Le blog de M.

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Son mât près de mon visage, de mes lèvres, encore vacillante de mon orgasme fulgurant, je le saisie entre mes doigts fins, sourire aux lèvres, le visage illuminé d’une femme comblée … je le saisie et je le caresse tout doucement.

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Je retiens ma fougue envie de le serrer sauvagement entre mes mains et de le masturber pour en faire jaillir sa jouissance, son jus, son nectar.

Tout doucement, je caresse la hampe du bout de mes doigts, le renflement de son gland vers la base de sa hampe, je suis toutes les petites aspérités, je glisse tout le long de sa veine palpitante.

Je savoure ce moment de plénitude, l’esprit serein, apaisé, mon corps assouvi, détendu.

Je lève les yeux vers son visage fermé, il serre les dents, il retient sa jouissance.

Je devine son souffle retenu entre ses lèvres pincées.

Son envie de me voir le prendre en peine bouche est nettement visible, je le connais par cœur, je lis chaque émotion dans chacune de ses grimaces, malgré le jeu auquel il nous fait jouer, celui du client et de sa trainée.

Mais je ne bouge pas. Effrontée, provocatrice, j’entrouvre ma bouche, mais je ne l’embouche pas, je le laisse ainsi sur cette frustration, son désir en est que plus intense.

Sa grande main ferme d’homme se place à ma nuque, il caresse mes cheveux, mon front.

Il retient ses gestes, il sait que son plaisir est dans cette attente extrême ... pousser ses sensations  toujours plus loin, à la limite, sur le fil.

Mes cheveux sont mouillés de ma jouissance, de mon plaisir de sentir ses lèvres aux miennes, de sentir sa bouche aspirer mon suc dégoulinant, des fines mèches brunes sont collés à ma joue, à la commissure de mes lèvres.

Il caresse ma mèche folle, plaquée par mon plaisir, la décolle pour la placer très affectueusement derrière mon oreille.

Je lui souris, mes yeux brillant de tout l’amour que je lui porte, de tout mon ressenti, de mes sentiments les plus fous pour lui.

Mes yeux explosent de passion. Mes pupilles baignent dans des larmes prêtes à jaillir de ce trop plein d’émotion.

Je serre légèrement la hampe, applique une douce masturbation, un doux va et vient tout en fixant la prunelle de ses yeux clairs.

J’ai l’impression qu’ils n’ont jamais été aussi clairs, aussi limpides ... deux lacs dans lequel  j’aimerai me noyer et y perdre mon souffle. Dans mes mains son vit est brulant, dur... un pieu en fusion.

Mon visage s’approche lentement de son gland turgescent, violet tellement il est gonflé et gorgé de désir. Il cogne ma joue comme je masturbe sa verge.

Le méat s’échappe et luit sur ma fossette.

Le visage rayonnant, je caresse ses bourses de mon autre main, file vers ses fesses que je masse délicatement et fermement.

Il souffle fort.

Je masse par petits ronds ses deux globes musclés, doux et imberbes.

Ma main se faufile par son entrejambe, le poigné frotte ses bourses glabres.

Ses petites olives roulent dessus comme je masse sa fesse.

Je glisse mon index à sa raie, et viens lisser sa rosette, son soleil encore endolorie de mes manigances sensuelles.

Il grogne. Déglutit avec un souffle de gémissements de mâle en rut.

Je souris aux souvenirs de son orgasme cérébral, de son endurance et ténacité à ne pas exploser de son jus à ce moment là.

Son excitation est des plus élevé et intense au vue de notre accouplement des plus charnels et érotiques.

Je pétrie sa fesse, caresse son petit trou d’amour et serre son membre de mon autre main, son gland à ma joue.

Il souffle doucement, fort, son cœur tape fort dans sa poitrine.

Mes lèvres s’écartent langoureusement, je pointe ma langue avide, dirige son gland, et pointe sur sa fente rouge de désir. Je recueille de son jus d’amour, de son désir incommensurable.

Ses goutes roulent sur ma langue, je tourne sur son bout rond, je tourne tout autour, pointe à son renflement, je le suce doucement, il est tellement bon que je pourrai jouir à nouveau juste en suçant son  bâton d’amour.

Je me cambre, ondule de mon corps, la croupe offerte tout en lui prodiguant mes caresses.

Je m’enivre de son odeur de sexe que je connais parfaitement. Chaque fragrance renvoie à mon cerveau une onde de désir m’insufflant un gémissement lorsque mes papilles gustatives sont en contact direct avec son sexe.

