Le blog de M.

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Nue, Coralie approche de l'homme en face d'elle.bnb

Le balancement de ses hanches fines et le souffle de l'air sur son sexe offert au regard masculin la ft monter un à un les crans de l'excitation.

Elle pose une main sous son sein et le presse lentement.

Son téton est saillant... encore humide d'avoir été suçoté.

Robin est assis dans un large fauteuil.

Entre ses jambes se dresse son sexe large au gland rond décalotté.

La jeune femme se mord la lèvre inférieure et, sans même s'en rendre compte, pince son bout tendu à lui arracher un gémissement.

Elle sent couler son sexe, pour la première fois... elle va se donner à un homme.

Sa virginité va disparaitre et, malgré que le calibre, que l'homme fait coulisser dans sa main, soit des plus larges, elle n'en a pas peur mais uniquement un désir farouche et sauvage.

Les mots de Robin planent encore dans l'atmosphère de sa chambre.

Elle murmure "Oh oui... je vous la donne. A lécher, à aspirer..." tout en frôlant sa peau douce sur celle, mate, du mâle face à elle.

Guidée par les gestes surs de son amant elle se retrouve bientôt installée sur le fauteuil dans une position qu'elle n'avait même pas imaginée.

Les jambes sur le fauteuil, ses mains sur les épaules musclées de l'homme, elle a son sexe grand ouvert à la hauteur de la bouche masculine.

Il prend le sexe féminin avec toute sa bouche...

Il lèche et l'aspire.

Lentement.

Du bout de la langue il dégage le petit pénis féminin.

Quelques coups de langue et le bouton gorgé de sang glisse entre ses lèvres pour être tété avec délicatesse.

La fragrance douce du sexe de Coralie envahit la pièce et enivre l'homme qui redouble d'ardeur pour caresser de son muscle lingual la fente ruisselante de la jeune femme.

Sa langue s'enfonce... écarte les muqueuses

Il explore la fente vierge... retourne à la perle grossie et gorgée de désir qui se fait tirer vers l'avant, aspirant avec délice le suc féminin qu'il sent couler dans sa gorge.

Coralie pousse un gémissement devant cette pratique totalement inédite.

Robin incline son visage. Plaqué au pubis il lape, aspire le suc....

Elle ondule, ses hanches, ses fesses nues; accepte sans retenue, en rejetant son visage en arrière, que la bouche de Robin lui bouffe la chatte.

Elle pousse un cri de plaisir.

La langue passe sur l'entière surface du sexe vierge...

Bouche grande ouverte il enfourne sa langue entre les lèvres délicates.

Les mains maintiennent fermement ses fesses fermes et rebondies, alors que le muscle buccal tourne dans l'intimité dévoilée.

Coralie ote ses mains des épaules musclées et en pose une sur son sein pour le caresser alors que l'autre vient se poser sur sa nuque.

Au paroxysme du plaisir elle n'est plus maintenue en équilibre que par ses genoux de part et d'autre du jardinier.

Penchée vers l'arrière, en appui sur les mains fermes de celui dont elle gémit le prénom dans un souffle rauque.

Il tourne dans l'intimité de la femme.

Il la pratique de façon experte en la maintenant fermement plaquée à lui.

Dévorée... alors qu'il accélère en insistant sur les parois de son vagin, remuant sa langue pour la faire s'écarter et se rétracter sans cesse, dégustant son calice... elle pousse un cri sourd...

Des petits coups de langue sur le clitoris...

Il le découvre...

Elle gémit sans retenue, s'oublie dans les voiles du plaisir.

Il enfourne un doigt dans son sexe trempé.

Lubrifiée, elle l'accueille sans effort.

Les cercles qu'il effectue dans son intérieur l'ouvre et le font chavirer.

Sa langue entière lape les nymphes brulantes...

Il la regarde, son menton, ses joues, recouverts de la mouille de la jeune femme qui se pâme et se contracte sous les soubresauts de l'orgasme qui déferle en elle.

Il observe son visage fin et délicat, ses yeux fermés, sa bouche grande ouverte, crispée et attentive dans son plaisir.

Exaltée elle soupire en ondulant son corps félin.

Robin se penche à nouveau vers le sexe qui lui fait face et sa bouche pince chacune des lèvres.

Tour à tour il les suçote, les tire doucement...

Coralie est en nage... elle s'abandonne...

Il avale le sirop qui s'écoule... délicieux nectar.

Elle jouit avec force, exhalant un râle sonore qui semble ne pas avoir de fin.

Elle voudrait que cela ne s'arrête jamais tant le plaisir la parcourt de la pointe des pieds, à la pointe des seins.

