Le blog de M.
La Villa est faiblement éclairée en son extérieur lorsque la voiture fait crisser les cailloux.
Elle rentre de week-end .
Un week-end au soleil, chez des amis.
Si le lieu était des plus agréable, la compagnie de ses amis sympathique, elle est heureuse de rentrer chez elle.
Son mari n’a pas décroché une parole dans le trajet, comme d’habitude.
D’ailleurs, il s’est déjà isolé à peine arrivé, parti se coucher sans même prendre le temps de lui dire au revoir.
Elle soupire en cherchant du regard celui qui se découpe dans l’entrée, le gardien, Robin.
Il s’avoue qu’il va avoir du mal à regarder cette femme... alors qu’il vient de déflorer sa fille.
Ce dimanche soir est particulier, il l’a passé dans un lit qui n’est pas le sien mais celui de Coralie, dont sa mère et de plus patronne, vient d’arriver avec son mari.
Les yeux sombres de l’ homme lui font naitre une boule de chaleur dans le creux du ventre, un flash et la voilà déjà toute émoustillée à l'idée de le retrouver, car elle doit s’avouer s'être ennuyée et elle sait quelle force peut animer ce robuste majordome-homme à tout faire-jardinier… et habile amant.
Le porte document de son mari git en travers du canapé.
Elle l’entend presque déjà ronfler.
Elle sourit alors à l’homme qui s’approche d’elle.
Il laisse flâner un regard sur son employeur.
Vêtu d'un pantalon de toile, d’un tee-shirt noir, une tenue de travailleur qui offre un contraste saisissant avec la délicatesse de celle de la femme en face de lui.
Un pantalon de tailleur très fin, presque transparent, un chemisier dans des teintes roses et dorées en accord avec la ceinture fine et le collier étincelant qu’elle arbore autour de son cou gracieux.
Son regard traine sur les rondeurs délicieuses, engoncées dans son pantalon, suffisamment fin pour qu’il puisse affirmer l’inexistence d’un quelconque dessous…
Il lui rend ce sourire, rougissant. « Si elle savait » pense t’il.
« Madame. » Son salut est distingué, empli de respect et de politesse.
« Bonjour Robin ». lui lance t elle doucement.
« Je suis ravi de vous revoir ».
Ses yeux bleus-verts se posent sur son entrejambe avec insistance… « Vous m’avez manqué ».
Il regard les alentours, craignant une arrivée du mari… ou de leur fille.
« Votre week-end fut bon ? » enchaîne t il, gêné.
Sa réponse négative dans une moue qui s’achève en sourire lui donne soudain chaud.
Le balancement des hanches de cette femme de 10 ans son ainée, sa voix douce, sa bouche pulpeuse et ses formes onctueuses qu’il voit onduler dans le chemisier lui font perdre ses moyens,
« Ho... Désolé » réplique t-il presque automatiquement.
« Et vous Robin ? Votre week-end ? » lui demande t-elle en s’approchant un peu plus, déposant son sac sur une table de bois précieux.
« Très très... très bien. Tout est en ordre. ».
Elle jette un œil sur l’ensemble de la maison, parfaitement tenue. Décidément cet homme est en plus une perle de rangement.
« Je vois. Pas de souci non plus avec Coralie ? Car je vois qu’elle est rentrée. »
« Aucun Madame"
Son regard se baisse imperceptiblement sur la poitrine de la femme en face de lui.
« Oui. Mademoiselle Coralie est rentrée. Elle est... dans sa chambre je crois. »
La poitrine en face de lui se gonfle au rythme de la respiration qu’il voit s’accélérer doucement.
Elle garde un instant le silence, les yeux fixés sur lui.
Qu'elle aime son regard, pense t-elle.
Elle bombe doucement le torse, ouvre ses bras pour se détendre… « comme cela il va pouvoir en profiter » sourit-elle intérieurement.
« Pas de soucis avec elle? Vous savez que parfois elle peut-être... » dit-elle sans finir sa phrase
Il s'attarde sur les bordures du soutien gorge qu'il distingue sous le tissu du chemisier.
L'ampleur de la poitrine lui rappelle combien elle est douce et agréable à tenir à pleines mains.
« Aucun, elle est parfaite. » lâche t-il d'un ton un peu automatique.
Elle souffle un « Et capricieuse » qui le fait revenir à la réalité.
« Comme vous... » dit-il en la fixant alors qu'elle sourit de ce compliment, puis se ravise.
« Comme moi ? Parfaite ou capricieuse ? » le questionne t-elle ?
