Le blog de M.
[...]
Elle est allongée, son visage reposant dans sa paume de main, ses yeux clairs scrute son corps. De sa main libre elle caresse le torse musclé
de Robin.
Lui est agenouillé à ses côtés. Il admire les courbes de sa patronne et amante. Les lignes sensuelles de ses épaules et la finesse de ses
bras semblables à des lianes, la vallée de ses seins lourds aux larges mamelons bruns, aux tétons érigés qui attrapent la lumière de la chambre, l’ascension de ses hanches alors
qu’elle relève sa jambe droite pour lui dévoiler son intimité : une fente aux lèvres déjà amollies, un étroit ticket de métro pileux ras encadrant l’humidité naissante.
Elle glisse sa main sous les bourses. Pleines, rondes, elle les palpe et les malaxe. Le vit semble pulser et grossir, s’épaissir
encore.
D’un geste adroit elle l’oblige à se redresser et elle prend alors à pleine paume les deux boules dénuées de poils pour les faire s’agiter
l’une contre l’autre.
Il voit dans ses yeux la gourmandise et le plaisir qui l’anime alors qu’elle lui masturbe les bourses.
- Raconte-moi tes fantasmes. Lui murmure t-elle en faisant remonter ses
boules de l’arrière vers l’avant.
Il approche son corps près d’elle, son sexe palpitant, entièrement décalotté. Le gland rond,
turgescent, à moins de 30 cm de la maitresse de maison. Elle est si désirable, si attirante. Il bande à n'en plus pouvoir, entièrement en son pouvoir, ensorcellé par cette
magicienne du vice.
Les premiers mots qu'il émet lui paraisse venir des tréfonds de sa gorge, puis il se laisse
aller, les images lui reviennent et il lui avoue, tout.
- J’imagine que je peux
vous caresser… que votre peau est à moi... Je vous imagine totalement offerte, et je vous dévore… partout... Je vous lèche les seins... Je vous lape le sexe... Je titille votre
rosette de ma langue avant de venir vous manger comme un goinfre.
Elle ronronne à ces idées et lui fait signe de continuer. Il se laisse emporter par son
récit, par les manoeuvres habiles qu'elle impose à ses boules, oubliant le lieu, le temps et toute retenue.
- Je rêve que je vous prends… que je vous force…et que vous êtes… d’une
chaleur incroyable.
- Ho oui. Si tu savais comme je suis chaude, là, maintenant. Continue
mon vilain coquin.
Le sang bat à ses tempes, son sexe en est douloureux tellement l’envie d’elle lui parcourt le corps.
- Alors dans mes
fantasmes, je vous possède, de multiples façons… face à face, de dos. Aucun de vos orifices n’est oublié… tous sont outragés. Vos fesses levées vers le ciel, vous hurler à
chaque fois que je vous perce. Vous n'en pouvez plus mais pourtant je continue à vous chevaucher... nous sommes assoifés de sexe.
Elle roule ses grands yeux bleus et se mord la lèvre inférieure avant de s’allonger sur le
dos, ruisselante de mouille, excitée par les paroles de Robin. Tant de fois elle a fouillé son antre en rêvant à ces mêmes actes immoraux... Sa voix se brise sur son
ordre.
- Viens… lèche-moi.
Fais-moi du bien.
Il se penche vers elle et ouvre sa bouche, obéissant, avide et goumand.
L’envie de la découvrir de la langue est intense. Il effleure les pourtours du mamelon pour en saisir les aspérités dans de petits cercles
concentriques qui le rapproche inexorablement du téton qu’il aspire alors doucement.
Elle sent son ventre bouillir d’envie. Entre ses cuisses son sexe de femme n’en peut plus de
cette attente intolérable. Il lui semble le sentir couler sans discontinuer. Elle presse plus fortement les deux bourses de cet homme qui la fait chavirer dans le désir le plus
fou.
Elle muselle son envie de crier et de lui demander d’agir, là, dans l’instant. Il la fait languir et le plaisir en est décuplé.
Il suçote le sein voluptueux avant de lever les yeux vers elle. Elle lui sourit. Sans la
quitter du regard il descend… sa langue glisse sous la courbe de la poitrine, slalom sur son ventre et laisse une trainée de feu sur ses cuisses. Son corps se tend, se cambre,
ondule sous les arabesques qu'il lui inflige.
