Le blog de M.
La roseraie est un endroit particulier de la villa dans lequel Robin apprécie de venir passer un moment à s'occuper des plantes qui y sont dorlotées.
Dans cette vaste coupole de verre et de ferronnerie, au milieu des jardins à diverses hauteurs, il s'immerge dans l'ambiance de Jules Verne, rêvant parfois à des lieux incroyables lorsque le soleil fait flamboyer les fleurs.
La pluie qui s'écrase ne trouble en rien sont travail méticuleux.
Par des gestes précis il coupe, ôte les épines, écarte les mauvaises herbes.
Il est surpris lorsqu'il entend derrière lui un bruit de sécateur.
Tenant dans sa main l'appareil, Coralie lui sourit.
"Bonjour Robin ".
Sa voix de cristal lui fait instantanément un effet sensuel.
Elle porte un petit top sans manche, rose pale, un jean bleu avec une ceinture où des brillants forment des arabesques florales.
Ses pieds dans ses baskets, elle danse d'une jambe sur l'autre.
La bretelle de son top a glissée sur son épaule.
Il devine qu'elle ne porte aucun soutien-gorge, ce que ne démentent pas les saillies que forment ses tétons sur le tissu qui cache sa poitrine aguicheuse.
" Mademoiselle Coralie, bonjour."
Il lui rend le sourire qui illumine son visage de jeune femme.
Quelques questions banales sur le moment, le temps et un silence s'installe.
"Ma mère vous apprécie énormément" murmure t elle.
Elle l'observe attentivement, ce mâle brun au regard perçant, ses grandes mains habiles et son corps a la musculature fine.
Simplement revêtu d'un tee-shirt, ses épaules et son torse évoquent la force et l'agilité.
Son pantalon, parsemé de poches où il range divers accessoires, est resserré par une ceinture de tissu aux multiples fixations. Une paire de chaussures épaisses achève sa tenue.
Elle se mord les lèvres devant lui... son initiateur, son premier amant.
" Je ne vais pas vous le cacher" lui répond-il.
Elle lui avoue les avoir vu dans le hall ce dimanche, guettant sa réaction.
Loin d'en avoir honte il se rapproche d'elle et pose son sécateur.
Elle frémit involontairement, sentant son sexe s'ouvrir par intermittence et souiller sa culotte.
"Votre mère est une femme très belle, elle est aussi ma patronne. Et vous n'ignorez pas qu'elle est aussi mon amante."
Il voit sa poitrine se soulever, sa respiration s'accentuer.
Si proche d'elle, il peut en sentir le parfum délicat, rose parmi les roses.
"Je le sais Robin... et quand je vous ai vu la... prendre... j'aurais voulu être à sa place... J'espère qu'elle ne sait pas pour nous ?"
La lumière tombe sur elle et la magnifie alors que ses joues rosissent.
"Je ne lui ai rien dit" lui répond il, si proche d'elle qu'il sent son parfum au milieu des fragrances florales.
Elle lui répond d'une œillade complice, rassurée.
Il voit son bras nu et ses doigts fins se lever.
Il sent sa main délicate se poser sur son torse.
Il en apprécie le geste, son sexe réagissant aussitôt.
"Vous m'espionniez... vous avez tout vu... et... cela vous a plu ?" ose t il lui demander alors qu'elle caresse son corps au travers de son tee-shirt.
"J'ai tout vu... tout." Ses yeux bleus se baissent vers le sol, légèrement honteuse tout autant qu'excitée par cette situation.
Elle hésite à poursuivre... "Et j'ai apprécié..."
Elle relève les yeux, croise son regard qu'elle sait plongé dans son décolleté.
Instantanément ses tétons se tendent avec orgueil.
Il pose sa main sur la sienne, emprisonnant ses doigts dans sa main large.
"Et cela vous a plu ?"
Involontairement ses joues prennent une teinte cramoisie.
"Vous vous êtes caressée ?" continue t il de la questionner.
Elle rompt avec les yeux sombres qui l'observent et la détaillent.
Elle voudrait crier son plaisir d'alors et l'envie qu'elle ressent dans son ventre comme une boule de feu qui irradie tout son corps en ce moment même.
"Oui..." avoue t elle timidement.
Sa petite main dans celle de Robin, elle vient déposer un baiser sur les doigts masculins.
Sur sa joue, la caresse de l'homme en face d'elle la réconforte.
"Et j'ai tout entendu..." sourit-elle en relevant le visage, "... tous ces mots très crus..."
Ses yeux pétillent alors qu'elle le voit sourire.
Elle partage ce sourire qui la fait fondre.
"J'ai entendu comme elle aimait savoir que vous aviez eu une autre femme... plus jeune qu'elle..." ses mots se bousculent.
Il fait descendre sa main pour que celle de Coralie vienne découvrir l'ampleur du désir qu'elle a fait naitre chez lui.