Les mains de l'homme ne lâchent pas les deux petits globes fessiers charnus... le bout des doigts de la main gauche caressent l'intérieur de la raie largement ouverte par sa position très écartée.

Elle semble syncoper sur son visage avant d'ouvrir les yeux et regarder son amant.

Ils se sourient.

"Tu sais que tu as un très bon gout" lui dit-il.

"Meilleur sur maman ?" lance t elle, encore surexcitée...

Il plonge ses yeux dans les siens.

Elle rougit.

"Voyons voir si tu as... un aussi bon gout... ailleurs."

Elle s'empourpre, incrédule.

Les mains larges la font se redresser.

"Pose tes genoux sur les accoudoirs."

Se laissant diriger, encore sous le coup de son orgasme, elle se place, malhabile.

"Ton cul vers moi". lance t-il d'un ton qui la fait devenir écarlate.

Ses mains viennent se poser sur l'assise du fauteuil, elle voit le sexe dressé devant elle.

"Qu'allez vous me faire ?" se hasarde t elle à balbutier alors qu'elle n'en revient pas de sa position des plus indécente.

"Je vais te bouffer le cul..."

Elle ferme les yeux, lâche un soupir, honteuse et enivrée par la situation.

Elle dandine ses fesses désormais juste devant le visage de Robin dont elle sent le souffle sur son entre cuisse écarté.

Timidement, doucement, son fessier ondule devant lui.

Les jambes relevées, ses seins frottent la peau de l'homme qui la positionne pour la dévorer.

Largement offerte, sa croupe apparait dans son intégralité.

"Hooo Robin... votre langue, votre bouche... c'est divin !"

La respiration masculine se fait plus rapide et encore plus proche de sa raie.

Soudain elle couine... la langue vient de passer sur son œil plissé.

Lentement le muscle se fait gourmand.

Il frôle, passe, pousse lentement, cercle autour de la rondelle virginale.

Elle ne se retient plus et gémit par intermittence, incrédule devant le plaisir qui la parcourt du plus profond de son être jusqu'aux mains qui se crispent sur le tissu du fauteuil.

Attentif à ses réactions, Robin modère son rythme et la force avec laquelle il s'occupe de l'anus velouté et palpitant.

Coralie souffle plus fort.

Du bout de la langue il sollicite les moindres aspérités avec une lenteur extrême.

"Hummm qu'elle est bonne ta langue..."

Il lèche avec application, remontant de la frontière de sa fente suintante de mouille, jusqu'au haut de sa raie, faisant remonter le suc de jouissance féminine sur la cuvette de son petit orifice.

"Tu aimes ?" lui demande t-il.

"Ho oui. C'est bon... si dur, si souple... Hoo ta langue... hOOo!"

Elle ondule, perd bien, abandonne ses muscles et son visage vient se coller sur la cuisse musclée de son initiateur.

Sur sa joue elle sent la pulsation de la verge chaude et dure alors que la langue pousse doucement l'entrée de son anus.

Elle s'électrise...

Il lèche plus fortement, appuyant sur le centre du cercle qu'il voit se détendre et se dilater par intermittence.

Ses mains écartent alors les fesses bombées.

Les doigts agrippés sur la peau pâle, il ouvre la raie, provoquant chez la jeune femme un gémissement plus long.

elle se cambre, pousse ses fesses vers la visage...

"Encore..." soupire t elle "Encore... ouiii"

La langue s'agite, irrite le pourtour de la rosette, force sur le centre pour faire entrer le bout de la langue dans le premier cercle de cet anneau au gout incroyablement délicieux.

"Tu as un beau cul" assure t-il juste avant de forcer l'entrée de l'anus.

Coralie tourne son visage vers celui qui va la déflorer. Le sexe de l'homme dressé devant elle.

Le sang a ses tempes, Robin pétrit avec une excitation croissante, les fesses souples de la jeune femme qui, telle une liane, ondule devant lui.

Il s'installe dans les premiers millimètres de l'orifice secret.

"Elle te plait ma position ?" questionne la demoiselle, hasardant le bout de sa langue vers la base de la verge à sa portée.

"Elle te va très bien" affirme t-il.

Sa langue s'enfonce de nouveau tel un petit sexe avant de revenir en arrière... et recommencer.

Il tourne sur l'œil plissé qu'il sent se détendre et se dilater sous les pressions continues qu'il lui intime.

Sous ses actions inavouables Coralie bouge son fessier. Des petits cercles qui se ponctuent par une cambrure qui la fait se plaquer à la bouche de son premier amant.

