes yeux, en donnant quelques coups d’œil au bout de chaussure visible qui
signale l’existence de ma Maitresse.
- Tu es une bonne branleuse. Dis-le.
- Je… je suis une bonne branleuse.
- Une bonne masturbatrice de bites, car tu aimes ça.
Elle hésite, les joues roses.
- Ne me forcez pas à dire des
choses comme ça… c’est pas bien. Je ne suis pas comme ça.
Je tire ses cheveux en arrière légèrement.
Mon regard se plonge dans le sien.
- Mais si tu vas voir, tu vas être "comme ça".
Elle se lance, émoustillée.
- J’aime avoir… une… bite à branler.
- C’est bien, maintenant taille-moi une pipe.
- Ho non… pitié.
Je force mon gland à faire pression sur ses lèvres.
- C’est sale et elle est trop gross... hummpf….
Elle ouvre sa bouche pour parler et j’en profite pour m’introduire entre ses lèvres.
Sa petite bouche parait s’étirer alors qu’elle fait progresser ma verge de plus en plus loin.
Consciencieuse, elle suce avec une expertise que son discours ne laisse pas suggérer.
La pression de ses lèvres et de sa langue me réjouissent. Elle sait œuvrer et la turlutte qu’elle me pratique me pousse à gémir.
- Hum… tu pompes comme une vraie pro.
Elle s’enorgueillit du compliment et accélère ses succions.
- Je vais me vider dans ta bouche et tu vas tout avaler.
Elle libère ma verge d’entre ses lèvres, un filet de salive lie mon gland à sa langue.
- S’il vous plait… non… pas ça…
Sa bouche est meurtrie d’avoir embouchée et sucée longuement, ses lèvres sont un peu plus roses que la normale.
Saisit à deux mains, son visage me parait si délicat et si doux.
- Ouvre la bouche.
Elle obéit, mes pouces viennent la maintenir ouverte tel un mors.. Elle gémit faiblement.
- Branle-moi.
Sa main vient s’emparer de mon sexe et elle l’agite. Un geste rapide, efficace, expert.
- Oui c’est bon… ouvre bien grand.
Je sens l’orgasme monter, venir, sensation intense qui me parcourt derrière les cuisses, le long de l’échine,
jusqu’en haut de la nuque.
Les jets viennent la frapper, longs, blanchâtres, gluants.
Sa joue gauche, son menton, sa bouche… mon foutre la salit jusqu’à tâcher son pull.
Elle maintient ma verge vers elle et accepte mon sirop à venir lui couler dans la gorge.
Elle me regarde en déglutissant.
- Tu aimes ?
- Non… Enfin... je ne sais pas…
De l’ombre provient la voix calme de Miss Kathleen. Elle tranche l'atmosphère d'une coupe sensuelle.
- Elle préfère peut-être une autre sorte de jus.
A suivre…
Mar 25 jun 2013
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