La jeune femme continue de lui révéler, de se livrer.
"J'ai aimé lorsque vous lui avez tenu tête pour ne rien révéler. J'avais peur. J'avais honte..."
Sa voix si douce l'envoute.
Ses doigts posés sur l'entrejambe, elle palpe avec douceur son membre qui s'agite.
"Et je me suis caressée... rêvant d'être elle... et encore après, toute seule...ho... Robin..."
Il laisse la main de la femme masser son sexe sous le pantalon, remontant ses mains sur ses hanches.
Les rondeurs de ses fesses bombées ondulent imperceptiblement alors qu'il se pose sur elles.
"J'ai envie de vous" lui dit-elle soudain.
Il la contemple.
Ses formes mises en valeur par sa tenue qui épouse ses courbes délicieuses sont un appel à la passion.
"J'ai envie que vous... preniez ma bouche" poursuit elle en accentuant les palpations sur sa verge durcit.
De quelques années plus jeune que lui, Coralie est désirable autant que sa mère.
Il tente de résister...
Quelle sorte d'homme est-il ?
Il possède sa patronne, de plus de 10 ans son ainée... Et déflore sa fille de 25 ans... Mais comment résister à ces deux merveilleuses femmes qui incarnent chacune autant l'amour et le désir.
Elle dégrafe le pantalon et faufile sa main pour venir saisir le manche raide.
Elle en apprécie la forme, la dureté.
Il semble hésiter tout en la couvant des yeux comme un prédateur.
"Je suis sa proie" pense t elle avec un sentiment d'excitation supplémentaire.
Sous ses doigts elle caresse le sexe tendu qu'elle a vu en action.
Lorsqu'il lui sourit, son cœur bondit, son corps est parcouru d'un frisson de plaisir.
La voix est grave, chaude..." Agenouille-toi..." lui dit-il.
Elle a soudain le tournis mais s'exécute, refrénant ses envies d'aller vite.
Tout en se positionnant devant Robin, elle fait descendre son pantalon et le boxer.
Dodelinant devant ses yeux, le sexe devient de plus en plus roide, dressé vers le ciel.
L'objet de sa convoitise enfin à portée de ses doigts, de sa bouche, elle pousse un soupir de satisfaction.
Elle caresse le pylône de chair. Il est brulant.
Ses doigts glissent de la couronne du gland parsemé de petites aspérités, à la base étonnamment large en suivant la veine et les nervures qui décorent ce glaive majestueux.
Du bout de son index elle s'attarde sur le méat, une fine fente qui sépare le gland rond et turgescent, en le faisant s'entrouvrir délicatement à chacun de ses passages appuyés.
La douceur de la peau de cette pointe la fait chavirer.
Mais quel genre de femme est-elle pour être aussi excitée ?
Elle attire à elle l'homme qui baise sa mère... son ainé de quelques courtes années...
Mais pourquoi résister à cet homme qui la fait atteindre la jouissance.
Elle ouvre la bouche et avale goulument le gland turgescent.
Sa petite bouche aux lèvres roses s’ouvre et forme un rond presque parfait pour entourer son bout lisse.
Il l'observe s'affairer lentement sur le casque sensuel.
Elle aspire, relâche, tête avec gourmandise comme il lui a appris à faire.
Très vite son pieu grossit et enfle sous la pression des lèvres et de la langue agile qui flirte avec le méat.
Cette femme est affamée, elle le gobe, l'aspire et le tire vers elle avant de faire coulisser sa verge dans sa bouche.
Il caresse son front, relève une mèche blonde, la regarde et lui sourit.
"Hoo... Coralie... oui...continue".
A ces mots la jeune femme engloutie le sexe dressé, douloureux et tendu à l'extrême.
Il admire sa patience et la dextérité qu'elle met en œuvre pour le sucer.
Un peu maladroite compte tenu de la largeur de la verge qu'elle avale presque entièrement, elle compense son inexpérience par une envie sauvage.
Il se délecte de la petite bouche avide qui s'affaire le long de la colonne nervurée.
Elle prend ses invitations à continuer comme autant de récompenses et de remerciements.
Dans sa bouche le sexe déforme ses joues par moment, cogne contre le fond de sa gorge et la fait saliver, baver le long de la colonne.
Enfin elle peut le sentir pulser sous sa langue, comme dans ses pensées intimes et osées.
Du plat de sa langue elle presse la veine saillante d'arrière en avant puis relâche le membre viril.
Avec son bout de langue elle caresse le dessous du gland, s'attarde sur les replis.
Elle reprend sa salive et sa respiration.
Son menton est humide, elle l'essuie puis se saisit des bourses glabres, lourdes, pleines, qui pendent sous le cep dressé.
Dans ses mains elle apprécie les boules qu'elle malaxe et fait rouler.
Elle lèche doucement la glace de chair...
A suivre...