Le blog de M.
[...]
Elle sourit, debout devant moi.
Entièrement nue à l'exception de son porte-jarretelles qui encadre ses cuisses douces.
Ses seins majestueux accrochent les reflets rougeâtres des lumières diffuses.
La main qu'elle pose sur la courbe sensuelle de ses hanches augmente la cambrure osée qu'elle m'offre.
Les pupilles étincelantes, sa respiration courte, sa poitrine qui se soulève, ses tétons arrogants, tendus au centre de ses auréoles larges, sont autant de signes de sa sexualité exacerbée.
Les sons étouffés de notre intérieur résonnent encore de la mélodie chaude des soupirs de plaisir que nous venons d'échanger.
Elle se complait dans ce rôle de composition de trainée qui s'offre à cet homme, client, que je représente.
Je ne suis plus son mari, je suis le payeur qu'elle a toujours secrètement rêvé d'avoir, repoussant ses limites, abolissant ses barrières morales.
Sa main se pose sur son sexe.
Elle se compose un jeu de prostituée.
Entre les deux minces franges pileuses, elle glisse ses doigts qui ouvrent les chairs souples et luisantes de son sexe affamé.
Je l'observe recueillir une nouvelle fois son précieux nectar.
A genoux devant elle, mon sexe est tendu vers le ciel.
Elle le dévore du regard.
Mes jambes sont largement écartées. Mon arrière-train est encore douloureux des percées contre-nature qu'elle vient de me pratiquer.
Le gland lisse et rond, fendu avec délicatesse, se démarque de la large barre de chair par sa couleur pourpre.
Je sens ses yeux le détailler, de la veine apparente aux bourses glabres et pendantes, des aspérités formant une couronne autour de mon bout à la raideur épaisse du bâton dans son ensemble.
Son ordre ne supporte pas d'hésitation.
C'est un souffle impérieux qui me fait brûler de désir.
"Viens me lécher."
Je regarde cette fente qu'elle ouvre et écarte à quelques centimètres de mon visage.
Son odeur de femme, de sexe, me fait tourner la tête.
Mes sens sont en fusion.
J'ai envie d'ajouter le goût à cette tempête impressionniste qui me bouleverse.
Je m'approche, bouche ouverte vers sa féminité malmenée avec lenteur par ses doigts agiles sur lesquels se répand sa cyprine luisante.
"Oui, reste comme cela, à genoux".
Mes mains au sol je tends le bout de ma langue vers les renflements de son ouverture béante.
"Viens me lécher à genoux, comme mon joli chien".
Elle relève sa cuisse, pose son pied sur la table basse.
Sa fente outrageusement ouverte au dessus de mon visage.
Elle me domine et apprécie autant que moi cette nouvelle répartition des rôles entre nous.
J'avale ma salive, ma bouche meurt d'envie de découvrir la molle fermeté de ses nymphes affolantes.
"Je vais te laper"... dis-je en plongeant mes yeux dans les siens, plus clairs, plus perçants que jamais, "...laper ta belle fente".
Ma langue sortie de ma bouche je touche une de ses lèvres.
Le gonflement de son sexe enfin au bout de mon muscle buccal.
Elle pousse un gémissement instantané alors que je découvre au toucher extraordinairement suave de sa chair, la saveur délicieuse de son plaisir qu'elle exprime en coulant.
Je passe ma langue sur une des lèvres.
Délicieuse, trempée, je savoure son nectar à la fragrance enivrante.
Elle me surplombe, droite et fière.
Elle conserve la maitrise de la situation par sa position hiérarchiquement dominante.
Ses yeux glissent sur mon dos, sur mon visage, sur ma langue qui parcoure les souples lèvres écartées, l'une après l'autre.
"Tu sens le sexe." Lui murmurais-je en plongeant mon regard dans le sien.
Un mince fil de cyprine coule au fond de son sexe.
Je passe ma langue sur chacune des aspérités de ses lèvres, m'approchant du centre qu'elle maintient béant entre ses doigts.
D'un lent mouvement du visage je m'éloigne de son puits d'amour.
Un filet de mouille nettement visible entre le bout de ma langue et sa fente luisante.
"Oui. C'est de ta faute. Alors lèche." M'impose t-elle dans un soupir.
Ses joues rougissent de honte.
Son sourire s'élargit, de plaisir.
Ma langue se fait large et se plaque à sa motte.
Je ne la quitte pas des yeux.
Elle gémit, ses seins se soulevant orgueilleusement.