Ce délicieux et savoureux bâton de chair que j’aime et dont je ne me lasse pas de dévorer.

Je le suce longuement, langoureusement et passionnément tout en fermant mes yeux pour bien profiter de chaque goute de son sirop, de la douceur de son désir.

Il coulisse entre mes lèvres, ma langue s’enroule autour.

Ma main quitte ses fesses pour soupeser ses boules entre mes doigts, je les roule avec délicatesse.

Ses gémissements croissants m’excitent et me poussent à encore et encore lui donner du plaisir.

Ses gémissements appellent les miens qui sortent de ma bouche, je suis comme folle, il me rend folle d’envie et de désir. Elle est loin sa trainée, sa catin, le jeu est loin, il ne reste que cette envie folle de le manger, de le bouffer, d’aspirer tout son être, son âme, son esprit, de faire qu’une et seule et même entité.

Je sens sa verge palpiter d’envie de jaillir, je sens son jus progressivement monter de sa source.

J’abandonne son gland pour lécher tout le long de sa veine, je tourne autour de sa tige, je la suce entre mes lèvres, je mélange ma langue, salive, je fais plus qu’un avec son bâton d’envie. Mon visage, ma bouche, tout mon être en communion avec lui par le biais de cette fellation intense et sans contrainte.

Mes soupirs de plaisir se mêlent et se confondent avec les siens, sa jouissance et proche.

Je le masturbe méticuleusement de mes mains glissantes, mon plaisir est tel que mes gestes sont un peu désordonnés. Sa verge, ses bourses... son souffle, son parfum... son gout, sa texture... il me rend folle.

J’ouvre la bouche en grand, son bout rond au fond de ma gorge, contre ma joue, j’ouvre au maximum de mes maxillaires, je l’embouche au plus profond à m’en étouffer.

Sa main se pose à ma gorge, il m’impose une ouverture encore plus grande. Adorable perversité qui me fait ruisseler une nouvelle fois.

Mes seins ballotant, mes tétons doublés de volume pointent effrontément.

A genou, les jambes écartées je sens mon jus couler entre mes cuisses. Je me pensais vide et je sens mon miel filer. Un fil translucide coule sur la moquette.

Je souris de me sentir ainsi intarissable, mon désir pour mon homme est intarissable, insatiable, inépuisable.

Je glisse une main à mon antre, recueille de mon jus et le mêle au sien... j’alterne mes mains et je couvre son membre de ma mouille abondante.

Je prends sa queue énorme ente mes deux mains et je le masturbe avec méthode.

Des lents va et viens se succèdent par des rapides au rythme de sa respiration.

Ses pulsations cardiaques se font proches.

Je le sens venir, il est au bord de jouir.

Je suce avec gourmandise sa veine tressaillante.

Je pointe ma langue à sa fente.

Je sens son jus monté, il démarre à sa base, sa verge se tend … et dans un cri orgasmique rauque un jet puisant blanchâtre jaillit de sa queue pour venir napper mes lèvres, une main à ma nuque, l’autre à ma joue, il me serre fort.

Ma main enserre sa fesse, mon cri de jouissance se confond avec le sien, un cri de satisfaction mêlé à la jouissance de le voir ainsi, la tête en arrière, la bouche ouverte, figé.

Un arc électrique traverse son corps. Mes reins se cambrent.

Mes chairs vaginales se contractent seules, je frissonne de se spectacle merveilleux qu’il m’offre.

J’admire les traits de son visage se déformer de plaisir, son bassin en avant, des spasmes parcourent son magnifique corps d’homme, de mâle, son sperme jaillit par saccades.

Je le pompe doucement, je le vide entièrement, je le suce et recueille tout son suc pour moi. Le fruit de son amour à mon égard. Je ne perds pas une seule goute de ce sublime cadeau, cette offrande.

Mon regard se perd dans ses yeux clairs presque blancs, le bleu du petit matin, brillants comme jamais.

Il caresse ma joue, mes lèvres blanches de son foutre, le bout de ma langue.

Et dans un doux gémissement, j’avale sa semence.

Il se place à genou, et vient lécher mes lèvres rosies et enflées, des restes de cette délicieuse crème onctueuse.

Un baiser langoureux clos cet échange des plus fous, nos langues se lèchent, nos lèvres se sucent tendrement, nos corps trempes de sueurs se collent, peau contre peau, nos effleurements sont apaisement, calment nos corps encore frissonnant...

Morphée se joint à notre duo.

Jeu 5 avr 2012 Aucun commentaire