Les mains de Robin écartent alors les jambes de son employeur. Il la surplombe, il l’admire.
Elle lui caresse les avant-bras. Sa respiration plus rapide fait se soulever son corps de femme. Sa motte renflée l'appelle, l'attire...
Il baisse la tête et vient humer la fragrance particulière de son intimité. Il tire la langue
et lèche avec lenteur les lèvres, chacune à leur tour. Chaque touché la fait gémir. Sous son muscle le crissement des poils ras l’émoustille encore plus. Sa langue se fait alors
plus large et plus entreprenante. Elle est humide et son gout dans sa bouche est un délice. Il appuie sur le haut de la fente qui s’ouvre comme une fleur. De sa langue il excite
le pistil secret qui apparait, long, gorgé de sang. Il savoure le suc intime qu’elle répand entre ses muqueuses.
Elle s’entend gémir. Ce coquin est en train de lui pratiquer un cunnilingus d’une façon si
douce et si habile qu’elle gravit les échelons du plaisir 4 à 4. Elle caresse sa nuque et son cou musclé, passe sa main dans ses cheveux bruns et appuie sur son visage pour
qu’il la dévore plus fort.
- Oui... comme ça oui... hooo...
Il enfourne sa langue dans la grotte. Il lape l’intérieur de ce puits offert et délicieux. Le
visage plaqué à l’entrecuisse qui se soulève à sa rencontre, il déguste le sirop qui coule. Sa langue agit par petits mouvements vifs qui alternent avec des moments plus lents
où il lèche ce sexe de bas en haut, largement, goulument.
Elle lâche le visage pour poser ses deux mains sur ses seins. Elle les pétrit. Ils lui font mal tant son excitation est à son comble. Ses
caresses la soulagent de sa tension. Elle en ferme les yeux, se laisse aller à ses mains qui pressent ses gros seins et la bouche qui lui pratique son abricot.
Il se redresse et souffle sur la fente avant d’écarter les lèvres de ses mains. Il la
maintient béante. Elle gémit. Sa grotte ouverte et ruisselante est luisante; emplit de sirop. En son centre les petites lèvres, dentelles diaphanes, sont un appel à une
gourmandise plus sucrée. Son bonbon ressemble à un petit sexe, rouge, gorgé, tremblant.
Il souffle de nouveau et elle se cambre. Du bout de la langue il titille les parois
écartelées, les plis intimes. De ses lèvres il suce les nymphes ou le bourgeon de plaisir. Il s'infiltre dans des endroits oubliés, s'attarde et explore...
Elle ne peut bientôt plus se retenir et pousse de petits cris de plaisir. La force de ses doigts mâles qui l’ouvre et la bouche qui la mange
littéralement la font chavirer. Elle pousse son bassin vers le visage de Robin à la recherche d’un plaisir infini.
Il relâche le sexe. Les lèvres restent entrouvertes. Ses doigts s’emparent de ses cuisses, remontent les jambes, saisissent ses genoux. Dans
un mouvement simultané, il écarte en grand le compas de ses jambes.
- Maintenant oui ! Viens… prend-moi mon bel étalon.
Il lui sourit. Elle a ce regard fiévreux qu’il lui connait.
Il positionne son sexe sur la grotte.
Elle sait que la percée ne va plus tarder. Ces quelques secondes sont un supplice
délicieux.
Ellecontemple son visage lorsque d’un coup de rein il enfonce son gland en elle.
Elle ondule. Il vient de la pénétrer.
Il repart en arrière, ressort entièrement de la fente pour y rentrer de nouveau, un petit peu plus loin.
Elle se cabre.
Il continue, chaque fois plus loin. Encouragé par les soupirs d'extase de la femme qui se
livre à lui.
Elle ne tarde pas à laisser filer par sa bouche ouverte un râle presque continu.
Un coup de reins plus important enfonce son sabre jusqu’à la garde.
Elle crie et cesse de respirer.
Il s’immobilise.
Elle se reprend. Expulse l'air dans un gémissement érotique.
Il sort de nouveau avant de la percer une nouvelle fois profondément et bouger en elle,
lentement, inéxorablement.