D'une main elle soupèse et palpe l'une de ses mamelles.
"Nettoie tout cela... petite... cochonne." S'aventure t-elle à m'ordonner.
Je m'applique entre ses lèvres ourlée d'une fine pilosité à parcourir les moindres replis.
"Oui... maitresse ?" lui réponds-je, avalant son sirop.
Consciencieux je lèche, langue large et lente.
Elle ferme les yeux et pousse des gémissements le plus silencieusement possible.
Je la vois lutter contre son désir, faire durer le plaisir, prendre de ma bouche ce que j'ai de meilleur à lui donner.
"Tu es largement ouverte".
A mes mots elle se cambre, se tortille, soupire.
"Tu es bonne à lécher".
Elle geint, pince son téton, et maltraite ses seins l'un après l'autre.
"... totalement ouverte..."
Son doigt dans sa grotte fouille l'antre brulante.
"Complètement trempée".
Elle souffle... pousse un petit cri.
J'enfonce ma langue dans sa vulve.
Je la dévore avec une envie encore jamais éprouvée.
Ma bouche embrasse son entre jambes.
Je fouille son sexe de ma langue, à la fois extrêmement lente ou vive et précise.
Je découvre ses replis secrets.
Je me délecte des doux filigranes de son intimité, à peine perceptible sous l'agilité de mon muscle.
Je déguste son sirop de femme qu'elle m'offre et m'invite à boire.
Son doigt enfoncé dans sa fente, je le lèche.
Elle me l'insère dans la bouche.
Je le suce avant d'extraire son clitoris dur et gorgé de désir.
J'aspire le bouton délicat au son de ses gémissements de plus en plus audibles.
De bas en haut, je lape son abricot fendu, pour suçoter à chaque fois la perle qu'elle confie à mes soins osés.
Son souffle devient plus fort pour finir dans un cri.
Je m'enfonce dans son vagin, le visage collé à son corps ardent.
"Hoooo ouiiiii"
Je la dévore.
Je bouffe littéralement son sexe bouillonnant.
Ma langue s'enfonce littéralement en elle.
Elle parvient à articuler..." En...core..."
Je m'applique, de plus en plus rapide.
"Con... continue... haaa...."
Ma langue se tourne en elle, j'aspire son jus qui coule de plus en plus abondamment.
"Mange ma... chatte."
Je me recule, l'admire, son corps de liane aux seins agités se cambre et ondule sous l'intensité des sensations qui l'électrisent.
Son clitoris titillé, j'entre et sort l'intégralité de ma langue de son sexe tel un membre qui la prend avec lenteur.
Très écartée, ses deux mains pétrissant sa poitrine tendue, je sens mon sexe bander à en être douloureux.
Je me place assis devant elle, ma main saisi ma verge, je ne tiens plus.
Je la lèche, je la dévore... avec avidité.
Mes doigts s'agitent sur ma verge pour lui appliquer une masturbation régulière et franche.
J'avale son jus qui coule de plus en plus.
Je me régale de la dévorer.
Elle tend son bas ventre vers moi, je m'applique, de plus en plus vite, alternant les coups de langue sur la surface de son sexe avec les succions et les pénétrations.
Un flot de jus odorant inonde son vagin.
Je le fais couler dans ma gorge.
Elle râle comme j'avale le fruit de son orgasme.
Ses mains saisissent mon visage et le force à se coller à son sexe détrempé.
Ma bouche est une mécanique démoniaque qui aspire et dévore l'intensité de sa jouissance.
Lentement elle reprend ses esprits et calme les mouvements de son corps.
J'explore son intérieur pour la nettoyer.
Je recueille les ultimes traces de son orgasmique plaisir.
Elle est en nage.
Un dernier effleurement de son ouverture avant qu'elle ne repousse ma tête pour me sourire.
"Tu es... à se damner" me murmure t-elle, les yeux plus brillants.
Ma verge entre mes doigts je ne cesse de me masturber en la regardant assouvie.
Elle flageole et s'assoit sur le fauteuil.
Sa respiration est plus lente.
"Tu es délicieuse... pour une pute". Lui dis-je alors en me relevant et en présentant mon sexe à sa hauteur.
Ses joues s’empourprent.
Ses tétons se durcissent instantanément.
Elle avance sa main encore salie de sa souillure et ses doigts fins se posent sur mon mât bouillant.
Dans un instant de silence je l'entends glousser... immédiatement excitée par cette nouvelle reprise de contrôle de ma part au jeu de la trainée.
A suivre...