Le blog de M.
[…]
Il glisse un doigt entre les fesses douces qu'elle tend vers lui. Elle tourne son visage, sa joue posée sur son bras à plat le long du mur. Les mains de Robin forcent ses jambes à s'écarter. Il la caresse... partout... sa main palpe ses seins collé au lambris de bois rare, ses doigts effleurent son sexe trempé, caressent ses globes fessiers, passent sur sa rondelle... Elle gémit. Les paroles de cet homme lui reviennent : « je vais vous faire ce que votre mari n'a pas l'autorisation ». Son corps n'est que sensations. « Oui... écartelle-moi. Joue de moi ». Docile elle se cambre encore plus, délibérement. Il se baisse lentement, embrassant sa colonne vertébrale, de la nuque... jusqu'à arriver à ses fesses. Il mord le velours délicat de ses rondeurs ondulantes, en apprécie la fermeté sous ses dents. Il enfonce sa langue dans la raie qui, serrée, profonde, le force à s'appuyer tout contre elle dans une position de gourmandise. Elle pousse en réaction son corps vers l'homme qui la lèche dans son pli le plus secret. Il découvre de la pointe de sa langue, la rose intime et ses aspérités. Avec une lenteur extrème il presse l'anneau, s'amuse de ses palpitations avant de glisser vers la chatte béante dont il lappe le suc. Son souffle chaud sur son bas ventre est un délice. Elle se laisse faire par l'habileté de son amant. L'humidité de sa langue, ses lèvres sur son sexe de femme lui fait monter les echelon du plaisir un à un, irrémédiablement. Il remonte le liquide vers la raie, dégustant le goût intense de cette femme, sa patronne, son ainée. Son membre est tendu mais il ne se soucie que de la rosette avec laquelle il s'amuse. « Oh oui, ouvre moi, j'ai envie de te sentir partout ». Il force alors sa langue à entrer pendant que d'une main libre il vient branler le sexe ouvert, s'attardant sur la délicieuse texture du clitoris dur comme une perle. « Tu l'as déflorée de là aussi ton étudiante ? ». Elle se mord la langue, prenant conscience de son ton cassant. Si elle imagine que non, elle ne veut pas le faire fuir. Cette rivale doit rester une source de plaisir. Elle gémit ... Il saisit les épaule de cette femme offerte et la tire vers l'arrière, la forçant à se positionner dans une attitude de luxure évidente. Il regarde les pointes des seins frotter contre le mur. Puis il place son sexe sur les fesses bombées et cambrées. « Cela vous aurait plus de la savoir... prise de là ? » Elle sent la raideur s'installer entre ses rondeurs blanches. « Je ne sais pas ». Il fait descendre ses mains le long des bras de son amante, en apprécie la douceur, une soie tiède. Il l'embrasse dans le cou. « Si elle t'excite au point de vouloir aussi me baiser après, je ne dis pas non » lui lance t-elle « Mais si je passe aux oubliettes, non », achève t-elle, autoritaire. D'un geste habile il se pose sur sa motte et la masse alors que de son autre main il vient exciter l'un des téton écrasé contre le mur. « Elle est douée... mais vous avez... l'expérience... ce « je ne sais quoi » qui fait que je ne peux pas me passer de vous ». lui répond-il. Il s'empare de ses seins, les malaxe. Les pressions sont précises, il en apprécie la ferme molesse. « Hummm Robin... oui... » « Et puis, vous êtes ma... maitresse. » Elle est au bord de l'explosion alors qu'il monte et descend entre ses fesses bombées. Il se masturbe en utilisant sa raie et la verge qui frotte sur son oeillet la fait vibrer comme la corde de l'archet. « Ecartez-le » lui ordonne t-il soudain. Elle hocquette... n'ose croire ce qu'il lui fait faire. « Robin... voyons... vous êtes un vrai salaud. » Ses mains fines se posent sur ses fesses et elle les ouvre doucement. Elle écarte les deux globes, en grand, elle sent alors son anus s'ouvrir à son tour. Il pose son gand sur le petit orifice. « Ho oui... j'ai envie de jouir par là » Il ondule, se frotte, elle pousse, se cambre. Le conduit anal se détend, se prépare à accepter, et vient peu a peu emprisonner le gland rond. Il la laisse s'empaller à sa vitesse. Elle s'ouvre en douceur, comme une fleur. Elle se pince les lèvre, la douleur est là, présente... « Tu es... trop... » Il sent l'étroitesse enserré son vit. Sans un mouvement il l'observe onduler avec lenteur. Le corps cambré, elle se dandine, s'immobilise, s'agite doucement pour accueillir sa verge dans son interdit. « Oui ? » Il admire sa chute de reins, ses hanches et la peau de ses fesses. Le trou forcé forme un O dont les bords plongent puis se hissent vers le haut au rythme des mouvements de celle qui se fait introduire contre nature. « Trop... gros... tu bandes trop... haaaa... tu vas m'écateler ». La fine peau de son anus se tend alors qu'elle ondule sur le pal fiché en elle. La douleur de l'intrusion, le plaisir de cet acte qu'elle refuse à son mari. Le soulagement lorsque la douleur s'eteint et fait instantanément place à une avalanche de sensations. « Quand je pense que Monsieur n'a pas droit à ce cul ! » l'encourage t-il. Lentement, en douceur, elle accepte la présence du sexe tendu, en apprécie l'épaisseur et accueille la joie de se sentir plaine. Il donne un coup de rein. Il sent les pulsions internes de son anus « Hummmm. Bien sérrée... »sa voix est grave. Elle souffle fort et il en savoure les tonalités de plaisir qu'il l'entend émettre. Il entame un mouvement de balancier. « Oh bouge ! Oui ! » Elle s'abandonne à la sodomie, désormais ouverte... « Défonce moi ». Elle sent qu'il fait ressortir presque l'entière longueur de son sexe, avant de le ré enfoncer dans le conduit sombre. L'étui se décontracte. Le sexe masculin la parcourt. Elle s'agite. Les mains s'emparent de ses hanches et la chahutent. Leurs « ouii » sont à l'unisson. Elle coule... « c'est une honte »pense t-elle. Il vient branler sa perle tout en continuant de la prendre ainsi, contre le mur, par le cul. Bientôt la jouissance arrive. Branlée, sodomisée, pétrit, elle se cambre, s'offre, s'ouvre. Son jus s'écoule entre les doigts de son amant. Il se retire de ses fesses pour s'enfoncer dans son sexe béants. Elle vient de jouir dans un cri. Il regarde le trou largement ouvert de son anus qui refuse de se refermer, parcouru de palpitations. Magnifique vision qui lui donne une envie d'elle encore plus exacerbée. « Je vais vous prendre... comme une chienne... et me vider en vous ». Ose t-il lui dire en l'invitant à se mettre à 4 pattes. Il sait qu'à peine la première jouissance passer il peut la posséder à nouveau et qu'elle peut jouir encore. A suivre...
Mar 18 déc 2012
Aucun commentaire