Elle entend son cri, elle sent son fourreau outragé par l’épaisse verge. C’est un plaisir
sans borne et, si elle a l’impression d’être déchirée à chaque assaut, elle n’a qu’une seule envie, c’est que cela ne cesse jamais. Elle a les jambes désormais maintenues par
les chevilles. Entre ses cuisses le jeune homme la force en alternant les cadences. Parfois elle perçoit ses bourses frapper contre le bord de ses fesses. Il conserve le rythme,
elle se sent fléchir, il la pilonne comme une machine. Son corps est secoué, son sexe est limé par une verge large… elle jouit alors… une vague fulgurante qui déferle sur tout
son corps et qui s'attarde. Elle oublie l'endroit, le temps, sa moralité et ne profite que de ce plaisir exquis et inégalé.
Longuement il la maintient dans l’orgasme. Son pieu agissant dans le bas-ventre avec force
mouvements de bassin. Lorsque son corps se fait plus lourd sur le lit, il relâche la pression sur ses jambes, et extraie son vit du con trempé et assouvit. Elle reste ainsi,
jambes écartées, haletante, la matrice béante et inondée.
Il remonte entre les cuisses lisses et fuselées et vient positionner son glaive de chair entre les seins majestueux.
Elle le regarde, essoufflée, puis place ses mains de chaque côté de sa poitrine. Les gros
globes se rapprochent et enserrent la tige dégoulinante de cyprine.
Il va et vient, usant des seins appuyés l’un contre l’autre pour se masturber.
Elle lui autorise ce plaisir de la cravate de notaire et, en inclinant son visage, lèche le
gland lorsqu’il est à sa portée. Il lui maintient la tête pour qu’elle puisse tout juste gober le casque rond. Il a la gout de son sexe… elle s’affole de nouveau et suçotte le
bout rond à chaque fois qu'il lui présente.
Il se dresse soudain, tel un diable, et elle est surprise par la première giclée. Le foutre
vient la frapper au menton et à la joue. Elle ouvre la bouche et la seconde giclée s’étale sur ses seins, dégouline dans son cou. Il avance son bassin vers son visage et elle
peut enfin gouter le jus blanc qui lui frappe le palais et la langue.
Il pousse un soupir lent et profond. Il vient de lui salir le visage, les seins. Il se
replace sur ses genoux. Elle a la bouche grande ouverte. Saisissant son sexe par le dessous il presse sa veine pour faire couler les dernières gouttes dans la gorge de sa
patronne qui avale et déglutit avec un plaisir non feint. Elle goute le précieux nectar et le déguste.
Il retombe à côté d’elle, essoufflé.
Pendant quelques secondes il n’y a d’autres sons que leurs deux respirations. Essouflés ils
ne disent un seul mot. Leurs regards perdus dans les soieries du lit à baldaquin.
Elle se lève alors. Sur son corps, le sperme forme des dessins aux courbes alambiquées. Ses
seins lourds sont maculés de liqueur d’homme. Elle est la première à rompre le charme du silence d'après coït.
- Ne bouge pas. Je vais me nettoyer. Toi… reste comme ça… Sali… Nous
avons le temps, mon mari ne rentre pas avant le petit matin. Et j’ai des choses à me faire pardonner.
Elle lui fait un petit clin d’œil avant de s’éclipser dans la salle de bain.
Il ferme les yeux et savoure. Quelques minutes de calme où l'eau de la douche lui parvient,
lointaine.
Lorsqu’il les ré-ouvre, il contemple la chambre et son mobilier de qualité, le petit
fauteuil de bois rare, la table sur laquelle sont déposés des fleurs et un masque vénitien, les miroirs et les appliques murales qui donnent une ambiance tamisée.
Son attention est attiré par la porte. Par l’entrebâillement de celle-ci il lui semble voir
un œil l’observer. Il se dresse sur un coude mais n’a pas le temps de voir s’il s’agit d’un mirage ou de Coralie car sa patronne entre de nouveau dans la pièce, de l'autre
côté.
Elle est nue. Son corps lascif ondule en s’avançant.
Bien que repu par sa jouissance, la simple vue de cette silhouette et de ses formes, lui
redonne envie. Son sexe qui était amolli sur sa cuisse reprend instantanément vigueur..
Elle le regarde avec envie.
A suivre…
Mar 28 mai 2013
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