Il est si près d'elle désormais.
« Les deux... Madame »... un leger souffle lui apporte son parfum qu'il hume. Une fragrance pleine et qui la symbolise, sensuelle, envoutante.
« Je vous ai dit que vous m'aviez manqué . Si vous vous approchez de trop, je vais … je ne vais plus... j'ai envie de vous Robin. »
Il se recule, et affirme d'un ton grave « Mais je suis à votre disposition, vous le savez. Cependant votre mari est présent... »
« Justement, cela pimente ... » argue t -elle avec une étincelle de désir dans les yeux. Son bas ventre en feu.
Elle aime lorsqu'il devore sa poitrine comme il le fait maintenant.
« Je ne peux attendre plus ... »dit elle « Vous n'avez pas envie vous ? ».
Sa main se pose sur son chemisier... entre la protection et la caresse de sa poitrine.
Un geste ambigüe.
« Vos ordres madame.. sont des désirs..." fait-il en se plaçant à quelques centimètres de la femme.
Elle s'étonne de son manque d'envie qui parfois semble se faire sentir.
Bientôt son entrejambe se frotte a sa hanche, elle se frotte à cet homme qu'elle désire.
Elle le soupçonne de s'être donné du plaisir dans le week end
« Hummm je vous sens ... »
Elle bouge ses hanches, son bassin.
Il pose une main sur elle... là où la ceinture se détache de son corps.
« Humm oui. Votre main… ».
Son souffle se fait plus court.
« Mon mari dort, la nuit fut longue… et j’ai pensé à vous tout le trajet. »
La main de Robin se fait plus lente et glisse sur le fessier pour très vite explorer les rondeurs de ses fesses.
« Pas de dessous… » murmure t il.
« Aucun… J’ai pensé à vous tout le trajet avec une seule envie, que vous humiez ».
Il place alors ses deux mains de chaque côté de cette femme, sa patronne, son ainée, la mère de Coralie...
« Dans le hall ? sur le divan ? » la questionne t-il.
Elle est à fleur de peau, les sens en éveil, son sexe déjà humide.
Il remonte ses mains sur ses flancs.
Les pouces passent sous la poitrine, remontent en passant sur les mamelons et ses tétons saillants dans le chemisier.
Elle lui sourit, un sourire tendu, « dans un angle de la pièce ».
Il l'entraine dans cet angle où les ombres de lumière les cachent très légèrement.
« Si ma fille nous surprend... ce serait... » fait elle sans achever sa phrase.
« Ce serait … ? » l'interroge t-il en faisant redescendre ses mains, excitant les tétons avec délicatesse.
Elle hausse un sourcil ?
« Un drame... ? » propose t-il tout en caressant les aspérités qu'il sent extrèmement tendues.
« Je pense oui, je ne veux pas l'imaginer, elle est si jeune, ingénue, candide... comme moi ».
Elle dandine du bassin, la poitrine en avant, gonflée.
Il lui sourit, la pousse doucement dans le coin des murs.
Bientôt elle est plaquée, son dos contre la boiserie.
« Et aussi très belle. Un jour viendra... ou elle trouvera un prince charmant... » lui sourit-il en la soulevant presque.
Ses mains glissent a nouveau sur ses hanches, ils se déplacent comme un couple de danseurs, pas dans les pas, avec une ondulation lascive sur un air invisible de tango.
Leurs bas ventres se frottent l'un à l'autre.
« J'espère pour elle ... Hummm vous me faites de l'effet Robin ».
Il est dur... l'évocation de Coralie, en tenant Madame... lui fait un effet fou.
Il pose sa bouche dans son cou puis son visage plonge rapidement dans le décoleté.
Il pointe sa langue, embrasse, de plus en plus profondément dans la vallée de ses seins.
« Hummmm oui Robin, continuez ... ».
Il la sent s'abandonner.
Obéissant il s'attarde et sa bouche se fait délicate.
Elle gémit doucement, le week end fut long.
Les mains posées de nouveau sur ses fesses, ce coquin de Robin lui fait gravir les échelons du désir, quatre à quatre.
Elle le sent palper ses rondeurs, en mesurer l'amplitude.
Avec sa bouche il saisit un « zip » du haut de son chemisier, le tire, puis l'autre, dénudant ainsi ses deux épaules.
Le tissu s'ammolit, tombe lentement.
Les fesses fermements tenues, son haut de poitrine se libère.
Elle n’a qu’une hâte, qu’il lui bouffe la chatte. Alors elle fait durer le plaisir.
A suivre...