Le visage délicieusement pressé contre l'onctueux séant, la bouche grande ouverte pour en apprécier le contact que sa féminine conquête recherche désormais avec force gémissements, il tire sa langue qui perce plus profondément l'anus offert.

Il la sent se tendre alors qu'il élargit sa langue dans l'orifice.

Elle exhale un soupir profond.

Percée, il pousse de sa main droite la nuque de la femme pour faire approcher de son sexe, la bouche aux lèvres délicates.

Elle réagit aussitôt à cet ordre muet en approchant sa main et ouvrant sa bouche.

Avec fermeté, implacable la langue pénètre le fondement qu'une main masculine maintient ouvert.

Elle caresse les bourses pendantes, les fait rouler, les sent chaudes dans sa main fine avant de saisir la verge et prendre en main le mat tendu vers le ciel.

Lâchant la fesse bombée, l'homme vient saisir le sein collé à sa cuisse. Il le dégage de côté et découvre le téton hyper tendu.

Avec une délicatesse qui la fait ouvrir en grand la bouche avant de la reposer tout autour de la verge de l'homme, elle subit les pressions et les excitations de son téton qui se fait traire.

Elle effectue alors des mouvements réguliers de sa main, masturbe l'homme, le sexe coulisse en travers de sa bouche.

"Haaa ouii... branle-moi !" dit-il dans un gémissement où le plaisir est intense.

Encouragée, il la voit s'appliquer, mettre en œuvre tout ce qu'elle sait pour le satisfaire. Il ne peut s'empêcher de sourire.

"Engloutis-moi... hoooo... oui, comme ça"

Obéissante elle avale alors la large masse jusqu' à s'en déformer la joue.

Caressant sa nuque, il relâche la pression pour la voir s'affairer autour du vit.

Il replonge sa langue dans le petit trou de la femme qui lui offre son interdit.

Elle aspire le sexe.

Il avance et recule, mimant une sodomie.

Elle relâche le membre pour pousser de petits cris.

"Continue... suce... pompe-moi" lui ordonne t-il.

Elle se jette alors sur le vit en feu et l'avale entièrement avant de pointer sa langue sur le méat et essayer de l'ouvrir.

La rose ouverte, il dévore maintenant son petit trou et son vagin l’un après l’autre comme il la pénétrerait de son attribut masculin.

La bouche pleine, elle soupire, geint, approuve le traitement qu'il lui procure pour la première fois, découvrant de nouvelles sources de plaisirs.

Elle s'amuse de la douceur du manche et des aspérités du gland.

Il arque sa langue dans son anus.

Elle suit les nervures des veines palpitantes.

Il découvre sa béance avant de la relâcher lentement, lapant par intermittence l'intérieur de sa raie trempée de salive et de son jus alors qu’il lèche en profondeur sa chatte ruisselante de mouille.

Le sexe ressort de sa bouche, elle penche son visage de côté pour voir le visage radieux de son entreprenant complice.

Elle lui sourit, il se félicite du rouge qui lui pare les joues, sa virilité plaquée contre son visage ovale.

Sans un mot elle se glisse au sol, à 4 pattes, tendant sa croupe vers l'homme qui se place derrière elle.

Sa première fois. Aucun des deux n'a voulu autant que cela ce moment de plaisir qu'ils s'apprêtent à vivre.

Leurs yeux se font brillant, les sourires se figent dans l'extase du moment ou le duo n'est que fusion des corps.

Leurs regards se mêlent, les lèvres se cherchent... leurs peaux se collent... leurs respirations s'unissent...

De la fenêtre s'échappent les respirations et les bruits étouffés de leur activité.

Durant une partie de l'après-midi le jardin se fait silencieux pour accueillir l'hymne sexuel qui emplit l'espace.

La transparence des rideaux ne laissent apercevoir que les corps qui se chevauchent en alternance.

Leurs souffles semblent agiter les cimes des arbres.

Et puis le cri libérateur.

Allongés côte à côte, le corps souple et félin de Coralie semble lové contre un rempart masculin protecteur.

Elle s’étire, sa peau est luisante de la sueur qui témoigne de leurs ébats.

Robin se redresse sur un coude pour observer l’adorable poitrine aux tétons tendus de son amante se soulever.

Elle lui sourit.

Il devine à son air qu’elle est apaisée tout autant que légèrement honteuse d’avoir perdue sa virginité.

« Il me reste encore beaucoup à apprendre ? » lui susurre t elle, les pommettes roses à l’idée de ce qu’elle lui propose.

Le feu se ranime en lui…

« Approche… ».

 

 

Fin... sauf si la Villa et ses personnages vous inspire...

 

 

 

Sam 20 oct 2012 Aucun commentaire